Styx Xerry Hypnos, Onirique furie vengeresse ~

Pseudo: Skully S.

Âge: 15 ans

Classe, Métier: On fait quoi à 15 ans ? _ on glande_ ouai mais à part cela, on est lycéen.

Passe-temps: Codage css, html, jquery et javascript *µ* ainsi que graph et rp.

Couleur préférée: le noir n'est pas une couleur ~

Comment avez vous connu ce forum ? Par Sakura Mitsuki x)

Un commentaire sur le forum?: Hum ~~ page d'accueil un peu fade, et forum trop large >.> mais j'aime beaucoup l'ambiance et le contexte ^^

Allez, dépêche toi, fais ton personnage!

Identité: Styx à sa réincarnation, Xerry de sa première apparence et Hypnos de son créateur, soit son nom de famille

Âge: 7 ans (d’apparence 20 ans)

Sexe: femme

Race: stryge noir

Ce qu'il aime: les sucreries, les gâteaux, les sucettes, notamment, les nouvelles expériences, son ancien corps, ces ailes...

Ce qu'il n'aime pas: sa mort, se retrouver coincer dans les labyrinthes, les gens en général ~

Code du règlement: /

[ autre ] Description de son pouvoir: Oniromancie

C’est la magie divinatoire liée aux rêves. Lorsque quelqu’un tombe dans les bras de Morphée, les Oniromanciens ont le pouvoir de s’introduire dans les rêves des gens, de s’approprier leurs songes, de les modeler à leur guise et d’en faire ce qu’ils en veulent. Ils peuvent créer des visions idylliques comme l’enfer lui même. Pendant qu’ils contrôlent l’esprit de quelqu’un, ils sont comme en transe, et abandonnent leur enveloppe charnelle pour que leur esprit puisse vagabonder selon leur bon vouloir. Malheureusement, pendant ce temps, leur corps est sans protection, et totalement vulnérable aux attaques. De plus, si leur corps est détruit, l’esprit de l’oniromancien se retrouvera sans corps, et sera condamné a errer, sans trouver les portes de l’au delà. Ils doivent donc faire très attention à leur corps. Bien sur, ils ne peuvent tuer les gens directement par leurs rêves, mais pousser les gens à se tuer eux même en leurs imposant des visions démoniaques. Cette magie les fatigues plus ou moins selon la race de leur victime, et la force mentale. Un oniromancien avancé peu même infligé des cauchemars ou des rêves éveillés à une personne.

[ la fiche est longue, je m'en excuse. De plus, dans ces textes, les "stryge noir" peuvent être dits comme "démon". Ce dernier n'est donc pas pour la race, pour pour définir le mal qui domine leurs âme. ]

Et à quoi tu ressembles, au fait?

Lorsqu’on contemple Styx,on est confronté à une beauté rare et dangereuse, sauvage et indomptable, et pourtant si douce, tel les pétales de la rose couverte d’épine. Contrairement à cette dernière, la belle Styx ne flétrie jamais. Sa peau d’ivoire au grain parfait, légèrement rosée à la hauteur des pommettes, s’illumine au gré de la lune, dont la lumière d’argent glisse sur elle comme l’eau autour d’un rocher, sans heurtes. Ses très longs cheveux bleus clairs, d’une couleur peu commune, je vous l’accorde, se marient parfaitement pourtant au reste de sa personne. Ils ondulent légèrement, soyeux et brillants, autour d’un visage dont les trait sont si fins qu’ils sembleraient pouvoir se casser lors d’un simple sourire. Des lèvres pulpeuses et d’un rose tendre se dessinent finement au dessous d’un nez droit, sans défaut. Deux yeux de biches, encadrés par de longs cils volumineux, plongent directement dans l’âme de l’interlocuteur. Ses iris roses fluorescents déstabilisent toute créature osant la regarder dans les yeux. Cependant, ces personnes ne voient rien d’autre que la belle couleur, car les yeux de Styx, contrairement aux autres créatures, sont vides et dénués de vie.

La stryge s’habille de façon simple, sans froufrous et autres concepts ineptes de la beauté. Elle revêt toujours des robes, ne sachant pas bien se battre ni courir en raison de son corps quelque peu fragile, et rehausse sa beauté d'accessoires diverses, telles des tiares et des fleures, qu’elle met dans sa belle chevelure. Les fleures de lys et les narcisses sont ces préférées pour embellir ses tenue. Le lys pour son blanc immaculé, et la narcisse, pour son histoire et sa présence aux enterrements. Elle porte toujours diverses bijoux, boucles d’oreilles ainsi que bracelets, colliers et bagues, toujours en argent, pour s’accorder avec les tons de sa personne. Les jolies robes courtes a corset lui vont à ravir, mais l’époque ne le permet pas, alors elle ne s’habille ainsi que lorsqu’elle est seule pour un moment, ce qui lui arrive très souvent en réalité.

