Seconde rencontre avec un dent-pointu. [PW : Len Strife]

Je vis, épuisé de cette longue journée de marche, un changement de décor. Ce n'était plus le désert d'Harena que j'eut traversé, monotone, ni tout les autres paysages, mais bel et bien une Caverne que je trouva devant mes yeux. Un sourire, ressemblant plutôt à un rictus se forma. J'allais enfin être au frais. Cette chaleur, me faisant suer, ce soleil, tapant sur mon crâne, m'énervait passablement. Plus les monstres que j'ai dus exterminer, je finis de mauvaise humeur à mon but. Je m'étira, et sortit tout ce qui me restait de nourriture. Une pomme. Rouge, éclatante. Je croqua dedans à pleine bouche, trop énervé pour apprécier la fraîcheur du fruit, et son goût qui me délecte habituellement. Je mastique, adossé à un arbre, regardant partout à la recherche de quelque chose qui crierais, qui est faible, sur quoi je pourrais me défouler. Je regrette ma bonne vieille faux, qui faisant crier plus d'un, faisant gicler le sang sur les dalles, les faisant hurler de douleur, leurs regards désespéré... tout cela me manque. Je peux encore leur faire du mal, mais c'est moins amusant. Je connaissais cet endroit, et l'admirait depuis longtemps. Ici aura coulé plus de sang que j'en ferais couler de toute ma vie. Ici, c'est déroulé un évènement historique, connue de tous. La bataille entre deux race qui ont la haine entre eux. D'un côté les loup-garou, les humain dans un état sauvage, la puissance dans un état brut, et de l'autre les vampires, les humains nobles, les surhumains, les humains de ce qu'il y a de plus y a de plus raffiné, cachant en eux un puissance, un destruction précise, fine, nette. Et après moult année où il s'échangèrent insulte, où leurs racisme était intense, une guerre éclata. J'eut un rire sadique à cette pensée. Depuis ils ont fait un traité de paix, pour éviter qu'ils ne s’entre-tuent. Je me demande si un jour stryge blanc contre noir arrivera. Cela m'étonnerait, car les loup-garou et les vampire avait une haine mutuelle profonde. Alors que certes, les stryge noir le haïssent, mais de ce qu'il avait vus avec Ninalys, ils n'ont pas une haine contre eux. En tout cas, à peine étais-je rentré dans la Caverne de Spelunca que une masse incroyable s'élèva du plafond. C'était simplement des chauve-souris, mais sans m'en apercevoir j'avais déjà mon bâton prêt à me défendre en un réflexe inattendue. Après cette tumulte, un silence de mort régna dans la caverne, magnifique. Je la vis tout à coup se scinder en deux partie distincte, et je comprit directement qu'un côté était le côté " vampire" et l'autre "lycanthrope". Après avoir laissé traîner une oreille dans un bar auparavant, je savais tout cela et je me dirigea droit vers le côte "vampire".
J'avançais, dans cette caverne, une fois de plus. Mes ailes à l'allure de corbeau s'étendent. Mon bâton me soutient. La dernière fois que j'étais venu, c'était pour me cacher d'un monstre qui m'avait attaqué. J'ai toujours adoré cet endroit. Tant de sang versé ne peux être oublié, et j'en suis ravie. Mais, je suis ici pas pour la même raison. Enfin plutôt deux raisons. Déjà, chercher "ça". Ensuite, j'ai une personne à retrouver. Une dent-pointue. Une vampire, je dirais même une vampirette. J'ai un souvenir amer de notre rencontre, qui m'avait ramollie, et je voulais, maintenant que je suis un poil plus puissant, lui montrer. Alors cet endroit est le plus apte pour commencer les doubles recherches, si l'ont puis dire.

- Foutue vampirette... où je pourrais la trouver ? Cette Yuki Cross, si je la trouve, je pourrais tout lui dire, cette fois je ne serais pas hypocrite et lâche comme la dernière fois. Je suis un mage maintenant. Et le pire, c'est qu'elle n'a ni famille ni amant d'après elle ! Comment vais-je donc faire ? Bah après ce qu'elle dit n'est pas forcément juste, elle aurait pus me mentir, parce que en dehors de Ninalys, personne ne m'aime. Et celle qui m'aime un tant soit peux et une stryge blanche. Je suis vraiment pas verni moi...

