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 Tempérament de feu et eau paisible

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Misaki Ayuzawa
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Misaki Ayuzawa

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MessageSujet: Tempérament de feu et eau paisible    Tempérament de feu et eau paisible  I_icon_minitimeLun 1 Oct - 18:42

Introduction : Une misérable vie maudite

Tempérament de feu et eau paisible  Mamoir10



Tout commence par une anxieuse nuit, assombrit par d'atroces nuages barbouillés de biles bleus, dans une misérable demeure, construite en bois d'un brun cafard, qu'une fille, au nom de Misaki ( moi ), naquis parmi une pauvre famille. J'y grandis dans la bonté et la générosité de mes parents tout en devant se restreindre sur la nourriture afin d'être capable de survivre à d' impitoyables hivers. Cependant, Lorim, mon père, décida d'abandonner ma mère qui avait succombait à une grave maladie et moi, sa fille dans d'innombrables dettes pour s'assouvir à des raisons purement hormonales. Furieuse et submerger par une violente tempête intérieure, je commençai à haïr les hommes pour leur mortelle désir sensuelle. Ce fut par une terrible nuit obscure qu'une ravissante jeune femme se tenait devant notre demeure aussi rayonnante que l'astre lunaire. Étant donné la perfection de ses traits, je mettais vite rendu compte qu'elle était une vampiresse et pas n'importe laquelle ! En effet, elle possédait un arôme de rose qui s'émanait de ses pores. Puis, avec son air jovial, elle me déclinant son prénom : Stella. Elle était d'une divine beauté comparable à une déesse de bonheur. Surtout lorsque celle - ci me proposa de travailler pour elle en tant que servante officielle dont elle m'annonça qu'en échange, elle me logerai, paierai et ma mère aurait tous les soins adéquates. Sentant la sincérité dans ses paroles, j'acceptai son offre tandis qu'elle nous embarquait sur les hivernals sentiers des montagnes de BaldorHeim où on pouvait distinguer un imposant manoir. Parvenant ainsi à notre destination, une prospérité et un pacifisme régnaient en son enceinte car je pus constater que les vampires s'amusaient et buvaient leur contenu rougeâtre avec des chevaliers à l'armure d'un étincelant blanc immaculé ou était ornée un resplendissant griffon. Je me sentis immédiatement à l'aise. Cependant, le scélérat destin en a voulu autrement puisqu'une guerre se déclencha amenant un orageux chaos accentuaient par la barbarie de nos adversaires qui souillaient nos terres. Je pris les armes de cuisine que je disposai remontant à la surface. Mais, ce ne fut qu'horreur et tragédie car je découvris, jonchait sur le sol, imbibé de teinte vermeille, celle qui m'avait tout donné ainsi qu'à sa proximité son mari dont j'avais le plaisir de le faire tourner en bourrique et ce n'était point pour autant qu'il m'appréciait. Les larmes me montèrent aux yeux brouillant mon champs de vision. Malheureusement, elle ne fit que s'accroître lorsque je rencontrai le corps inerte de ma mère, mutilé ayant que les boyaux, les intestins abandonnaient près de son cadavre. Envahi par une pulsion meurtrière, je me précipitai vers la sortie, transperçant, poignardant et mutilant tous les ennemis qui me barrait le passage ne laissant que derrière moi, une ruisseau d'hémoglobine accompagné de leurs propriétaires aux teints livides. Je persévérai jusqu'à ce que mes forces cédèrent, me menaçant tel un poison. Perdant une énorme quantité de sang, je succombai aux ténèbres. Ce fut lorsque je repris connaissance et j'eus la surprise d'être encore en vie. Cependant la ville où mon rêve était sur le point de se réaliser, avait succombé aux ténèbres. Ainsi, abandonnée par la mélancolie de cette tragédie, je parcourrai les contrées jusqu'à ce que je m'évanouis dans un endroit qui m'étais inconnu.......
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Misaki Ayuzawa
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Misaki Ayuzawa

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MessageSujet: Re: Tempérament de feu et eau paisible    Tempérament de feu et eau paisible  I_icon_minitimeSam 6 Oct - 20:44

Chapitre 1 : Dans la cave de Guilty Pleasure

Tempérament de feu et eau paisible  Missio10
Dans une ville naturelle, du à la présence des elfes et par la dominance de l'architectures silvainnes, l'astre journalier brillait dans toute sa splendeur et très particulièrement à un endroit qui se trouvait être une modeste taverne se prénommant Guilty Pleasure, où les employés n'étaient que composés de gentes féminines. Ce qui expliquerait la foule abondante qui envahissait cet endroit de jour en jour. Mais, c'était également, le lieu de ma profession dont je travaillai en tant que serveuse. Ce qui ne me changeais guère de mes précédentes activités. D'ailleurs, ce métier lui permit de garder son sang froid envers la clientèle appartenant à la gente masculine. Je souriais, j'accueillais les personnes, avec mon timbre mélodieux, comparable aux chants elfiques : « Bienvenue, mon seigneur et ma lady dans la taverne des plaisirs, pourriez – vous, je vous pris vous installer sur la table qui se situe sur votre gauche. On sera à vous immédiatement pour prendre votre commande », c'était le seul moment où je pouvais dévoiler ma partie intérieure que je tente, sans cesse, de dissimuler, lorsque j'étais à l'extérieur. Cependant, lors d'une des fermeture, j'aperçus, dans un coin de la pénombre, une silhouette anormalement tailler. Au début, je songeait à un simple rat. Puis, quant je vis que ses créatures venait par centaine, je ne pus s'empêcher de saisir un balais et de s'élançait vers eux, dans une véhémence, comparable à un brasier. J'encaissais les morsures, les unes après les autres, comme si la souffrance était une douce complainte, remplis de douleur, qu'on pouvait aisément, supporter. Soudain, une autre forme surgit de nulle – part. Tout abord, je crus que ne n'était qu'une hallucination et tentai, malgré mes obstacles, dont j'étais confrontée, de se frotter les paupières, lorsqu'un rat lui transperça ma paume. Au moins vous pouvait faire confiance à ce genre de bestioles pour vous rassurer, quand une malsaine créature, bien plus puissante, qu'elles rôdait dans les parages. En effet, puisque ,sans que je puisse m'en rendre compte, des bras humaines me saisirent la taille et me plaquèrent contre le torse de son ténébreux adversaire. Les rats, quant à eux, étaient en cercle, ne me quittant point du regard, prêt à lui sauter dessus aux moindres faits et gestes que j'oserais produire. Je pivotai légèrement ma tête afin d'être en mesure d'apercevoir son ennemi lorsque sentis son souffle me fit redresser les poils de mon échine suivit d'un rire ténor.

« Je te trouve bien appétissante. Lança la voix en lui léchant le cou. Cependant, j'ai un doute entre te conserver pour ma part ou te donner à mes confrères qui meurent de faims.
– Je dois avouer mon seigneur l'hybride que je n'ai que la os sur la peau, alors votre ravissante petite famille devra trouver un autre repas. Quant à votre proposition,
continuai - je avec une grande froidure, remplis de sous entendu, j'y refuse entièrement. Je déteste qu'on puisse me prendre de la sorte alors ce n'est pas pour qu'une créature comme vous puisse le permette.
– Du répondant !
S'exclama celui – ci avec ironie, comme c'est amusant ! Je sens que je vais me divertir avec toi.
– Surement dans vos rêves !
Lançai - je avec un sourire narquois, et lorsque vous parviendriez, six pieds sous terre »