Notre demoiselle est petite. Quand je dis petite, c’est qu’elle fait entre 1,57m et 1,60m, et n’aimant pas les talons, de part leur taille et surtout leur bruit incessant sur le sol, elle n’en porte que rarement. Elle n’aime pas se rendre ridicule en tombant, cela fait quelque peu... disons amateur. De toutes façons, elle n’en a pas vraiment besoin, étant petite, certes, mais peu complexée par cela. De plus, elle aime la forme de son corps. Dire qu’elle aime son corps est une abomination, une scandale qui, si elle avait connaissance de ses malheureuses paroles, vaudrait au menteur de sombres et très douloureux rêves. En effet, elle a tellement regretté son corps qu’aimer cette enveloppe lui parait inepte et scandaleux. Malgré tout, elle apprécie les formes fines, certes féminines, mais minces de sa personne. Ces longues jambes sont a faire pâlir Venus, elle possède aussi une gorge avantageuse, mais non embarrassante, étant donné que son corps est vide.

Sa beauté parait lumineuse, givrée, certes, on l’apparenterais plus à l’hiver qu’au soleil d’été, mais son apparence est trop lumineuse pour être celle d’une stryge noire ordinaire. Par ailleurs, si l’on regarde bien, on remarque de la raideur dans ses mouvements, comme des dis fonctionnements, et quelques grincement se font entendre parfois. Les créatures de chair et de sang ne grincent pas, et n’ont pas de mouvements si mécaniques que Styx, tout simplement parce que ce n’est pas le vrai corps ni la véritable apparence de la jeune démone. Son corps est de plastique dur, mais fragile, sans organes, sans rien à part du vide à l'intérieur. Ses articulations sont emboitées les unes aux autres et se défont facilement, ses yeux sont du verre le plus pur qu’il soit et le reste n’est que matière fabriquée artificiellement. Styx n’est pas humaine, Styx n’est qu’une poupée.

Une mentalité particulière?

Styx est une personne au caractère très contrasté. La stryge n’aime que peu de gens, et peu de gens l’aiment. Mais de toutes façons, elle ne souhaite être aimée que par ceux qui l’aime, donc elle n’est pas vraiment concernée par des problèmes affectifs aigu. Il arrive, rarement, mais c’est arrivé, qu’elle aime une personne qui ne l’aime pas. Dans ces cas là, elle restera à ruminer sur cette affection, ou a déprimer, et mettra ses activités démoniaques en arrêt jusqu'à ce que les sentiments indésirables s’estompent. Elle n’est pas très affectueuse, même avec ceux qu’elle apprécie. Elle ne dit que très rarement à quelqu’un ce qu’elle ressent, que ce soit une petite ou grande amitié, et elle déteste toutes marques d’affection envers sa personne.

Parallèlement, ceux qu’elle déteste le savent sans détours, et subissent ces foudres. Qu’ils ai fait quelque chose contre elle ou qu’ils l’ai simplement regardé de travers, elle les détestera, et les détruira de l'intérieur. La jeune fille n’est pas soucieuse du mal qu’elle peut causer. En fait, elle n’a que faire du bien et du mal, elle agis comme bon lui semble, mais en se conformant à ses seules règles. En effet, elle maintient que le simple fait d’avoir des règles maintient les démons et autres créatures au rang supérieur aux animaux, et que sans règlement il n’y avait rien de bien intéressant. Aussi a-t-elle ses propres commandements, qu’elle seule est engagée à respecter.

La demoiselle a le don incroyable importuner les gens sans le vouloir, d’un simple coups d'œil parfois. Effectivement, pour une créature dont le corps n’est pas censé représenter d’expressions, elle a souvent une tête froide et triste qui maintient les gens loin d’elle et les poussent à chuchoter derrière son dos. Elle ne ment d'ailleurs jamais, et ne sait se taire, déversant un flot de reproches _ ou de vérités selon le point de vue _ à celui qui lui adresse la parole.

Effectivement, notre poupée est fort arrogante, a force de moqueries, se trouvant supérieure à ces autres qu’elle considère plus comme des parasites que des semblables. Elle est orgueilleuse et se sent fort différente de toutes ces larves infectes qui grouillent autour d’elle dans ce monde de mal, ou le mot « équilibre » est simplement inconcevable. Elle, contrairement aux autres, ne fait pas le mal pour le mal, mais pour se divertir, ne pas s’ennuyer, et se venger. Elle ne veut pas perpétuer le mal et ne hais pas la lumière, elle ne désire ni la paix ni la guerre, elle veut seulement qu’on la laisse jouer tranquille avec les esprits et qu’on arrête ces stupides querelles entre races. A quoi bon ? Pourquoi croient-ils tous qu’ils sont obligés de faire le mal pour le perpétuer ? Pourquoi haïssent-t-ils tous la lumière ? Sans intérêts personnels, ce n’est rien qu’un mauvais jeu, un stupide passe temps.