Oui, je parle seul. tout à coup, je sens un présence. Quelqu'un est là. Je raffermit ma prise sur mon bâton, je me concentre, prêt à tout moment à lancer un sort, je tremble sous l'excitation, je sens le bois dans mes paumes, l'aura se dégageant de ce bâton magique, je suis prêt. Finalement, je ne parlais pas seul...

Par une somptueuse nuit parsemait de ses étoiles d'argents, Len se promenait dans cette charmante parure bleue - nuit afin de laisser court à ses resplendissantes pensées dont une teinte vermeille lui colorait ses joues. Il ne pouvait point s'arrêter à songer à sa douce Ange des Ténèbres, tentant de conserver ce lien invisible lorsqu'Elle n'était plus à sa proximité. Elle était son élixir, sa vie et sa renaissance. Cependant, il ne désirait guère la blesser et en prenant certaine décision, il serait fort regrettable de prendre une rose passionnée telle qu'Elle. Il marchait, marchait, sans s'en rendre compte, vers les cavités minérales des grottes de Spécula dont la douce fraicheur de l'humidité des lieux, le caressait semblable à une ravissante amante. Soudain, une néfaste essence attira son attention, en l'entrainant à travers une effroyable irritation qui se soulignait par le redressement de ses poils sur son échine, où ils furent suivi de protestations qui étaient accentuées par une empoisonneuse haine, appartenant à un être à l'âme perdu, dans des menaces confuses. Malheureusement, une ardente colère, aussi fulgurante que les flammes dansantes des Enfers, vinrent lui teinter ses prunelles, d'un profond rouge sanguinaire, lorsqu'il put ouïr le destinataire de ses chaotiques propos. C'est ainsi qu'il se trouva, nez à nez, avec un stryge au couleur noirâtre, dont sa seule présence lui confirmait l'origine de ces tumultueuses promulgations. Néanmoins, il oublia une partie de ses envies meurtrières, comparé à ce dernier. En effet, ses doigts étaient crispés sur un bâton dont un certain malaise l'avait envahit d'une rage bouleversante. C'est en cet instant que le jeune vampire lui déclara d'un timbre légèrement faussement contrôlé, mais, qui répondra aux attentes de son mystérieux interlocuteur :

"Milady Cross n'est point en ses lieux. Par contre, votre folie déconcertante ne m'indique, aucunement, la raison qui vous y engage et pourquoi vous possédiez un tel égard envers une telle personne. Cependant, il me serait impoli de ne point me présenter. Je prénomme Len Strife, ancien général d'une patrie vampirique et Maître de Ville à BaldoHeim, pour vous servir. (D'ailleurs, il avait rejoint ses dernière paroles, à l'intérieur d'une ravissante révérence d'une pure courtoisie et d'une gracieuse noblesse ) et vous ? Auriez - vous bien l'obligeance de gratifier votre nom ?"

Quand je vis sortir un vampire, un rictus se forma sur mon visage ma garde se raffermit. Mais quand j'entendis les paroles, je fut abasourdis, furieux, et impressionné.
-Milady Cross n'est point en ses lieux. Par contre, votre folie déconcertante ne m'indique, aucunement, la raison qui vous y engage et pourquoi vous possédiez un tel égard envers une telle personne. Cependant, il me serait impoli de ne point me présenter. Je prénomme Len Strife, ancien général d'une patrie vampirique et Maître de Ville à BaldoHeim, pour vous servir. Et vous ? Auriez - vous bien l'obligeance de gratifier votre nom ?
Première nouvelle, Yuki connaissait cet homme. Après, ma fureur fut vite enlevé, car elle aurait pus le rencontrer depuis mon absence. Mais ce qui me fit forte impression, c'est que c'est le Maître de Ville à BaldorHeim, ville où j'ai appris la magie. Et aussi, à moi, une révérence ? Quel est donc cet homme singulier ? Je répondis, avec ma grâce et politesse naturelle :
-Encore un dent-pointu... alors déjà, ma folie déconcertante ne regarde que moi, et la haine contre "Milady" Yuki Cross ne vous regarde surement pas aussi, car vous ne savez sûrement pas grand-chose d'elle. Moi non plus d'ailleurs. Bref, passons... je me nomme Sagnar, surnommé le Fou, vous avez du voir pourquoi, mage étudiant de l'école de magie de BaldorHeim. De même, vous n'avez pas l'air très bien non plus. Sauriez-vous où se trouve t-elle ? Non, sûrement pas... par ailleurs, vous n'avez pas peur d'être chez les humain-à-fourrure ? Et pendant que vous y êtes, vous savez des choses sur la guerre vampire lycanthrope ? J'ai envie d'en savoir plus, savoir les cris de douleur, tel un chant venu des anges, les mares de sang, tel un liquide divin, les griffe s'entremêlant aux crocs, la caverne faisant résonner ce magnifique moment et, par ailleurs, le seul qui donne de l’intérêt à cette grotte.
Si cela ne lui cloue pas le bec, il me répondra sûrement pas avec la même gentillesse et la même politesse. Et sinon je saurais où cette vampirette de malheur se trouve. Si il ne se soumet pas, j'aurais soit l'information tant voulus, soit j'aurais pervertie son âme, et cela me fera tellement de bonheur, que toute les souffrances physique seront rien à côté de cela. Je croqua de nouveau dans ma pomme, l'air arrogant et méprisant, le défiant du regard.