Suite à cette parole, il me relâcha afin qu'il puisse me voir entièrement. Hélas, ce n'était point pour une charmante danse forcer à l'horizontale mais, plutôt pour un début d'hostilité, remplis d'hémoglobines. Cependant, c'était de savoir qui des deux y survivra. Sans lui laisser le moindre avantage, je dévoilai, de derrière son tablier, un magnifique poignard, j'avais récemment acheté et dont j'étais ravie de pouvoir s'en servir. Suite à ceci, j'étais fort prête pour le combat qui allait s'annoncer. Afin d'annoncer officiellement les hostilités, l'hybride hurla son chant de guerre, l'augment ainsi d'un octave, avant de s'élancer vers moi. Le voyant arriver dans ma direction, aussi fluide que l'eau et aussi rapide que la vélocité d'une flèche, j'utilisai sa imposante silhouette pour le plaquer vers le sol où jonchait des morceaux de verre cristallins. D'ailleurs, quelques uns, parvint à pénétrer sa coriace fourrure poivré sel tandis j'avais réussi à s'échapper de mon emprise par une roue. C'est alors que saisit d'une hargneuse fureur, celui - ci s'élança vers moi, lui décochant un middle. Malheureusement pour lui, j'interceptai sa charge en agrippant sa cheville. Ce fut, avec un sourire narquois, que je le reposai, violemment, sur le sol. Ensuite, à l'aide des tables renversées et des murs, je bondis se servant d'appuis sur chacun de ses atouts, parvenant à sa destination : la tête de son agresseur où je me tins de la même manière qu'un équilibriste pendant que son ennemi, se mouvait, dans tous les sens, afin de sans débarrasser, mais en vain. En effet, puisque je l'accentuai par mon attaque, avec une acrobatie arrière. Puis, je profitai de ma chute pour lancer ma lame aiguisée vers sa moelle épinière. Hélas, cette dernière vinrent se planter sur son épaule. Ignorant son échec, face à cette attaque, j'avais conscience que je devais esquiver sa ravageuse puissance. Du coup, je reproduis sa technique, que j'avais procédé, quelques secondes auparavant, afin de récupérer ma lame, pour se laisser tomber et lui tracer une égratignure, assez profonde, pour ouïr son agonie. Mais, avait – elle réellement, parvenu à son objectif ? Malgré la ténébreuse pénombre silencieuse, qui régnait en ce lieu, je tentais de percevoir les dégâts dont j'avais conscience, lorsqu'un poids imposant la plaqua, brutalement sur le sol, l'entraînant dans une petite chute qui lui procurait de faibles douleurs, comparables à l'électricité qui lui parcourraient ses membres. Face à moi, des yeux dilatés, d'une teinte rougeoyante, aussi indomptable qu'un brasier de désir, la fit déglutir, laissant place à une parfaite meurtrière, aux regards froids et menaçants qu'une simple expression pouvait tout signifier, tellement, qu'elle paraissait être un livre ouvert. Elle prit une bouffé d'oxygène, puis, pareille à un vrai ouragan, je glissai, en douceur, semblable à de douces caresses, mes jambes, entre mon corps et celui de mon adversaire et d'un coup de pied dans le ventre, je le propulsai vers la fenêtre la plus proche accompagné d'un son mélodieux et cristallin qui se fit emplir dans toute l'atmosphère. Pendant ce temps,je profitai de cette courte absence pour se redresser, avant de travers dans un bond gracieux le passage vers les hostilités de la nuit dont celle – ci lui faisait grâce d'une douce précipitée glaciale d'une eau pure, rendant ainsi, ce sinistre endroit sylvain, un côté malfaisant ainsi que monotone, comme le sourire qui scrutaient, en ce moment, mes douces lèvres. Un peu plus loin, une imposante silhouette se dessinait. Je savais à qui elle appartenait et j'étais prête à l'éliminer, sans aucune hésitation. C'est alors que je succombai à mes pulsions meurtrières, fondit vers l'hybride qui ne se doutait de rien. Je le saisis par le cou, le propulsai vers le haut, bondit afin de le rejoindre dans les airs et le lançai en direction des bâtiments abandonnées. Mais est – ce que son acte fut suffisamment puissant pour qu'il puisse subir des dommages importants ? Dans cette silencieuse nuit diurne, j'avais brisé ce délicieux rythme, en projetant mon imposant adversaire, vers les vieilles bâtisses. Ce fut, avec une grande souplesse dont je l'avais accompagné d'une agilité que j'atterris sur les irritantes hautes herbes. Soudain, un puissant nectar malfaisant se fit ressentir, succombant, ainsi, sa proie, en l'attirant, vers le corps du rat – garou. Je se baissai et tatai son pouls. Il n'y possédait aucun battement ce qui signifiait que j'étais parvenue, à l'exterminer, l'entraînant dans un soulagement. Lorsqu'une ombre lugubre surgit, devant moi, pareille à un spectre. Elle était haute, svelte et fine. C'est alors que je fit volte face, me mettant en position de garde. Quand, je vis une longue chevelure dorée flamboyante, comparable aux étoiles qui parsemaient le ciel et des yeux saphirs, un tout qui pouvait être une incarnation de la divinité de la nuit, la fixait d'un air interrogateur. Alors, rangeant mon arme, je me dirigeai vers la splendide silhouette qui n'était d'autre que la gérante de la taverne qui avait, légèrement, pivoté pour observer mes exploits, d'un regard sévère. Ce qui signifiait que le lendemain matin, je serais de corvée de nettoyage et ceci se révélai être exacte puisqu'elle me réprimanda, pendant de longue heures, avant de l'enlacer de façon maternelle, en lui annonçant qu'elle était, néanmoins, heureuse que je n'avais rien de grave. Pour moi, cette elfe, aussi radieuse que l'astre lunaire, restera et sera toujours, ma douce mère que j'avais perdu, du à la prestigieuse réussite de Lorim, mon père biologique.


Dernière édition par Misaki Ayuzawa le Lun 29 Oct - 10:13, édité 1 fois
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Misaki Ayuzawa
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Misaki Ayuzawa

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MessageSujet: Re: Tempérament de feu et eau paisible    Tempérament de feu et eau paisible  I_icon_minitimeLun 29 Oct - 9:58

Chapitre 2 : Une course dans les nauséabonds marais



Tempérament de feu et eau paisible  Kaicho10
C'était par une chaleureuse journée ensoleillée que je réparai les dégâts qu'elle avait commise la veille, dans sa bataille contre le rat – garou tandis que l'astre lui irritait sa peau de couleur pêche dont il était accompagné de perles de sueurs, afin de lui compliquer sa tâche, mais, ce n'était guère cette obstacle qui allait m'arrêter, bien au contraire. Avec un revers de la main, j’essuyai, avant de poursuivre mon ouvrage. Quand, une charmante silhouette svelte surgit de l'ombreuse végétation qui la protégeait de cet irrespirable brasier. C'est alors que je se redressai, face à elle, en lui gratifiant un de mes magnifique sourire puisque j'appartenais à la gérante de la taverne de Guilty Pleasure.

« Excuse – moi de te déranger, dans ta ardente volonté, débuta celle – ci, cependant, je quémande ta présence pour une aide qui me semble précieuse à Shirotsume.
– Tout le plaisir est pour moi car j'accepte volontiers votre demande.
– Je t'en remercie, répondit elle en lâchant un soupir de soulagement, puisque tu me retires un lourd fardeau de mes frêles épaules. Cependant, poursuivit elle, en ayant une expression d'inquiétude remplis de mélancolie et en me tendant un morceau de parchemin dont des inscriptions étaient notées, j'aimerai que tu restes sur garde car d'après de nombreuses rumeurs provenant de voyageurs indiqueraient qu'un imposant amphibien traînerait dans ses contrées dévastant, tout sur son passage.
– Je n'y manquerai point de suivre vos conseilles et j'y vais de ce pas faire ce que vous m'aviez demandé. »


Malgré mes rassurants propos, l'elfe de la taverne n'avait point l'air convaincu, mais après tout, c'était normal puisqu'elle me considérait comme sa propre fille. C'est ainsi que je quittais ce feu ambiant d'énergie solaire pour un autre plus humide aux multiples périls.

Quelques minutes plus tard, je parvins dans les marais de Hukutav où je débutais ses recherches sur les plantes pharmaceutiques. Lorsqu'une imposante ombre absorba le peu de luminosité qui pénétrait dans ce nauséabond marécage. Je m'arrêtai et levai ma tête, avant de bondir sur ma gauche pour esquiver l'importance masse qui m'avait frôlé d'un cheveux. A peine que j' eus le temps de me redresser, mon agresseur bondit, de nouveau, ayant dans mon regard malsain, une meurtrière ambition.