Son imagination n’a pas de limite, contrairement à son enveloppe charnelle, terriblement limitée dans ses possibilités, et emprisonnant une partie de son pouvoir. La jeune fille déteste connaître l’existence de ce pouvoir sans pouvoir l’exploité, a cause de ce corps fragile qui la rejette, et qui se briserait au moment ou la slave d'énergie exploserait. Cela arrivera forcément un jour, le pouvoir se nourrissant un peu plus à chaque moments. Ce maudit jour, elle mourra réellement et pour de bon, elle tombera dans l’abîme infernale et perdra la totalité de ses pouvoirs, sans aucun espoir de retour. Sa condamnation, son auto destruction la hante de plus en plus chaque jours, l’épée suspendue au dessus de sa tête, la corde retenant l’arme s'effritant un peu plus d’heures en heures... son destin fut scellé le jour où elle s’était attaquée à la mauvaise personne, mais cela sera raconté plus tard.
Styx est également toujours souriante avec les personnes qu’elles connait et qui l’accepte un tant soit peu. Elle est toujours calme, mais un sourire est omniprésent sur ces lèvres de plastiques. Elle est très gourmande, ayant besoin de se nourrir même sans vrai corps. La nourriture, par quelques moyens que ce soient, est, une fois avalée, directement absorbée par l’esprit et l'empêche de mourir de faim. Elle adore donc les confiseries, et mange énormément de bonbons en tous genres. Styx aime aussi piquer dans les assiettes des gens, sans leur permission, évidement. Ce petit défaut lui vaut quelques remontrances, mais qu’importe. Autre point important, elle ressent la douleur comme une personne normale. Bien qu’un bras puisse lui être arraché sans soucis pour sa santé, elle en ressentira une douleur qui éradiquera toute raison pendant un certain temps. Elle parle très élégamment, et adore la langue. Elle pense que l’absence d’un bon langage revient à s’abaisser à des animaux, et elle cultive sa langue autant que possible, lisant, surtout, lisant plus encore et plus qu’elle ne peut.

Styx aime se surpasser. Peu lui importe les domaines physiques, non, elle ne se surpasse que dans des domaines intellectuels et culturels. Elle aime tout ce qui touche aux sciences, aux calculs compliqués, aux formules scientifiques et à l’anatomie des cellules. C’est un jeu pour elle. On lui dit les règles, et elle y joue, c’est aussi simple que cela. Pourquoi se prendre la tête a essayer de réfléchir alors qu’il n’y a que des règles à appliquer dans les mathématiques, par exemples. 1+1 fera toujours 2, c’est une règle, et dire 3 serait perdre. Tout pour elle est un jeu, elle ne vit que pour cela, et souhaite profiter des quelques années, mois, semaines, jours, heures, minutes, et secondes qui lui reste à vivre sa semi-existence.

Pour une stryge noire, elle a peur d’une chose bien particulière: la mort. Elle a peur de sa propre mort, ou plutôt du néant qui va la happer toute entière alors qu’elle sera le témoin impuissant de son propre déclin. La destin la frappe de façon si lente, si sadique, l’attrapant dans ses griffes qui se referment peu à peu, dont elle ne peut sortir. Elle a peur, elle cri sa terreur, mais c’est trop tard, elle ne peut s’extraire de sa prison, du couloir de la mort dans lequel elle marche de plus en plus vite, jusqu'à ce qu’elle atteigne la porte qui la conduira au néant. Sa mort la terrifie plus que tout, et cela la conduit à faire du mal. En effet, dans ses crises d’angoisse liés à la mort, elle ne se contrôle plus et cela peut lui arriver de faire du mal psychologiquement à quelqu’un, un pauvre malheureux qui s’est endormi au mauvais moment et dont l’esprit sera le champs de guerre de la furie démoniaque de Styx.

Parallèlement mais à un degré moindre, elle a peur des enfants. Non, ce n’est pas qu’elle ne les aime pas, enfin si, mais pas uniquement, elle en a vraiment peur. Elle Ne veut pas s’approcher d’un enfant, même étant presque une enfant elle même. C’est peur déraisonnable, certes, mais qui protèges ces chers bambins de sa folie meurtrière et de ces contrôles d’esprit, ce qui est, pour eux et pour leurs parents, une bonne chose.

Ayant la possibilité d'accéder au monde où tout est possible, Styx est une artiste à sa manière. Ses doigts de plastiques savent encore tenir un pinceau, et elle peint tous les univers qu’elle a créé dans un passé proche. Ses peintures et ces dessins sont souvent magnifiques, peu utiles mais merveilleux. Elle possède également d’une intelligence anormalement grande et sa mémoire est gigantesque et elle se souvient de chaque rêves qu’elle a créer.

Styx, hormis les jeux, n’a qu’un but: se venger de deux personnes, ses deux assassins. Celui qui l’a tuer, et, encore pire, celui qui a précipiter sa mort, la forçant désormais à vivre sa semi-existence dans le corps de plastique d’une poupée qui ne lui ressemble même pas, et qui se dégradera jusqu'à n’être qu’une carcasse dénuée d'intérêt de de vie.

Raconte moi ton histoire, jeune individu...

Préface:

La vie, bons, mauvais , n'est qu'un éternel recommencement. Ce n'est pas de la routine, non, mais les évènements sont toujours semblables, comme une boucle infernale. C'est ainsi que la demoiselle Styx Xerry Hypnos mourut sans mourir, et de la même façon que mourut son créateur. Une âme part, une autre née, c'est dans ce cercle vicieux que Styx s’enchaîna bien malgré elle, et celui qui la précipitera à sa perte. Voici son histoire...