[H.S : Désolé de l'attente, les vacances j'ai pas touché à un ordi et le reste du temps je trouvais pas le temps, je ne pouvais que jeter un bref coup d'oeil. Désolé aussi pour ce récit qui est très court:/]

Son ombrageux apparition d'une grâce disparue par l'évolution bouleversée des siècles, Len put apercevoir le charmant rictus de son noirâtre interlocuteur qui fut mêlé de sentiments complexes comme un état abasourdi, la tendre folie et une touche d'une curieuse impression dont le jeune vampire ne put s'empêcher de lui adresser un sourire, remplis d'une douce sournoiserie qui serait comparable à une caresse de fourberies. Cependant, il lui montrait qu'il était attentif à son nom : Sagar le Fou, auquelle une consonnance anormale lui soufflait l'annonce d'un antique proverbe : " Le sage et le fou se trouvent à la même échelle." A moins de connaître le jeu d'échec et de saisir le Fou à son propre piège. D'ailleurs, ce dernier poursuivit tel un ingénieux stratagème son discours malsains qui abordait sa empoisonneuse haine, sa pure folie innocente et Yuki dont il croyait qu'il ne la connaissait point, ne devait - être futile à ses oreilles, avant de s'embraser à l'intérieur de questions rhétoriques. Puis, il lui demanda ses ressources par rapport aux "humains à fourrure" ainsi que la sanguinaire guerre qui avait profané ce lieu de splendeur. Len pouvait constater que ce " Sagar" ne manquait guère d’arrogance à travers ses propos comme son pitoyable comportement. Ce qui l'entraîna dans un lugubre timbre d'un rire, comiquement, ridicule afin de prouver à son adversaire qu'il n'était point dupe sur ses prestigieuses intentions.

" Je dois confirmer que ton impertinence désagréable était d'une harmonieuse structure pour me faire avouer des ardents plaisirs qui te procureront, par la suite, à accéder à tes voluptueux désirs, était, fortement, ingénieux. déclara le jeune vampire, d'une voix aussi légère que la brise, mais d'un calme absolue dont ses instincts vampiriques savoureraient la gourmande envie de l'exterminer. Hélas, je dois, malheureusement, vous contredire, continua celui - ci, puisque Milady Yuki appartient à la cour de Baldor Heim, donc elle est sous ma responsabilité, par ma tendre volonté. Alors, les luxuriants reproches diaboliques à son égard me concerne, bel et bien."

Ensuite, il patientait, en lui dévoilant, à son tour, une pomme sanguinolente dont il eut le loisir de la déguster car la réaction de son compère l'intéressait.

Hs

Spoiler:

-Je dois confirmer que ton impertinence désagréable était d'une harmonieuse structure pour me faire avouer des ardents plaisirs qui te procureront, par la suite, à accéder à tes voluptueux désirs, était, fortement, ingénieux. Hélas, je dois, malheureusement, vous contredire, puisque Milady Yuki appartient à la cour de Baldor Heim, donc elle est sous ma responsabilité, par ma tendre volonté. Alors, les luxuriants reproches diaboliques à son égard me concerne, bel et bien.