« Tu me tapes, tellement, sur le système, mon cher amphibien, que j'ai une forte envie de t'exterminer, sans la moindre pitié. »

Après que j'ai promulgué ma hargneuse envie menaçante envers son ennemi amphibien, je m'élançai dans sa direction, jouant avec les ombrageuses végétations afin de s'y camoufler pour que je puisse être capable de s'approcher de la sorte, sans que celui – ci ne me découvre, même si ma imposante silhouette lui donnait un énorme avantage, concernant le domaine de la vitesse. Ayant assez de puissance, je dévoilai son poignard et je finis par bondir, avec une souplesse aérienne, dont j'en profitai pour le transpercer de mon arme, auquelle j'atterris dessus, avec une allégresse, qui en disait long sur ses idées noirâtres dont j'eus le plaisir d'accentuer par un malfaisant sourire qui s'affichait sur mes douces lèvres semblable à deux pétales de roses. Par la suite, je courus sur place, forçant, ainsi, la lame à s'enfoncer, lentement, à travers les membranes de sa coriace peau. Je fermai ses paupières, succombant à la meurtrière sensation qui l'envahir. Ce qui permit la fusion entre moi et mon seule moyen de défense afin de sentir sa chair, se déchiqueter, à chaque mouvement, que je produisais, pour le pénétrer profondément. Tout ce que je désirais, à présent, était d'ouïr le timbre de cette créature qui ne devait point tarder, à hurler sa souffrance dont j'étais prête à m'en abreuver. Tout à coup, des stridents cris d'agonies retendirent à mes oreilles, pareille à une douce complainte funeste qui lui indiquait que j'étais parvenue à produire l'effet de mes noirâtres ambitions meurtrières. De ce fait, aveuglée par cette dernière, elle perdit son équilibre et fut projeté par l'imposant amphibien par une charge dans le ventre, l'envoyant, ainsi, valdinguer contre la nauséabonde végétation dont je brisai sur son passage et dont je ne m'arrêtai que lorsque mon dos rencontra une roche minérale. Ce qui me procura une atroce souffrance, l'envahissant comme un vénéneux poison. C'était alors que je succombai à une hargneuse colère, aussi indomptable qu'un brasier des Enfers. Puis, je me redressai, faisant face à son ennemi, qui bondit, de nouveau, dans sa direction. Ayant remarquer son obscure pulsion, je l'évitai en bondissant sur sa gauche, mais, je m'effondrai à cause des tremblements de terres que la créature avait provoqué. Ce qui ne l'arrêtait point dans ma détermination de l'exterminer, même si je savais pertinemment que je n'y parviendrais, peut – être, guère à sa fin. Je se relevai, pour la deuxième fois, et m'élançai vers mon ennemi dont j'avais métamorphosé mon incroyable volonté en lui gratifiant une puissance que même un simple mortel ne pouvait acquérir. Puis, je me servis des arbres comme appuie, avant de le percuter de pleins fouet, dans mon chaotique élan meurtrière. Mais, était - ce assez puissant pour qu'elle soit parvenu à le renverser en confirmant, ainsi, sa théorie qui abordait l'utilisation du poids de son adversaire ? Suite à ma stratégie qui avait ingénieusement fonctionné, j'ai du, néanmoins, encaisser le contre - coup qui la propulsa en direction de nauséabonds décors qui appartenait au Seigneur des Marais. C'est à présent que mes douces douleurs vénéneuses vinrent se métamorphoser en d'atroces et insupportables souffrances, mais ce n'était point le moment d'y succomber alors que l'amphibien était sur le point de mourir ! Le souffle haletante, je me redressai tandis que mes tremblants membres fatigués la menacèrent de céder. Il fallait que j'en termine car le combat commençait à s'éterniser. Saisissant, alors, mon courage à deux mains dont je l'accompagnai d'une volonté déterminée à revendre, je m'élançai vers l'imposante créature, la lame de mon poignard vers son sternum
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MessageSujet: Re: Tempérament de feu et eau paisible    Tempérament de feu et eau paisible  I_icon_minitimeMar 13 Nov - 18:28

Chapitre 3 : Un désastreux Halloween

Tempérament de feu et eau paisible  Misaki10
Par une lugubre nuit, d'un mois d'octobre, un léger vent menaçait les alentours du château de Maenor, où virevoltaient des feuilles, d'un resplendissant dégradé de rouge. C'est donc, à travers ce décors automnal, que je me mouvais, dans ses sinistres ruelles. Lorsque des cris stridents d'agonies emplirent le ciel comme de funestes complaintes, désirant que quelqu'un les aides, attira mon attention puisque je n'étais guère le genre d'individu à abandonner une personne en difficulté, même si ce dernier appartenait à la gente masculine car je pouvais mettre ma hargneuse haine fulgurante de côté. C'est alors que je me précipitai, aussi vite qu'une foudre, vers l'immense bâtisse qui dominait la colline ainsi que l'astre lunaire, sans jamais s'arrêter, du moins, jusqu'à ce que mon souffle se fit haletant. Du coup, je m'adossai contre un arbre, quant une obscure silhouette difforme surgit de nulle part, se dessinait, en face de moi. S'en attendre le moindre mouvement de sa part, je dévoilai mon poignard, que j'avais dissimulé, sous mon tablier, tandis que la noirâtre créature, dont des fumées violacées s'émanaient de ses pores, pareille à un empoissant nectar, s'approchait. Dans ses petites menottes, poivré sel, qui lui rappelait, curieusement, celle d'un rat, étaient logées des lames étincelantes. Cependant, je n'en avais cure puisque je patientais, sagement, que le monstre débute les hostilités dont je savais, pertinemment, que j'y succomberais avec un ardent désir. Sachant, néanmoins, que ma patience possédait des limites, je m'abandonnai à ma meurtrière pulsion en me précipitant vers l'étrange créature aussi néfaste que je pouvais imaginer. En effet car ce dernier bondit sur sa gauche, en me gratifiant une magnifique trace d'hémoglobine, sur l'étendu de mon bras, où les gouttes s'écoulaient sur le sol, avec une harmonieuse mélodie. Accompagné d'une brusque puissance, du à ma hargneuse haine envers mon adversaire, je pivotai sur mes talons et plantai ma lame, dans sa côte droite, avec un ardent plaisir. Maintenant, il manquait plus que son couinement de souffrance qui indiquerait sa réussite. Hélas, aucune sonorité de souffrance vinrent m'annoncer ce que j'attendais puisque ma misérable attaque avait échoué. Ce qui avait procurait, un maléfique sourire, à mon adversaire qui eut ,tout le loisir, de me transpercer ma chair, en touchant des points sensibles afin que je ne puisse point contenir mon agonie, comme le cou, les poignets ou encore les côtes. Mais, ceci ne fit qu'augmenter ma hargne, d'une puissance phénoménale, dont je ne pus dissimuler. En effet, car, je lui décochai, un coup dans le ventre, à l'aide de mes jambes. Ce qui me libéra de son impitoyable emprise, avant de m'élancer, dans une fulgurante rage vers mon adversaire, le poignard brandissant, en direction de sa cage thoracique. Instantanément, un hurlement d'agonie, provenant du Skaven, emplit l'atmosphère, pareille à un chant sylvain. Ce qui lui permit de métamorphoser ce sentiment en une rage, plus prédominante, que la mienne. En effet, car ce dernier me percuta, de nouveau, au ventre et me fit valdinguer contre une roche minérale. C'est alors que du sang gicla de partout s'écoulant, sur l'étendue du sol, en abondance tandis que j'étais sur le point de perdre connaissance. Je ne désirais point que cette néfaste créature assassine d'autres individus innocents, même si le terme n'était guère approprié car tout le monde possédait une partie obscure qu'on appréciait guère dévoiler parce que le Bien ne peut exister sans le Mal. Ignorant ma faiblesse impitoyable, ma terrible souffrance qui était proche de l'agonie, la fatigue de mes membres qui tentait de céder, à tout moment, ainsi que ma vision qui commençait à se brouiller, je fondis sur lui, en lui décochant un coup de coude dans l'épaule, avant d'en profiter pour reprendre mon poignard dont je le replantai dans une puissante charge dans les côtes qui était accompagnée, d'un mélodieux bruit de brisement d'os qui devait, normalement, se faire ouïr.


Défaite
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MessageSujet: Re: Tempérament de feu et eau paisible    Tempérament de feu et eau paisible  I_icon_minitimeMer 26 Déc - 12:32


Chapitre 4 : Il n'y a pas que le crépuscule qui est mauvais..