[size=16]Chapitre I ~ Pré-Naissance

Noir... le néant... seul le vide et l’espace. Puis une image, d’abord flou, puis plus nette. Oui, un paysage se mettait en place. Le rideau allait bientôt se lever sur l'héroïne de ce rêve. Les décors se construisaient, les objets et les personnages se créaient, et le scénarios s’écrivait, dictant déjà le cours de ce songe. Puis le protagoniste de la scène se matérialisa. Il n’était pas commun à ce monde, c’était un humain, un simple humain, se nommant Hypnos. Enfin, il n’était pas si simple que cela. Il était réputé pour sa noirceur d’âme et ses multiples crimes. Homicides, viols, paricides et enfanticides, il est d’une cruauté maladive. Curieusement, ses rêves sont pourtant plein de fantasmes doux et humains, ensoleillés et ne reflétant nullement la folie qui sommeillait en lui. Ce rêve fut la seule exception, et n’aurait jamais eu lieu d’être.

Hypnos regarda autour de lui, sans se douter qu’il se trouvait dans son propre esprit, et il vit jeune fille aux yeux en amande, noirs et sans fond, et à la chevelure de jais. Des reflets roux paraient ses cheveux, et la finesse de ses traits rappelaient les statues grecques. Il sut de suite, sans y réfléchir, que son nom était Xerry, et qu’elle lui était destinée. Le rêve se déroulait tout à fait normalement, comme tous les humains qui dormaient paisiblement.

Mais Hypnos n’était pas homme aimé dans le monde des humains, et pendant qu’il dormait, un de ses ennemis le trouva. Il vit son corps, allongé par terre, paisible. Ses traits traduisaient la paix et le bonheur de son sommeil. Personne ne soupçonnerait , comme cela, d’un premier regard, cet homme de toutes les atrocités qu’on lui attribue. Mais l’homme qui vient d’entrer ne se laisse nullement intimidé par cette apparente innocence et s’approche, le couteau à la main. De la paille crise sous les chausses du potentiel assassin, et il craint de réveiller le dormeur. Ce dernier bougonne dans son sommeille, et se tourne sur le côté. L’homme au couteau soupire de soulagement et s’approche encore... un peu plus...

Les deux jeunes gens marchaient le long d’un lac dans le paysage onirique de Hypnos. Ils parlaient gaiement de tout et de rien, sans se préoccuper d’autre chose que de chaque secondes qui passait, les rapprochant toujours un peu plus, faisant naitre une amitié grande et riche entre deux être qui n’ont lieu d’être dans le monde des humains. Quel délice que de se comprendre parfaitement, sans avoir à parler pendant des heures des mêmes sujets, d’un simple regard, d’un simple geste, tout le savoir transmis d’un simple acte et d’une simple pensée. Cet instant était magique, les choses ne pouvaient que bien se passer...

Hypnos souriait paisiblement dans son sommeil, et le futur assassin s’agenouilla aux côtés de son ennemi. Ils positionna le couteau au dessus du cœur de la future victime, et prit l’arme a deux mains, tremblant, apeuré du geste qu’il allait faire. Cet homme, allongé, sans défense, avait tué sa petite sœur, sa chère petite sœur, d’une manière horrible. Les morceaux de la petite, préalablement hachée vivante, avaient été mangés par des chiens, qui avaient ensuite attaqué le village. Les images horribles du pauvre homme lui revenait en mémoire au moment ou d’un coups sec, il enfonça la lame dans la poitrine de Hypnos.

Soudain, tout se figea. Hypnos sentit sa respiration se couper. L’air n’entrait plus dans ses poumons, et seule Xerry le regardait d’un air affolé. Le paysage de rêve s’évanouit lentement, telle une peinture qui se délaverait, et la demoiselle tendis une main vers son futur amant. Il la regarda et tendis à son tour le bras pour la toucher, et leurs doigts se frôlèrent, au moment où, dans un dernier souffle qui n’avait pas été gelé par le froid qui s’étendait dans tout son corps, il murmura son nom:

- Xerry ...

Le couteau s’enfonça comme dans du beurre dans le torse de Hypnos, qui sursauta. Il n’ouvrit pas les yeux, cependant, restant en apparence dans son rêve qu’il ne voulait pas quitter. Le sang coulait le long de la lame, teintant la chemise grossière de l’assassin d’un rouge carmin flamboyant. Dans un dernier effort, Hypnos leva un bras et murmura un nom, un seul nom:

- Xerry ...

Sa main retomba sur le sol tandis que les dernières pulsations de son cœur retentirent aux oreilles du frère endeuillé comme le glas libérateur, la promesse de salut pour sa défunte sœur, et le repos de sa propre âme. Il se leva, abandonnant le corps, et partit par les chemins...

Chapitre II ~ Vie dans Duralas

Un éclair retentit dans le monde du dessous. Une force magique très puissante venait de se produire, une naissance, un nouveau démon venait d’être assembler. Qui était-il ? Était-il assez puissant pour ne pas se faire marcher sur les pieds par les humains et les anges ?