Je fut à peine étonné. Ce vampire était intelligent.Tombez dans des insultes pareille serait minable. Mais, Yuki, appartenir à une cour ? Je m'esclafferais si il n'était pas là. J'aurais tenté au moins. Mais cet homme, je ne sais pas pourquoi, n'étais pas un noble comme les autres, et je voulais pousser un peux plus loin le bouchon, pour savoir :

-Ainsi donc ça n'a pas marché ! En tout cas, sachez que cette Yuki est la pire des menteuses et la plus retors de toute. Vous me trouvez... diabolique ? Je suis flatté. Mais sachez que nous avons fais un tour, et cette traîtresse n'a pas bouger. Elle n'avoir ni famille ni petit-ami ? Baliverne ! Encore un fois ! Voyez-vous, elle ne mérite que la mort, lente et douloureuse en supplément. Elle me dit, fit semblant de tout me dire, fit semblant de compatir, mais elle est partit comme elle apparu, tel un monstre surgi des Enfers. Tuez-là, je veux entendre ses cris dans tout Duralas, son sang couler jusqu'à l’île de Wysteria. Elle ne que mensonges, fourberie et traîtresse. Peux-être qu'elle vous vend son corps ? Son âme ? Ses crocs ? En tout cas, si vous me le permettez, je file à BaldorHeim le faire. Sauf si vous voulez cet honneur ? Je comprendrais "Monseigneur".

Je disais cela plus pour moi que pour lui. Yuki m'avait ramolli, puis jeté tel un déchet. Et je n'aurais aucune pitié.

La conséquence de ses paroles contrôlées dont il a su maîtriser aux fils du temps, lui on permis de connaître ses noirâtres intentions. En effet, le jeune stryge aux plumages de jais lui avoua ses tendres pensées, en accentuant sur les termes péjoratifs, ayant un lien avec l’espionnage d'une luxuriante cruauté comme la machiavélique traîtrise d'un monstrueux esprits corrompus auxquels il poursuivit de malédictions, de manière à ce que la concernée subisse les moyens les plus tortueux, avant de lui annoncer qu'il était capable de l'exterminer de ses propos mains, en poussant même son ténébreux interlocuteur à le contraindre à son bon vouloir de l'abattre, avant de terminer son incroyable discours avec un "Monseigneur". Ce qui avait pour habitude de métamorphoser les lèvres du jeune vampire en un irritant rictus d'un certain mal être car ce dernier avais mis un doigt sur sa personnalité d'aristocrate. Cependant, son insensible neutralité, figé dans du marbre, le dissimulait en le transformant en un chaleureux sourire.

" A ce que je puis constater votre ingénieuse mesquinerie vous a gratifié un œil avisé, en vous permettant, ainsi, de découvrir mon rang. Je dois admettre que je suis dans l'obligeance de vous adresser mes plus sincères félicitations. Déclara Len, en le rejoignant d'un timbre qui fondait une limite entre le calme absolue et la légère pointe "courroueuse" dont ses gracieuses prunelles avaient obtenu une teinte sanguinaire. Néanmoins, votre bonté de me faire parvenir ces généreux conseils, abordant "Milady Yuki" me touche, énormément, mais il est vrai que je ne puis nier le fait d'être en mesure de tuer par un simple et vulgaire songe ou par d'autres méthodes. Cependant, selon la règle vampirique dont j'ai eu tant bien de mal à œuvrer pour la faire respecter et forgé dans ce sang, je ne peux aucunement me permettre d'assassiner cette jeune femme car il faudra trouver un blâme plus important pour que je puisse fournir cet acte, afin de ne point créer une émeute parmi mes sujets. D'autant plus, si tu rentres sur mon territoire à l'intérieur de ce seul but, ce ne sera point cette douce Yuki qui sera à blâmer, mais vous puisque je n'aime guère les individus qui osent toucher à "mes gens" parce que ce phénomène sera considéré comme un défi envers mon autorité. Sinon, tu comprendras la raison de mon surnom qui a tendance à me transporter à l'intérieur d'un sentiment haineux de pulsions meurtrière. D'ailleurs, je trouverai ce fait fort regrettable."

Puis, il se laissa succomber, à travers une noble souplesse contre la cavité minérale, pour être en mesure de plonger, dans son regard d'hémoglobine dont il ne put s'empêcher de sourire, en lui dévoilant la blancheur de ses crocs aiguisées.

"A moins d'obtenir un rapport complet de ton histoire dont même là, je me doute que ton fâcheux désir ne soit accordé pour des évènements qui me sont, promptement, personnels."