Tempérament de feu et eau paisible  Eleano10

Pendant que les teintes de la parure rougeoyante et violette du ciel dont la déesse du soleil levant vint ouvrir ses portes de son char afin que l'astre puisse dominait cette étendue, je me mouvais, à travers, ce délicieux mélange qui possédait une douçâtre essence que les lugubres ombres végétales me procurait, en utilisant cette conscience que j'avais obtenu depuis que je cohabitais en ces lieux, mais, subitement, cet enivrant nectar se brisa par une légère brise néfaste porteuse de mort. Ce qui me fit redresser les poids de mon échine. Je ne savais point d'où cela provenait jusqu'à ce qu'un sombre chant funeste, pareille aux hurlements noirâtres des loups de claire de lune, résonna dans l'atmosphère, laissant, une difforme silhouette se dessinait, au loin. C'est alors que j'attendais, patiemment, avec une main, sous mon tablier, où était dissimulée sa lame, afin d'être en mesure de riposter aux moindres faits et gestes que cette maléfique créature lui gratifierait à mon égard. Cependant, je pris soin de la détailler, avec un oeil examinateur. Ma ténébreuse individue possédait une longue chevelure d'ébène ondulé, un mortelle masque opaque qui lui couvrait la douceur de son visage et des ailes de jais qui indiquaient sa malsaine nature : une stryge noire. Respectant, néanmoins, certaines normes et valeurs de politesse dont je faisais preuve, je décidai de l'aborder, comme désirer la coutume.

« Bonjour à vous, déclarai - je, en l'accompagnant par son angélus timbre d'un magnifique sourire, que vaut cette merveilleuse rencontre hasardeuse d'un tel être tel que vous ? »

D'un oeil examinateur auquel ses étincelantes prunelles tentaient de la percer de l'intérieur, je constatais que face à mes outils expressifs, ma ténébreuse interlocutrice prenait le soin de la détailler. Ce qui lui fit gratifier un obscure sourire sur ses douces lèvres. C'est à ce moment, qu'un léger courant d'air, comparable à une caresse de dentelles, me frôla son visage, du aux douçâtres déplacements d'un sinistre battement d'ailes. Avant de lui déclarer sa supposition, concernant la chance et la malchance qui entraîneront, d'après la mystérieuse stryge, un lien temporelle, elle se rapprocha de moi, en dévoilant, aux grands jours, de nombreuses questions, à cause de ses yeux sanguinaires. Elle montra, par la suite et sans s'en rendre compte, un tic habituel, qui aborderait le sujet physique puisqu'elle remit dans sa jolie tresse d'ébène, une mèche rebelle dont elle annonça d'un lugubre timbre son nom : Eléanor qui créa une merveilleuse consonance mythique qui contrastait, avec aisance, sa véritable nature noirâtre. D'ailleurs, trouvant ce rythme tellement sincère, je ne pus m'empêcher de lui en faire part et ce fut à cet instant que je remarquai, que je n'avais point décliner mon nom.

« Je vous pris d'accepter mes plus plates excuses pour ne point vous avoir gratifier mon nom et qui n'est d'autre que Misaki. Déclarai je, en conservant ses harmonieuses oppositions expressives Et d'ailleurs, je me demandai, si vous accepteriez un amical combat, histoire de se connaître car il paraît que de simples mouvements ou émotions permettent la connaissance partielle autrui. Cependant, êtes – vous de mon avis ? »
– Bon et bien apparemment, je commence. »

Suite à ses paroles, la ténébreuse stryge lui jeta un dernier coup d'oeil ironique, voir rieur, avant de figer ses étincelants prunelles rougeoyants sur quelque chose qui semblait neutre ? Puis, elle se décida de s'élancer, en la frappant, sèchement et de manière brutale, vers sa côte et s'écarta de deux ou trois mètres afin de prendre des précautions. La douce douleur vint l'envahir, peu à peu, pareille à un poison, comme si ce simple geste procurait un ardent plaisir pour sa sinistre adversaire. Ce qui est commun pour un être aussi noirâtre ainsi que corrompu que la parure nocturne. Celle – ci ne retenait point ses attaques, alors pourquoi en faire de même ? C'est alors qu'un harmonieux sourire qui aurait pu être qualifié de rictus s'affichait sur ses douces lèvres. Je saisis un bâton et le brandis dans sa direction, dévoilant un certain art en technique des armes blanches. Après, je me précipitai, telle une fulgurante foudre, vers son obscure ennemie pour lui décocher une charge dans le ventre. Soudain, un filet d'hémoglobine s'échappait des lèvres de la stryge noirâtre qui lui gratifiait, un air jovial, dont le contraste harmonisait, parfaitement, avec sa véritable et ténébreuse nature. Elle se les tordit, légèrement, pour donner l'impression d'un malsain rictus, avant de succomber à un glapissement, lorsque le misérable bâton atteint l'endroit stratégique comme il était prévu. Cependant, celle – ci se ressaisit, aussi vite qu'un éclair, pour être en mesure, de prêter une attaque, plus puissance que la précédente, à l'aide du côté tranchant et aiguisé de sa lame, qu'elle avait tendu vers moi. Ce fut, dans une telle grâce, accompagné d'une merveilleuse souplesse, qu'on aurait pu la comparer à un cygne noire qui virevoltait en direction de sa proie, que ses rougeoyantes prunelles brûlaient d'une véhémence pareille à des flammes d'une pure espérance et d'une grande volonté, puisque cette dernière désirait voir apparaître sur sa cuisse, une resplendissante traînée de couleur vermeille. C'est une fois qu'elle fut parvenue, qu'un rire cristallin, d'une forte folie qui semblait se rapprocher du terme funèbre que, peu à peu, l'hostile atmosphère les absorba, de manière, à les abandonner à un pesant silence. Pendant ce temps, je surveillais chacun de ses faits et gestes, semblable à un reptile, en guettant sa victime, jusqu'à l'emplacement exacte de sa fameuse faux, que sa sinistre combattante avait, récemment, utilisé contre elle et dont elle avait accompagné, d'un doux battement ailes, afin de voir si cette dernière ne la gênera guère dans ses prochains mouvements. Après, l'obscure interlocutrice, pivota sur ses talons, afin d'être capable de plonger dans mes prunelles noisettes tandis que mes muettes paroles suspendaient dans les airs car mes questions successives, se scrutaient, à travers ses yeux, tel un diaporama. Au moins, je savais une chose. C'était qu'Eléanor portait, aisément, le nom de son espèce, comme si celle – ci lui était gravé, depuis sa naissance. Ignorant, alors, ma blessure qui lui était infligée, je lui gratifia un rictus lorsqu'elle lui déclara :

« Je pense que vous aviez bien raison, tout à l'heure. Maintenant que nous nous sommes.. ( Elle hésita). Battue, nous avons comme qui dirais fait connaissance.
– Exactement, lui répondis je, en conservant son sang froid. D'autant plus, que ceci m'a permit d'approfondir mon égard que je possédais à votre encontre, mais j'espère que ceci en va de même pour vous, sinon, notre rencontre n'aura, certainement, servit à rien. Comme ce
serait dommage ! »

Suite à mes sincères propos remplient de sous – entendu, je guettai, de nouveau, la jeune femme aux ailes de jais, qui la fit songer à ses compères : les corbeaux, afin de distinguer sa réaction.

« Cependant, j'aimerai savoir si vous l'êtes d'avantage, dans un singulier et sans arme. »

Suite à mes propos qui concernaient une fâcheuse question sur l'honnêteté de refaire un combat singulier, Eléanor, ma sinistre interlocutrice s'abandonna à une pure paranoïa qui pouvait correspondre, au plus grand des hasard, à l'étrange phénomène abordée : si ceci n'était point produit par cette dernière ou si c'était le fruit parfait d'un harmonieux jeu d'ombre qui était capable de fonder une imagination d'obscurantisme. Puis, je me contentai de lui gratifier un simple sourire qui donna l'impression d'un malsain rictus qui indiquait l'envie inimaginable de cette rencontre qui pouvait lui procurer un incroyable plaisir dans ses dires qui contenait un pure ironie. En effet,
puisque ce fut d'un ton aussi plat et monotone, pareil à la saison correspondant en ce moment même qui lui gratifiait une tentation aisée, dans l'abîme des Enfers par le simple fait de cette forte l'Acédie, qu'elle déclara d'une lassitude, sans borne :

« Oh, oui, comme cela aurait été dommage ! Mais que vous ne vous en faites pas, je suis sûr que cette rencontre nous sera utile à toutes deux. Mais que bien vous en face, même sans armes et hors combat, je reste tel que. Bon. Peut-être désirez-vous parler de quelques sujets ? Tient, par exemple, d'où venez-vous ? »

Ensuite, la noirâtre jeune femme aux ailes de jais, s'adossa contre un mur, le plus proche afin de me faire face, en affichant, ce qui devait être, une mine captivé sur ce qu'elle s'apprêtait, peut – être, à lui avouer. Mais, qui avait annoncé que j'allais, réellement, se pliait à cette règle ? Car je n'étais point dupe. Cependant, je jouai, consciencieusement, le jeu, afin d'être capable de lui dissimuler son irritation pour sa malhonnêteté de lui confirmer ses opinions dont j'étais prête à lui en faire part, à tout moment, puisque j'étais à l'origine, une femme très froide, à l'égard de la gente masculine. Alors pourquoi, ne parviendrais - je point à faire mon premier essai, envers cette ténébreuse et insolente stryge, qui était d'autant plus, une espèce malfaisante, porteuse de malheurs, de tristesse, voire d'un profond chaos, aussi lugubre qu'une éternité.