Une jeune personne venait d'atterrir au beau milieux de nul part, en position fœtale, les très longs cheveux bruns recouvrant sa silhouette nue. Elle ouvrit ses grands yeux en amandes, et posa sur ce monde un regard vide. Où était-elle ? Et Qui était-elle ?

« Xerry ... » lui lança une voix masculine « Xerry, Xerry, Xerry... »

On aurait dit le râle d’un mourant, répété, se répercutant dans sa tête comme une balle sur des parois incurvées. Elle se tint la tête à deux mains, et pensa:

« Assez ! Je m’appelle Xerry ! »

La voix s’arrêta soudainement, aussi vite qu’elle était venue. Xerry rouvrit les yeux et regarda ses mains, qu’elle venait, dans un geste de pur réflexe, de coller sur ses oreilles. Elle se leva, sans aucune gêne vis-a-vis de sa nudité, et regarda son nouveau corps. Elle se découvrit avec les mains, et au moment ou elle tâta sa gorge, elle laissa échapper un son. Elle essaya une phrase, et cela fonctionna. Elle savait parler, et elle savait parler une langue connue. Soudain, elle sut qu’elle devrait être gênée d’être dénudée, et elle partie en quête de civilisation.

En chemin, Xerry se souvint d’un autre nom, Hypnos. Qui était-il ? Elle ne se souvenait pas. Peut être était-ce son nom ? C’est ce qu’elle répondit lorsque, arrivée a un groupement de stryges noirs, elle se présenta. Ces créatures l’habillèrent et la prirent un temps avec eux pour qu’elle fasse ses marques dans ce nouveau monde, et qu’elle découvre ses pouvoirs...

* *
*

La jeune démone ne tarda pas à s’habituer à cet univers étrange qu’est cette contrée. Elle se contentait de vivre sa vie, de découvrir les joies de ce monde et de se découvrir elle même. Elle apprit que les gens du dessus, les stryges blancs, était leurs ennemis. Pourquoi ? Pourquoi des ennemis ? Elle n’était pas du genre à être ennemie avec quelqu’un simplement parce qu’on lui disais « n’aime pas untel » ou « untel n’est pas fréquentable ». Il lui fallait des preuves tangibles pour ne pas aller avec tous les clans à la fois, ce que les autres démons qualifiaient d’étrange.

Xerry adorait sa nouvelle forme. Elle savourait les courants d’air qui passaient sur sa peau, chatouillant ses sens et la faisant frissonner de délice. Elle aimait le goût des aliments, voir, même pour regarder le mal qui s’étendait dans cet étrange univers. Tout l’enchantait, même les plus horribles tortures étaient une nouvelle sensation, un nouveau cadeau que ce monde avait à offrir. Elle aimais aussi se défouler, faire un peu de sport, courir, sauter, jouer, tout était merveilleux.
Elle était aussi en quête de culture et de sagesse. Elle avait prit connaissance de ses pouvoirs de oniromancie et elle s’amusait sans prendre le contrôle des rêves. Sa plus grande joie du départ était d’observer, de comprendre, de voir, et d’entendre tout ce qu’une personne désire ou déteste secrètement, ce qu’elle peut ne même pas connaître d’elle. C’était si différent d’une personne à une autre, il y avait tellement de différences, de désirs secrets opposés, de peurs inexpliqués... c’était un code qu’il fallait déchiffrer pour comprendre. Comprendre ? Oui, comprendre toutes sortes de gens, ouvrir son esprit, ne pas se cantonner a ce qu’on sait, et voir large, toujours plus large, pour atteindre le summum de la sagesse.

Cela faisait à peine 7 ans qu’elle était née et elle visait toujours plus loin, encore et toujours pour s’améliorer et voir de nouvelles choses. Elle déteste la routine, et ne demande qu’à vivre de nouvelles expériences, encore et encore. Elle commença à manipuler les rêves, a les faire devenir tantôt cauchemars tantôt songe céleste, et elle trouvait cela d’une exquise drôlerie qui comblait les mornes soirées inactives. Le repos de ses victimes l’indifférait, elle n’avais cure de savoir s’ils souffraient ou s’ils prenaient plaisir aux visions délectables qu’elles leur imposait.

Un soir, toute son existence bascula...

Chapitre III ~ Labyrinthe et combat

C’était une nuit calme, et Xerry avait passer une journée trop tranquille à son goût. Son existence était devenue quelque peu morne depuis un certain temps, et elle souhaitais mettre un terme à son ennui. Ses pouvoirs avaient décuplés, et elle ne souhaitais que les utiliser d’avantages. Cette nuit là, elle prit une décision qui scella le cours de son destin à tout jamais.

La jeune démone se trouva un entrepôt abandonné pour laisser son corps derrière elle pendant sa séance d'oniromancie. L'entrepôt était plein de jouets, de poupées et d’autres babioles, ce qui lui faisait penser que c’était un ancien magasin pour enfants. Elle s’installa dans un coin de la pièce, et laissa aller dans les bras de Morphée, sans aucunes résistances.