"A ce que je puis constater votre ingénieuse mesquinerie vous a gratifié un œil avisé, en vous permettant, ainsi, de découvrir mon rang. Je dois admettre que je suis dans l'obligeance de vous adresser mes plus sincères félicitations. Néanmoins, votre bonté de me faire parvenir ces généreux conseils, abordant "Milady Yuki" me touche, énormément, mais il est vrai que je ne puis nier le fait d'être en mesure de tuer par un simple et vulgaire songe ou par d'autres méthodes. Cependant, selon la règle vampirique dont j'ai eu tant bien de mal à œuvrer pour la faire respecter et forgé dans ce sang, je ne peux aucunement me permettre d'assassiner cette jeune femme car il faudra trouver un blâme plus important pour que je puisse fournir cet acte, afin de ne point créer une émeute parmi mes sujets. D'autant plus, si tu rentres sur mon territoire à l'intérieur de ce seul but, ce ne sera point cette douce Yuki qui sera à blâmer, mais vous puisque je n'aime guère les individus qui osent toucher à "mes gens" parce que ce phénomène sera considéré comme un défi envers mon autorité. Sinon, tu comprendras la raison de mon surnom qui a tendance à me transporter à l'intérieur d'un sentiment haineux de pulsions meurtrière. D'ailleurs, je trouverai ce fait fort regrettable.A moins d'obtenir un rapport complet de ton histoire dont même là, je me doute que ton fâcheux désir ne soit accordé pour des évènements qui me sont, promptement, personnels."

Ah oui, c'est vrai. Il a raison. Nan j'déconne. Je hais ce type. Je hais ce monde. Je me hais. Pourquoi continuer à chercher la merde aux autres ? Ah oui, pour foutre la merde. Je vais juste me suicider après avoir laminé ce vampire, pour me réincarner en une putain de fleur. Tranquille, paisible, je serais cueilli par un homme amoureux, ou alors par un enfant innocent, ou encore je serais mis dans un bouquet d'un couple, dans les cheveux d'une dame. Mais je serais tranquille. Heureux. bon, maintenant, passons au laminage, je ne peux partir me suicider comme cela ! Il me faut une mort qui sera connus de tous ! Je serais sûrement haïs par tous, mais il comprendront à quoi il m'ont réduit.

- Vous voulez que je vous explique tout ? Vous savez, vous êtes aristocrate, baignant dans l'oisiveté depuis sa naissance, un enfant gâté, qui, voulut impressionner les autres en se battant. Vous ne pourriez comprendre le cris du peuple, alors le mien, que le peuple n'arrive pas à comprendre... laissez-moi rire ! Vous ne voulez pas l’exécuter, la torturer jusqu'à que mort s'ensuive ? Très bien. Alors, j'y vais de ce pas mon cher. Pourquoi m'embêter ? Vous ne voulez pas ? Dommage. J'aime pas répandre du sang sur les tapis, ça pars difficilement. Et puis en plus, avec l'écho, les cris restent longtemps après la mort... mais bon, vous n'avez que faire des autres, n'est-ce pas ? Cette personne, m'a réduit à l'état de moucheron, de minable. Certes tout le monde le fait, mais elle, elle, elle m'a suivi. Si vous saviez ô combien elle comptait pour moi ! Première personne qui arrivais à me supporte quatre jour. Au final, elle n'a pas réussi très longtemps. Alors que je dormais, tourmenté comme accoutumée, elle s'est enfuie, elle est partie. Cela, en plus d'augmenter mes probabilités de me suicider, à surtout augmenté ma haine, en particulier contre les vampires. Vous voulez me frapper ? N'hésitez pas. Je ne pense en aucun cas que je puis vous battre en combat singulier. Met tuer ? Allez-y ! Je vais le faire moi-même, deux jours de plus ou de moins, quelle différence ? Vous voulez m'enfermer ? Allez-y ! Je me crèverais de faim, et si vous m'obligez à manger, le peuple verra votre côté sombre et sera en colère. Ne rien faire ? Je tuerais Yuki. Partir protéger cette vampirette ? Je vous traquerais sans dormir ni manger, et si je ne vous trouve pas, je me serais battue jusqu'au bout au moins. Aucune de vos actions pourrait m'être mauvaise, je n'ai pas peur de la mort, je suis torturé à chaque instant, et le lynchage, bah vous ne pourrez l'augmenter, il est déjà présent. Que pouvez-vous me faire ? Rien. Je suis un pantin, accomplissant sa quête avant de s'auto-détruire, et rien n'entravera ma route.