« Pourquoi, débutai - je, avec un somptueux rictus aussi glaciale que la neige dont j'avais nombreuse fois utilisé, raconterai – je ma vie qui est guère intéressante qu'une banale vie quotidienne d'un charmant loisir et pas plutôt, narrer la votre qui serait un désarroi fort
intéressante ? »

C'est ce qu'on pouvait nommer, un changement de situation et un magnifique retournement de question qui abordera, surement, des remises en cause. Suite à mon ingénieux stratagème de l'art oratoire que m'avait enseigné sa tutrice vampirique, d'une très grande ligné d'une noble bonté, la mystérieuse stryge laissa évaporer de ses sinistres lèvres une impassible compréhension qui devait – être mêlé à de l'insistance, dont l'accompagnement d'un petit cri de joie, ne fit que confirmait ses suspicions de ce que pouvait renfermait un coeur aussi corrompu que celui de son interlocutrice. Elle paraissait être une enfant par de nombreuses manières tel que le léger tapotement de ses petites menottes d'un être angélus et démoniaque dont l'innocence avait été pris dés la naissance. Cependant, son expression d'une harmonieuse trahison montrait qu'elle était, honorée de répondre, de façon ténébreuse et énigmatique, comme l'aurait fait le chat de Chesfire d'un certain conte déformé par la réalité et la rêverie.

« Ma vie n'a rien de bien intéressante comme vous semblez le croire, sans vouloir vous décevoir. Je aire simplement ici et là au gré de mes envies tout en commettant diverse crime que vous ne voudriez connaitre. »

Puis, Eléanor frotta de son index droit, le rebord de son masque funèbre, dévoilant, une vivacité d'un esprit tordu qui faisait songer à une personne qui n'apercevait guère à quoi elle pensait, mais est – ce une illusion ? Cependant, je ne pipai mot, se contentant de l'observer afin d'apaiser mon sentiment de mauvaise augure qui ne pouvait – être que l'impatience, voire un état lunatique, avant que la femme aux ailes de jais annonça la suite de sa conversation qui suspendait encore dans l'atmosphère qui devait irrespirable. N'était – ce point son imagination qui était du à ma vision sur ma notion des obscurités maléfiques à apparaître à tout bout de champs. Néanmoins, Stella m'avait déclaré un jour: « La luminosité d'un art ne peut cohabiter sans la méfiance et le désarroi du chaos » en d'autres termes : le Mal doit savoir cohabiter avec le Bien.

« Mais votre vie ne doit pas être totalement inintéressante, non.. Je suis sûr qu'elle mérite qu'on y prête attention »

C'est alors que ses machiavéliques prunelles furent mordues par la luminosité du soleil couchant qui lui gratifiait une pointe d'animosité sur mon visage serein, mais, Eleanor s'écarta du mur, où elle se tenait, quelques heures plus tôt, du au vent hivernal, mêlé de mouvements gracieux et dangereux. Cependant, je ne pouvais s'empêcher de constater l'hostilité de cet atmosphère qui se perdirent dans les noirâtres pensées de son interlocutrice car ses yeux de teinte rubis étincelaient de milles feux, semblable à un brasier infernaux qu'on ne pourrait dompter.

« Peut – être que je vous la narrerai une autre fois car la lassitude de vos traits peuvent triompher sur votre soif de poursuivre votre malfaisant destin, remplis de criminalités aussi sombre qu'elle puisse paraître comme cette mystérieuse histoire dont personne ne puisse ouïr parce qu'elle a succombé dans le piètre silence de ses contrées. C'est ainsi que je vous laisse, emplis dans votre funèbres pensées qui corrompre l'atmosphère, mais, le plaisir de vous rencontrer, un de ses jours, n'est point de mauvaise augure. Que puisse votre chemin tente à nous revoir »

C'était sur ce petit discours que je pivotai sur mes talons dont je l'accompagnai, d'un signe de la main, que je suivis d'un merveilleux rictus, similaire à tous les assassins
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Misaki Ayuzawa
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MessageSujet: Re: Tempérament de feu et eau paisible    Tempérament de feu et eau paisible  I_icon_minitimeLun 28 Jan - 19:30

Chapitre 5 : Fash Back : Une rencontre humide

Tempérament de feu et eau paisible  Rp_mis10

Dans un noirâtre espace, absorbant d'idéaux noircis et tentant de corrompre mon esprit, pareil à un poison, des tâches d'hémoglobines surgissent dans ma tête. Ce fut seulement, lorsque j'ouvris mes paupières que j'aperçus que je lévitais dans un sinistre lieu, comparable au profondeur du ciel diurne. En dessous de moi, se trouvaient des eaux de couleur ébène, qu'on aurait cru, au premier abord, être une étendue ombrageuse, remplis de désires malsains aussi ardent qu'un brasier des Enfers. Je descendis de mon perchoir invisible et fis apparaître un sourire sur mes lèvres dont j'accentuai avec mes traits angelus de parfaite jeune femme. Soudain, d'autres hallucinations apparurent, me submergeant de mes violentes et sanguinaires émotions. Je vis la scène charnière qui me ramenai en arrière, dans un château dominant, où la lune était reine. Je secouai la tête comprenant que je m'engouffrais dans une dimension irréelle, remplis de sentiments pesants et insurmontables. D'ailleurs, des larmes s'écoulaient le long de mes joues. Tout ce que je désirais en ce moment de solitude, était de revenir dans le monde de la surface. C'est alors que des atroces douleurs m'envahirent pendant que les eaux noirâtres montèrent ,de plus en plus, afin de l'engloutirent entièrement. Je toussotai et regardai autours de moi. Je me trouvais dans une cavité naturelle où les teintes azurs des eaux reflétaient. Je tentai de me relever lorsque un mal prédominant m'engourdit me rappelant mes profondes blessures.

Nom de Dieu ! Dis je en haussant le ton, qu'on aurait pu le considérer comme une injure, pourvu qu'il n'est point d'individu aussi ténébreuses et macabres dans les environs.

A peine que j'eus prononcé ses paroles qu'un bruit de pas se fit ouïr dans toute l'espace. Prit par un instinct de survit, je saisis le couteau de cuisine que j'avais fauché pendant la guerre des montagnes de Baldor, ne savant guère combien de jours, j'avais succombé au profondeur des ténèbres, mais j'étais toujours prête à combattre l'ennemi, à tout moment.

« Je ne sais guère qui vous êtes, déclarai – je, d'une voix remplis de véhémence et en brandissant mon arme en direction des pas. Mais, tout ce que je souhaite, c'est de savoir qui est mon adversaire avant de combattre, si besoin est.»

Ma question suspendait dans les airs, laissant le son des pas raisonnaient, comme une ténébreuse mélodie, prenant échos sur les roches de la cavité minérale. Irritée par mon manque de réponse, je m'approchai de la silhouette qui se détachait de la pénombre. Celle – ci était grande, svelte, parfait pour un combattant. Et oui, un combattant, pour rien arrangé à ma massacrante humeur vénéneuse. Je le toisai de toute sa hauteur lorsque l'individu commençait à l'examiner comme si je n'étais rien.

« Mon grand, on ne t'a jamais enseigné de te méfier des apparences ? » me posai – je, en moi - même afin que l'étranger ne puisse l'ouïr.