Une fois endormie, son esprit quitta son corps et se dirigea vers un stryge noir qu’elle avait rencontré peu avant, et qui l’avait regarder de travers. Elle voulait tester ses capacités sur un de ces démons puissants, et dont l’esprit n’était pas sans surprises, et elle avait trouver le cobaye idéal. Elle s’immiscia donc dans l’esprit de sa victime, et soudain, au lieu de se glisser lentement dans celui ci comme à son habitude, elle se retrouva happée, emporté dans son cauchemars. Elle ouvrit les yeux dans une sorte de large vestibule. Elle se trouvait dans le rêve de la créature démoniaque, mais cela semblait étrange, dénué de sens. Le couloir s'étendait à perte de vue, et sur les mur des portes étaient fermées. Les murs, le sol et le plafond étaient tout en carrelage blanc et noir, et cela donnait une impression de volume fort impressionnant. Xerry essaya de changer le décors grâce à ses pouvoirs, et elle ne réussit point. La seule chose que son pouvoir déclencha fut un trouble de l’image de quelques secondes. Elle se leva, et commença a l’approcher d’une porte. Elle était verrouillée. Elle essaya de tourner une autre poignée, et elle était également fermée, ainsi que les deux prochaines qu’elle essaya. Soudain, une porte se mit à claquer, puis deux, puis cinq, toutes les portes s’ouvraient et se refermaient sans interruptions, laissant seulement entrevoir un noir total. Xerry tourna sur elle même, affolée, et se jeta sur une porte, tombant dans son contenu, le néant total.

Elle tomba pendant des secondes qui parurent une infinité, puis elle atterri enfin sur une surface dure. Le choc fut étrange, mais toujours mieux que de tomber dans l’infini. L’oniromancienne se releva et regarda autour d’elle. Il y avait de longs murs, et plein de tournants. En commençant à marcher, elle se rendit compte qu’elle était dans un immense labyrinthe. Troublée, elle essaya encore une fois de contrôler ce rêve, de le transformer à sa guise, mais ne parvint qu’à s'essouffler d’avantage. Elle regrettait déjà d’être venu dans cet esprit, et ne finira pas de le regretter. Elle commença par marcher, puis courut de plus en plus vite, jusqu'à ce que, essoufflée, elle s’arrêta à l’intersection de que couloirs, cette dernière de la taille d’une place. Xerry se reposa quelques secondes, avant de remarquer qu’elle n’était pas seule. Le stryge qu’elle avait essayer de pervertir souriait à pleines dents...

Un stryge blanc courrait, essayant d'échapper à ses poursuivants. L’un deux lui arracha une plume, ce qui le fit gémir de douleur. Il étaient trop nombreux, il fallait qu’il trouve un endroit pour se cacher, et vite ! Il profita d’une ruelle sombre et d’un carrefour dans la ville de Ville de Stellaraë
pour semer ses poursuivants. Il entra en trombe dans un espèce d’angar qui ne servait plus a rien d’autre que de contenir des vieilles breloques et des choses pour enfants, il se sentirait en sécurité à l'intérieur. En les entendant s’éloigner, il poussa un soupire de soulagement. Soudain, il vit une silhouette entre les divers jouets. En s’approchant, il distingua une jeune fille endormie. Il la trouva très belle et fort gracieuse, et la regarda avec émerveillement. Il trouva tout de même bizarre qu’aucun mouvement n’émanait de son sublime corps, qu’aucun souffle d’air ne soulevait sa délicate poitrine. Il s’approcha et vit qu’elle avait deux grandes ailes noirs... une stryge noire. Le stryge blanc s’écarta, effrayé, tandis que des images lui revinrent en tête. Ce visage lui rappelait un rêve, un songe horrible qui le hantait nuit et jour depuis qu’il l’avait fait. Ce cauchemars avait été l'œuvre d’un oniromancien, et cette jeune fille était la pièce maitresse de son calvaire.

Il devait faire en sorte d’éviter à d’autres de souffrir, il devait l’éloigner, il devait la tuer...

– Tu es enfin là, je savais que tu viendrais me rendre visite, lança l’homme qui lui souriait en s’inclinant légerement, je suis ravi de faire ta connaissance dans des lieux plus personnels.

Elle le regarda avec dégout et se redressa, aussi menue soit elle, pour lui faire face. De sa voix mélodieuse mais assurée, elle lui répondit:

- Que m’importe de vaines présentations, je ne suis ici que pour te faire payer ton offense, et rien d’autre.

Il rit et pencha légèrement la tête sur le côté, s’approchant d’elle pour prendre son menton dans sa main. Elle le laissa faire, envoutée par ses yeux d’un bleu plus pur que le cristal et l’aura de malfaisance qui se dégageait de sa personne. Il rétorqua d’une voix suave:

- Oh que non , ma belle demoiselle, tu n’est ici que pour contrer ton ennui mortel en ce monde. Mais ensemble nous pourrions faire des merveilles. Tu as un excellent potentiel, et tu ne l’utilise pas judicieusement. Rejoins-moi, à nous deux, nous serions plus fort.