Suite à cette pensée, le mystérieux jeune homme se révéla être un barbare et un protecteur du nord, au nom de Cid Cross. Jusque là, j'allais, peut – être, faire un effort sur ma empoisonneuse haine envers la gente masculine. Cependant, ce dernier eut le malheur de m'annoncer que si je l'attaquais, il me lancerait comme une vulgaire enfant, dans le lac qui se situait à leur proximité. C'est alors que je lui gratifiai un rictus qui renfermais une grande volonté embellie par un accent d'arrogance. Mais, pour qu'il se prenait pour me juger de la sorte ? Gardant mon expression glaciale aussi indomptable que la neige dont j'accentuai par un menaçant regard, je déclarai d'un timbre lugubre, à vous glacer le sang :

« Je me prénomme Misaki Ayuzawa, ex – domestique royale, au grade d'Orine et rescapée d'une longue et sinistre guerre, opposant les vampires, les chevaliers blancs et les loups – garous contre d'autres congénères de ses espèces qui refusaient l'alliance de paix postuler par l'ex roi des montagne de Baldor. Par contre, ajoutai - je en redressant la lame près de mes lèvres et la caressant pareille à un amant, avec mes doigts lutines, j'aimerai savoir où je me trouve et depuis combien de temps cette guerre s'est terminée. Si tu en n'as aucune idée, je ne vois guère l'intérêt que je dois te porter, surtout à un homme qui ne sait que juger sur les apparences.»

Attendant, néanmoins, la réponse à ma requête, simple, soit elle, je m''adossai sur le mur tandis que mes prunelles noisettes surveillaient, telle un rapace, ses moindres faits et gestes car on lui avait enseigné que si un individu insinue qu'il ne te blessera ou ne tuera point, il faut toujours rester sur ses gardes et c'est ce que je fis. Pendant de longues secondes, mon interlocuteur prit une expression arrogante dont il l'accentua par de brefs propos haineuses dont il eut le malheur de lui en faire part. Soudain, un noeud se fonda à l'intérieur de mon estomac, sans connaître la raison. Est – ce le fait que mes paroles corrompues commence à l'infecter ? Non, je n'y songeais guère. C'est alors que je surveillai chacun de ses mouvements, comme une vipère, guettant sa proie. L'atmosphère devint, quant à elle, silencieuse, du à l'absence de conversation, mais elle était, également pesante puisque le poids de son regard se firent, nettement, comprendre. Je ne quitterai guère ses lieux, sans posséder de réponses convaincantes. C'est à ce moment précis, que le barbare lui déclara, enfin, que je me trouvais dans une cavité rocheuse se prénommant Spelunca, qu'il n'avait point ouïr les rumeurs concernant la guerre que j'avais évoqué et qu'il se trouvait en cet endroit dans le seul but d'effectuer sa profession. Mais quel métier pourrait obtenir un individu de la sorte ? Alors, succombant à une curieuse émotion, je lui demandai, d'un timbre impassible, malgré mon effort à contenir ma empoisonneuse haine, envers la gente masculine :

« Messire, débutai - je, sans désirer d'autres foudres de votre furieuse arrogance dans vos propos, je voulais savoir qu'elle type de profession aviez – vous, malgré mes doutes ? Car, s'il se trouve que les évènements se gâtent, j'aimerai participer à ses folies sanguinaires qu'elle pourrait réserver. Ainsi nous pourrions discuter et faire humblement connaissance. »

C'était un miraculeux effort venant de ma part. Maintenant, il restait à savoir comment Cid allait réagir, face à cette proposition. En attendant, j'affûtai mon poignard, avec une agilité dont j'accentuai, avec un ardent désire de pouvoir l'utiliser. Mais, lorsque je levai la tête afin d'être en mesure de faire face à mon interlocuteur, j'aperçus, à travers mes prunelles, une arrogance vénéneuse. Serait – il entrain de la juger, au niveau de ma carrure ou est – ce le fait que je sois une femme et que je me révèlerais être un lourd fardeau pour ses frêles épaules ? C'est alors, que je succombai à de futiles idéaux noirâtres qui me fit submerger ma empoisonneuse haine fulgurante. Prenant une vague à âme, j'ouïs la puissance du timbre austère du barbare dont il eut le malheur de lui annoncer que c'était un ténébreux chasseur de créatures nocturnes, ce qui me gratifiait un rictus sur mes lèvres, suivit d'une ravageuse hargne qui s'accentua lorsque ce dernier lui déclara qu'elle n'était qu'une faible, avant de pivoter sur ses talons pour lui indiquer, qu'effectivement, il en avait cure. Tout à coup, une montée furieuse d'une irritation agressive l'envahit, faisant trembler ses mains qui resserrait mon étreinte sur ma meurtrière lame. Après, vous lui demanderiez pourquoi je hais les hommes ! Tête baissée, ayant une lugubre démarche, j'agrippai, avec une grande violence, mon poignet afin de le planquer contre la cavité minérale dont je plaçai, par la suite, son arme, sous sa gorge. Ce fut, seulement, lorsque je fus satisfaite de mon acte, que je levai mes flamboyantes prunelles d'un épouvantable brasier que même la profondeur des lieux ne pouvait dissimuler. Accompagné d'un obscure sourire diabolique, je lui lançai :

« Il faudrait que vous appreniez à tourner, sept fois votre langue, dans votre bouche, mon chère seigneur, car l'habit ne fait point le moine.»

Instantanément, dans un brusque mouvement, Cid se détacha de moi, accompagné d'une ignorance porté sur l'arme que j'avais placé à son cou, mais, également, d'une arrogance, aussi dure que le fer, vint étinceler ce regard d'une volonté méprisante pour les faibles. Ce qui lui indiqua que pour lui, je n'étais qu'une chose inoffensive qu'on qualifierait de fragile. En effet, puisque le barbare pivota, légèrement, sa tête vers moi et lui lança un regard qui signifiait : « Finissons-en ! » De plus, ce dernier lui narra un résumé de son histoire qui lui bourdonna à l'intérieur de mes oreilles, ne parvenant, bizarrement que par bride car je ne distinguais que des groupes de mots comme : « là... où... vous ne tiendriez même pas... une seule petite... heure ! » Ses menaçants propos comparable à mes vénéneuses prunelles représentaient les dernières gouttes d'eau qui firent déborder le vase de son self – contrôle. Mon expression se glaçait devenant, de plus en plus, noire voire malfaisante et démoniaque, tout en plus que mes furieux mouvements de hargnes lorsque je me précipitai sur lui et le plaquai sur le sol de manière à ce qui s'effondre à plat ventre . Une fois l'acte produite, je m'installai sur lui, lui croisai les mains derrière son dos et de son autre membre valide, je lui plaçai, de nouveau, mon arme sur sa gorge.

« Je vous lance un défi, ici et maintenant ! Déclarai - je, avec un un timbre de détermination implacable, car je me placerai guère au même niveau que vous car j'ai remarqué votre incompréhension, voire votre ignorance, lors que ma réplique promulguée, auparavant. »

Suite à ses menaçants propos que j'avais promulgué, quelques secondes plus tôt, je sentis le las souffle du barbare lui effleurer ma peau. Ce qui lui indiquait que celui – ci allait, surement, répliquer ou lui faire part de son opinion sur ma hargneuse haine impulsive, au lieu de répondre à ma ….. requête ! En effet, puisque ce dernier lui déclara : « Vous venez de démontrer une des raisons qui vous tuera en quelques secondes là-bas. » La cause pour laquelle il avait annoncé ses ironiques paroles ainsi que le déclenchement d'un rictus sur mes lèvres, était le phénomène étrange de la sonorité des gouttes car celles - ci s'égouttaient, de manière anormale, sur l'étendue de la cavité minérale. Ce n'était point parce que j'avais succombé à mes pulsions meurtrières que je n'avais guère constater le curieux rythme élémentaire. C'est alors, que je me redressai, faisant face, à une lugubre silhouette dont sa gracieuse démarche ( limite en lévitation ) surgit à l'intérieur. Elle se dissimula, avec les ombres des lieux, aussi vite, qu'elle le pouvait, afin d'être capable de masquer sa véritable nature, c'est – à – dire, un vampire. Puis, le dénommé Cid prononça des paroles que je ne pus comprendre car celui – ci pivota dans ma direction, me plaquant sur le sol et m'entraînant dans d'innombrables roulades qu'il semblait infini, se retrouvant, à la fin, au dessus de moi dont il se releva, sans me prêter la moindre attention. Pour une fois, je pouvais lui gratifiait un point concernant cet acte mais, ceci en restait là. Par ailleurs, le sanguinaire s'élança sur son ennemi, en lançant, avec un timbre rauque : « Je vais t'envoyer au cimetière des moustiques dents rouillées ! » Ce qui allait débuter les hostilités. Désirant y participer, je ramassai le poignard que j'avais lâché, lorsque le barbare m'avait « sauvé » des attaques vampiriques, avant de me précipiter, à mon tours, vers notre adversaire commun. Cependant, il se révéla qu'il n'était point le seul à se planquer dans cette sinistre caverne puisque d'autres goules vinrent se joindre,également, au combat, comme s'il les avait prévenu par message télépathique. Ce qui ne l'arrêtait point dans ma détermination. D'ailleurs, je m'en fichait, royalement, si Cid lui reprochait, quoique ce soit, abordant ce sujet. Poussé par une ignorance de commentaire envers son partenaire de combat ainsi que par une volonté à toute épreuve, je bondissais vers le Maître vampire puisque j'avais déduit que ce dernier était le meneur de cette horde. Du moins si on pouvait la qualifier de la sorte. Hélas, l'un de ses protecteur, dont il a fait appelle, ( la goule A ) vint me percuter dans ma côte gauche, m'entraînant, ainsi, contre la sinistre cavité minérale. C'est alors que j'accompagnai ma douce douleur, comparable à une resplendissante caresse, un obscure sourire, avant de plonger dans les étincelantes prunelles sanguinaires de mon adversaire profitant, ainsi, de cette instant pour faire usage de ma finesse afin d'être capable de passer mes petites menottes, entre moi et la créature vampirique. Puis, une fois l'acte produit, je lui plantai mon poignard dans son sternum.
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Misaki Ayuzawa
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MessageSujet: Re: Tempérament de feu et eau paisible    Tempérament de feu et eau paisible  I_icon_minitimeVen 15 Fév - 19:44

Chapitre 6 : Une escapade nocturne pour un voleur de papiers administratifs


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Lorsqu'Aurora vint ouvrir le char Soleil aux portes du ciel, je nettoyais dans un effort débordante tout le mobilier de la taverne Guilty Pleasure. C'est alors qu'une sonorité, aussi scintillante de le clairon d'une flûte enchantée, emplir la salle, malgré les horaires qui indiquaient que le magasin était close. Lâchant un soupire de désespoir, je fus contrainte de saisir mon expression furieuse, emplis d'une pure haine empoisonneuse afin de provoquer la fuite de cette troublante personne, mais en conservant, néanmoins, un sentiment de toute bonté ( après tout, ceci dépendra de ce dernier). Je m'approchai de la modeste porte, dans une grâce et une souplesse qui surpris le mystérieux individu, lorsque je lui posai, délicatement, sa main sur son épaule qui le fit sursauter, en même temps que ses poils, se redressant sur son échine.

« Veuillez accepter mes plus plates excuse, mais, je suis contrainte de vous mettre à la porte, puisque l'heure est tardif pour vous restaurer de la sorte.
– Ce … Ce, débuta le jeune homme dont l'aspect paraissait humain. Cependant, je préférais me méfier de la véritable nature des personnes environnantes. C'est moi qui devrait m'excuser puisque je ne suis point censé, comme vous l'aviez mentionné, être en ces lieux mais, une obligation me fut contraint car je dois vous donner cette lettre en toute urgence et je vous demande, ainsi que le destinataire de cette faveur, vous requière une grande discrétion (il brandit la lettre en question, avec un charmant sourire, avant de s'éclipser dans les ombres, sans attendre, avec une forte patience, sa réponse qui abordait ce sujet)

Depuis que j'étais devenue une assassin, à part entière, on lui quémandait des choses fortement intéressante, mais, en découvrant l'emblème encré sur le dos, je savais, immédiatement, qu'elle appartenait, au maire de la silencieuse ville de BaldorHeim. En effet, ce dernier me convia de poursuivre un étrange individu qui avait su se fondre dans les jeu des ténèbres et dérober des papiers administratifs importants, concernant la ville. Je ne pus m'empêcher de sourire au nez, en secret, d'une moquerie, remplis de divertissement, qui serait adressé aux soldats, dont l'écriture italique et de cette écrit fort riche en littérature, dévoilait leur incompétence, mais, notamment, le désespoir, sous – entendue, de son destinataire. Heureusement, pour eux que dans leur rapport, ils avaient su connaître l'emplacement de son fantomatique intrus, qui se trouvait en plein centre – ville. D'ailleurs, c'était sans perdre le moindre instant, que je m'engageai dans l'anxieuse pénombre nocturne dont le malsain climat me menaçait de ses fraîches précipitées glacières qui se révéla – être de la douce neige. Celle – ci m'accompagna dans sa sinistre atmosphère hostile, en me camouflant, en échange de sa protection, face au vision aiguisé de certaines espèces : je lui laisserai caresser sa peau perle de lait. Alors, ayant choisit mon mal, je marchais, sans un bruit, dans BaldorHeim, où toutes les demeures paraissaient endormies, durant que les êtres qui y cohabitait, sombrer dans le tendre sommeil de Morphée. Toute !? Non, une seule trahissait dans le décors, où elle montrait une exceptions anormale aux règles silencieuses de la nuit. Du coup, je poursuivis mon chemin, vers cette humble maison commune et toquai, comme pour une simple visite de courtoisie. Une fois, deux fois, trois fois, avant que le propriétaire des lieux, enveloppé dans des vêtements de velours et de soies, afin dissimuler son identité.

« Veuillez accepter mes plus plates excuses, commençai je, en incrustant la pièce et découvrant les documents administratifs que je recherchais car j'avais reflété par la seule luminosité de la bougie, l'emblème du maire, mais, je dois reprendre une chose qui m'appartient. »

Le résultat de sa dernière phrase était la stupéfaction de son interlocuteur ainsi que de la peur qui s'affichait, peu à peu, par des perles de sueur et sans attendre qu'il puisse y répliquer sur ses mots, je me faufilai, avec une finesse féline, entre la porte et la personne, parvenant, ainsi, à pénétrer, à l'intérieur, pour d'être en mesure de saisir les documents que j' avais sous entendu dans mes propos. C'est alors que le mystérieux propriétaire comprenant sa fatale erreur, me lança une dague qui vinrent s'incruster dans mon épaule, dont la brutale impact, me fit valdinguer et accrocher contre un mur. Ce qui déclencha une ardente haine qui se mettait à la surface, à travers mes prunelles de couleurs noisettes, mais, j'annonçais, notamment, le début des hostilités, lorsque je retirai l'arme de ma chair.

« Je crois bien, déclarai je d'une ténébreuse voix menaçante, que tu viens de toucher les abîmes, avant même de connaître ton salut. »

Suite à ma glaçante menace, aussi tranchante que sa dague que je venais de dévoiler, je commençai à faire quelques pas, lorsque mon mystérieux adversaire me surpris, en déclenchant, ainsi, d'importante hostilité, avec un poing brandissant, où se logeait une lame, pointant vers son sternum. Néanmoins, ayant un regard d'une vipère indomptable, je me baissai afin d'être en mesure de lui saisir son poignet dont j'eus la charmante délicatesse d'une vraie tempête de lui tirer son membre, à travers un puissant mouvement, qu'on pourrait le qualifier d'une sauvagerie marine, en l'abandonnant, ainsi, dans une vulgaire vulnérabilité. Un sourire malsain scrutait mes douces lèvres et mes prunelles ruisselaient une fulgurante haine qui serait comparable à la jalousie d'une pure folie d'une sorcière antique, je plantai ma tendre lame dans l'un des cartilages de la colonne vertébrale qui ne serait point s'en conséquence si elle était parvenue. Malheureusement pour moi, ma lame ne parvint point à l'endroit prévu, se logeant, néanmoins, sur une autre partie du corps, où la sensibilité est la plus atroce. Cependant, à travers son échec, j'eus la fatale erreur de baisser ma garde, donnant, ainsi, le champs libre à mon adversaire de lui gratifier, trois poignards qui me transpercèrent, en ligne droite ma hanche, d'une charmante cacophonie insoutenable de douleurs, en la faisant vaciller, quelque peu. Alors, reprenant mes esprits, juste à temps, j'arrêtai une succession de charges en lui agrippant son poignet que j'accompagnai d'un massacrant sourire auquel un filet de couleur vermeille en profitai pour m'échapper. Je retirai mon arme, tout en tournoyant, sur moi - même, afin de me dégager de son emprise, avant de poursuivre, dans mes enchaînements fulgurants et complexes d'une sauvagerie, guidés par une pure hargne dont je misai toute ma puissance en direction de son ventre.