Bercée par ses paroles, elle mit un temps avant de retrouver sa personnalité. Elle enleva sa main d’une petite claque et planta ses yeux dans les siens, soufflant sur son visage:

- Je n’ai besoin que de moi, je ne crois qu’en moi, et personne ne me dépassera. Ceux qui essayent seront éradiquer.
Il soupira, visiblement ennuyé, et s’éloigna:

- Je prend cela pour un refus de ta part. Quel dommage, je vais devoir te détruire.

Un rire tonitruant sortit de la bouche de Xerry, et elle mit toute sa concentration dans ses pouvoirs, prête à un combat mental. Sa confiance s’altéra lorsqu’elle vit des images horribles dans son esprit. Il prenait le dessus, déjà, a peine la confrontation commencée. Des scènes de sa propre mort, de souffrances, s'abattaient sur elle, et dans un ultime effort, elle parvint à les repousser pour imposer à son adversaire des visions tout a fait différentes. Elle lui montra la joie d’un foyer, la lumière, la bonté, les stryges blancs... Il se tint la tête à deux mains, détestant toutes formes de lumière ou de bonne âme. Xerry sourit, cherchant une façon de lui infliger un coups décisif...

Le stryge s’était approché de Xerry, et mit ses mains au dessus de sa poitrine. La jeune fille parraissait si innocente... s’en était cruelle. Mais son songe lui revenait en mémoire, le poussant à commettre l’acte abominable qu’il préméditait. Il irradia le corps de la jeune démone de sa lumière divine, directement dans la poitrine, et regarda le corps se craqueler, se fissuré avant de se consumé lentement et ne devenir qu’un tas d’os et de cendres. Il s’éloigna, soulagé mais désolé d’avoir tuer une créature en ce monde...

Xerry s’arrêta. Sa victoire fut avortée par une douleur nouvelle au creux de son cœur. C’était une horrible sensation qui grandissait, croissait, encore et encore, se répandant dans ses veines en feu et embrasant chaque parcelle de son être. Elle tomba à terre en hurlant, se déchirant les cordes vocales par des supplications inutiles et inintelligibles. Son corps tout entier était dévoré par un brasier infernal, lui infligeant un supplice sans nom. Chaque secondes étaient aussi longues qu’une existence humaines, le calvaire se prolongeait, encore, pendant plusieurs minutes, jours, années, sans qu’elle puisse faire autre chose que souffrir et hurler sans arrêt.

Son adversaire se releva, la regardant d’un air perplexe, puis comprit. Il n’était pas rare qu’un oniromancien se fasse piéger dans son sommeil, et il sourit. Même pas besoin de se fouler le petit doigt, en fin de compte, il lui suffisait de la regarder mourir sous ses yeux. Il fit apparaître un fauteuil de style victorien et s’assit dessus, regardant la stryge noire se contorsionner sur le sol.

Xerry n’en pouvait plus de cette atroce supplice, elle ne désirait plus qu’une chose, mourir, tomber dans les profondeurs infernales, que les abysses soient son cachot éternel. Soudain, elle distingua un vide, dans sa poitrine. Un froid polaire qui commençait à l’envahir de plus en plus. Elle haletait, pleurant à chaudes larmes, mais suppliait intérieurement la froideur de réduire la douleur au silence, de l’achever. Le froid mortel dissipa peu à peu l’horreur, la mort bienvenue l’enserrait dans ses griffes qui se refermaient comme un étau autour d’elle. En ouvrant les paupières, elle vit son corps disparaître, et elle quitta enfin l’esprit de l’autre oniromancien. Elle vit son corps calciné, elle vit l’ange qui s’en allait. Avant de sombrer, et par son désir de vivre, elle s’accrocha au seul corps potentiellement viable de la pièce, une poupée grandeur nature, et s’introduit dedans...