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MessageSujet: Re: Tempérament de feu et eau paisible    Tempérament de feu et eau paisible  I_icon_minitimeMer 22 Mai - 12:45

Chapitre 7 : Une Nuit agitée dans le désert d'Harena

Tempérament de feu et eau paisible  Rp_mis10

Par un astre journalier qui surplombait ce ciel éclairci, dans toute sa splendeur et qui menaçait la zone stérile, peu propice à la vie, en raison de l'impropre sol ou encore de la faiblesse des précipitations, le climat le supplia, de jour en jour, afin d'obtenir un peu de sa bonté et de sa grâce. D'ailleurs, je me mouvais, à travers cette chaleur, dont les grains de sable irritèrent ma peau. Je les ignorai parce que je les considérais comme une simple douleur, me permettant de conserver ma hargneuse haine. Ce qui me fondais un sentiment de détermination afin que je ne puisse m'affaiblir au cours de ma progression. Mais, heureusement, qu'une brise glaciale intervint dans ce sinistre lieu, annonçant sa douce interlocutrice, dont elle, seule, pouvait ouïr ma triste complainte, dominant dans sa ravissante parure bleu – nuit : ma merveilleuse et reine lunaire. Je marchais, marchais jusqu'à ce que je remarque une pierre camouflant une légère cavité minérale et dont je pouvais apercevoir des reflets bleuâtre indigo que je soupçonnais être la signification d'une présence d'eau. Du coup, je me précipitai, à l'intérieur, sans même me rendre compte, du piège tendu qui se situait à l'entrée. Il eut tout d'abord, une sonorité, suivit d'une corde qui avait saisi ma cheville et qui m'avait attiré vers le plafond. Voilà que je me trouvais prise au piège dans une stratégie elfique. Je pivotai à l'aide de mes pieds et remarquai une silhouette féminine. Étant donné, sa grandeur ainsi que la taille de ses oreilles, j'avais décelé sa véritable nature qui indiquait qu'elle appartenait à la race sylvaine. Cependant, je ne pouvais point choir, là – haut, en attendant, sagement, qu'il ou qu'elle puisse l'aider à descendre de son pied d'estrade. C'est alors que je glissai ma main, sous mon tablier, dévoilant mon magnifique poignard. Ensuite, je taillai la corde, avant de me laisser tomber, en souplesse, sur le sol, comme lui avait enseigner ma mentor, Stella. Malgré le peu de sonorité que j'avais produite en atterrissant, je me doutais bien, qu'avec ses oreilles fines, le mystérieux individu l'avait probablement ouït. Du coup, je me plaçai devant elle brandissant mon arme jusqu'à ce qu'elle soit rassurée sur ses intentions. Déjà, sans que sa mystérieuse interlocutrice soit au courant, elle avait monté un cran dans mon estime puisqu'elle se révéla être une jeune femme. Néanmoins, ce qui m'empêcha guère de la surveiller pareille à une vipère pendant que je m'installai à sa proximité. C'est alors que je vis ses prunelles vert émeraude de l'elfe endormie qui tentaient avec une certaine discrétion de s'ouvrir. Puis, je la fixais, un petit moment, avant que cette dernière, décide
de repartir. En effet puisqu'elle rassembla ses affaires, avant de se diriger vers sa fidèle et merveilleuse monture. Ce fut à ce moment, que je ne se posai guère la question pour comprendre le mal entendu qui c'était glissé entre ses évènements et allai, délicatement, dans sa direction, afin de se faire pardonner pour mon geste maladroit.

« Veuillez accepter mes plus plates excuses, concernant, ce geste qui était, effectivement, mal placé mais, je ne savais guère comment vous alliez réagir lorsque vous sortirez des bras de Morphée, me découvrant, ainsi, face à vous, tel monstre qui pourrait être surgir de nulle part. * petit silence * Je me prénomme Misaki et vous ? »

Le résultat face à ma demande d'excuse selon les règles coutumières elfiques était accepté puisque la jeune femme sylvainne s'inclina devant mes salutations :

« Enchantée, Sakura. Vous ne me dérangez pas, je m'en allais. D'ailleurs, je vais devoir reprendre ma route, je risque d'être en retard sous peu. A bientôt, demoiselle. »

Sakura, un prénom d'une merveilleuse beauté qui renfermait le contenu d'un charme de choix, à travers sa consonance mélodieuse d'une luxuriante efflorescence d'un lustre, composé de perfections ornement fleural. Cependant, cette enchanteresse elfe brisa cette douceur qu'elle avait fondé, rien qu'avec l'accompagnement de la prononciation de son nom, à cause de ses anormales propos, aussi froide que le vent hivernal, couvrant les montagnes glacières. Comment une personne aussi frêle que la bonté généreuse d'une surface boisée de divers teintes, peut – elle, paradoxalement, contraster avec le mélodieux timbre qui devait, normalement, s'en dégager ? La crispation de l'impatience rongeait son visage, dévoilant, par la même occasion, son irritant de déplaisir envers la jeune mortelle, mais existe – t – il, réellement, un lien avec cet ennui dont la semblable ressemblance avec la neutralité de sa nervosité, possédait un rapport avec sa hâte à quitter les lieux ? Dans toutes ses gracieuses manières, Sakura pivota sur ses talons, avant de me gratifier un coup d'oeil émeraude qui surligna son ignorance à bien plus des égards, abordant un seul sujet : moi, qu'elle considérait, sûrement, comme une fouineuse ou encore une moins que rien. Puis, elle s'en alla, pendant que sa fidèle monture marchait dans une pureté de filaments argentés que luisait sa crinière, de manière à les rendre irréels.

« Allons-y chéri ! S'exclama Sakura d'une humeur gaie.
– Excuser – moi, osai - je me risquer, en conservant la tête haute, êtes – vous sûre de ne point m'accorder une minute de votre temps pour que je puisse aider ou autres choses, selon la coutume elfique ? »

Elle savait qu'elle était sur une glissante pente, mais, elle désirait connaître, si elle était, bel et bien, un être aussi froide que ses paroles en avait dispersé. C'est alors qu'une étrange bonté fleurale se dessinait sur les lèvres de la créature sylvainne, m'abandonnant, ainsi, à l'intérieur de doutes, remplis de confusion, d'un état, incroyablement mêlé et conquis qui aurait pu être comparer à un doux élixir. Pourtant, j'avais conscience que ma charmante interlocutrice n'avait guère l'intention de me blesser, mais, à travers cette petite risette, elle se demandait si elle n'avait point dévoilé une partie de son être dont sa personnalité ne correspondait aucunement à son habitude, c'est - à - dire, l’innocence naïveté et le fait qu'elle soit dans une autre qualification d'une pureté candide, qu'on attribué, à l'aide d'une aisance, aux jeunes filles. Ces noirâtres songes, quant à eux, se confirmèrent, lorsque Sakura me déclara qu'elle ne devait point se sentir ' vexée ' par l’amertume de sa réponse, pendant qu'elle saisit un bâton afin d'expliquer la situation à sa problématique, conservant leur diminution de provisions. Néanmoins, je devais reconnaître que son adieux était plus mélodieux, en apportant, ainsi, une consonance plus amicale. Il serait odieux de sa part, de ne point répondre à un tel au revoir. C'est pourquoi, je le lui rendis, accompagné d'un lumineux sourire rejoint d'un souhait chanceux pour sa route et que je serais ravie de croiser leurs chemins, encore et encore. Cependant, je savais que cela ne serait que le fruit du hasard du prodigieux destin, l'entraînant, ainsi, dans une idéologie de lui gratifier un lieu de facilité, où nous pourrons nous retrouver, tout en lui tendant une de mes gourdes.

" Comme je viens de vous l'annoncer, débutai - je, je serai ravi de vous accueillir, mais, dans un endroit plus conviviale, d'une atmosphère champêtre que vous aviez, surement, pu ouïr. C'est un taverne au nom de Guilty Pleasure auquel je travaille en compagnie de vos compères en tant que serveuse. D’autant plus, je me suis dit, telle une généreuse bonté de vous gratifier une de mes gourdes pour vous ainsi que pour votre fidèle ami puisqu'il serait fort regrettable d'être en pénurie d'un précieux liquide. Ne vous inquiétez point pour ma part car j'ai, bientôt, atteint ma destination."

A la suite de ses gracieuses paroles d'une effroyable angélique, Misaki s'avança vers l'aveuglante luminosité de l'astre solaire afin d'être capable de faire route dans l'irritante chaleur et face aux grains de sables fins.
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