Chapitre IV ~ Renaissance

Xerry ouvrit ses yeux. Ses paupières lui paraissaient étrangement stoïque, ainsi que son corps. Elle était fatiguée, si fatiguée... elle aurait pu retomber dans les bras de thanatos, qui lui avait si gentilement proposer de donner le repos éternel à son âme, mais elle voulait voir le fonctionnement de sa nouvelle enveloppe. Elle leva les bras à hauteur du buste, faisant jouer ses articulations grinçantes et raides, pour voir ses mains. Toutes les jointures étaient plus que visibles, et en les fermant et les rouvrant, la sensation de raideur était fort désagréable. L’esprit vide, elle tâta son visage. Il était dur et ferme, elle ne pouvait pincer sa peau. En descendant ses mains sur sa poitrine, elle se frappa légèrement. La cavité se révéla lorsque le son sourd retentit à la suite de l’action, et cela la rendit fort triste. Malheureusement, elle n’était plus en capacité d’évacuer cette tristesse par les larmes, et c’était dur pour la jeune fille. En tournant la tête avec difficulté, elle aperçu les restes carbonisés d’elle-même. Elle se leva en titubant, telle la petite sirène sur ses nouvelles jambes, et s’approcha pour se laisser tomber à genoux aux côtés de la carcasse fumante. Indifférente aux pestilentielles odeurs de souffre qui se dégageaient du cadavre, elle prit dans ses bras ses os, son crâne, surtout. Dans son dos une présence manquait, elle se sentait bien plus légère. En regardant l’ancienne Xerry, elle compris avec tristesse. Elle n’avait plus d’ailes, elle ne pourrait plus jamais ressentir la joie de voleter, juste a deux mètres au dessus du sol, juste pour le plaisir d’avoir des ailes, même. Les larmes lui manquèrent à nouveau, et elle se coucha sur ses cendres et son squelette, dévorée par la tristesse. Une masse bleu clairs et argentée, d’apparence soyeuse et voluptueuse, entra dans son champs de vision. En passant ses doigts dedans, elle se rendit compte que ce n’était autre que ses cheveux. Elle laissa retomber sa main et sa chevelure dans les cendre, pour s’imprégner un maximum de son ancienne vie. Ses souvenirs repassaient devant ses yeux éveillés et vides. Elle se revoyait mangeant des gâteaux. Était-elle encore apte à manger ? Elle ne savait rien de sa nouvelle existence. En repensant à ses cheveux, elle pensa que personne ne reconnaitrait la Xerry Hypnos d’autrefois. Qu’on retrouverait son corps en pensant qu’elle avait été agressée et que son âme s’était perdue dans les tréfonds des abysses. Elle devait donc choisir une nouvelle identité, elle devait choisir un nouveau nom. En repensant eux légendes de la Grèce antique, elle eut l’inspiration. Styx, le fleuve des enfer. Styx, la poupée démoniaque.

Chapitre V ~ Serment

Styx ne réussissait pas à s’habituer à sa nouvelle apparence. Elle ne parvenait pas à respirer, a une existence pleine et enrichissante. Elle avait peur, elle était perdue et ne savait que faire. La stryge noir portait des gants et des vêtements amples pour cacher ses articulations immondes et grinçantes, ainsi que les raideurs de son corps. Elle n’arrivait pas à se faire à l’absence de ses ailes, et à son impossibilité de courir, marcher, et se mouvoir de façon normale. Elle développa, de sa renaissance, une nouvelle personnalité. Elle ne voulait que son corps, son divin corps, disparu corps.

Les autres l’ignoraient royalement à présent, et rares étaient ceux qui l’aimaient. Styx était devenue froide et ces cauchemars étaient hantés de sa propre mort, de son corps qui brûle, de la douleur insupportable qu’elle à ressentit à cet instant. Elle savait que cela recommencerait, que cela ne pouvait durer. En effet, un pouvoir grossissait en elle, ne pouvant être libéré, ni disparaître dans causer sa perte. Ce jour là, le jour ou son pouvoir explosera, que ses démons deviendront réalités, et elle mourra pour de bon. Elle est condamnée, pour une simple expérience onirique.

Un jour, elle sortit de son mutisme, se rappelant les principales coupables de sa déchéance. Un stryge blanc, et un stryge noir, l’un l’assassinant, l’autre capturant son esprit. Elle jura devant l’univers qu’elle ferait de leurs corps un tas de cendres fumantes, qu’elle les éviscèrerait, qu’elle les tuerait avant de partir, avant de mourir...

AMAZING!
Ta fiche est plus que réussie, je trouve ^^
J'aime trop comment tu tapes =O

Merci Sakura, j'ai vraiment adoré créer Styx ^-^

Salut Styx et bienvenue sur Dùralas!

Tout d'abord, je suis content d'apprendre que tu fais du graph' et du codage, ça peut toujours servir Wink

Ensuite, pour ce qui est de la fiche, le nombre minimum de lignes est respecté (xD), et le code du règlement est bon, donc c'est bon pour moi!

Je vais cacher le code du règlement et t'ajouter au groupe des stryges noirs pour que tu puisses poster un peu partout sur le forum et j'active ta fiche de personnage. Je vais également te remettre une bourse de 50 pièces d'or, étant donné que tu as pris une nouvelle race!

Tu n'auras plus qu'à attendre que Sinnel valide ta fiche et te donne ton bonus d'xp et d'or pour pouvoir commencer à RP Smile

Si tu as des questions, n'hésites pas, et encore bienvenue!

Hoy!
Hum... J'avais des doutes, quand j'ai appris le coup de la poupée, mais tu t'en tires admirablement bien. T'a pris des risques, tu t'es pas ramassée, t'es récompensée.

Bonus d'or : 100
Bonus d'xp : 70

Han *w* merci à vous deux ! ^^ Au plaisir de rp avec vous x)

Waouw. Je suis vraiment fan de ton style d'écriture et de tes montages ! Chapeau, là je dis total respect .

bienvenue sur le forum!!!!!

Nan, nan, nan, comment tu tapes super bien, là... U_U
Hey franchement, je comprends pourquoi t'as un bonus aussi élevé XD

Saku: Elle a le bonus de classe ET une promo pour les Stryges et Nagas Et elle écrit bien ^^

Sujet: Re: Styx Xerry Hypnos, Onirique furie vengeresse ~