Moi ?

Pseudo : Nana-Chan
Age : 16 ans
Classe/Métier : Tle S
Passe-temps : Mangas, apprendre le coréen et euh… établir le plan d’extermination des carottes.
Couleur préférée : Jaune, Gris, Rouge, Noir, Blanc
Comment avez-vous connu ce forum : Par moi-même U.U Double Compte de votre très chère Lanaëlle Iyume
Un commentaire sur le forum : Ya plein de nouveaux, c’est dément !

Mon personnage ?

Identité : Eiko Ashes
Age : 19 ans
Sexe : Femme
Race : Humaine
Ce qu’il aime : Taquiner les gens, le soleil, les grands espaces
Ce qu’il n’aime pas : les carottes !
Code du règlement : /

Mon apparence ?

Eiko est le portrait craché de son père. Bien qu’ils soient parents, elle est son image féminine. Ses cheveux rouges feu encadrent un fin visage qui a déjà fait chavirer quelques cœurs. Ses yeux, eux, sont indéfinissables… En effet, elle affirme les avoir rouge, comme ces cheveux, ce à quoi sa mère rétorque qu’elle délire et que ces yeux sont tout simplement noirs. Sur quoi son père s’en mêle décrétant qu’ils sont bleus comme tous les enfants de leur famille et qu’il est tout simplement impensable qu’elle les ait d’une autre couleur. Bref, cette histoire de couleur des yeux d’Eiko est un sujet tabou chez les Ashes. Eiko n’est pas très grande, 1m65. Son genre vestimentaire ? Elle aime porter de grandes chaussettes rayées noires et blanches lui arrivant à mi-cuisse. Par-dessus, elle met de belles bottes noires. Pour le reste, elle improvise. Eiko sait pertinemment qu’elle n’est pas un laideron. Ses jambes fines attirent le regard. Sa peau délicate fait rêver. Ses yeux sont entourés de long cils foncés. Elle porte deux bagues : une au majeur gauche et l’autre à l’index droit, toutes deux en argent. Ces bagues lui rappellent sa sœur, partie à jamais. Une longue chaîne d’argent pend à son cou. Un pendentif y est accroché. Il s’agit d’un petit rubis, s’accordant parfaitement aux cheveux de la demoiselle. A son poignet, un délicat bracelet, toujours une chaîne d’argent avec un joli « E » calligraphié en pendentif. Dans ses cheveux, dernier accessoire, un serre-tête noir.

Ma mentalité ?

Eiko est une jeune fille joyeuse et rieuse. Elle dégage un petit je-ne-sais-quoi qui fait qu’elle n’a aucun mal à se faire des amis. En public, Eiko affiche toujours un sourire radieux. Pourtant, quand elle est seule, Eiko arbore souvent un visage triste et mélancolique. Le départ de sa sœur en est la cause. Eiko, bien qu’elle le cache avec talent, est en dépression. Même ses parents n’en savent rien. Lorsque l’on vient à parler de sa sœur, Eiko feint toujours de ne pas avoir entendu. Si l’insouciant insiste, Eiko a un sourire crispé caractéristique ,qui dissuade facilement l’indiscret de poursuivre la conversation ; elle ferme les yeux et sourit la bouche fermée. En général, cela suffit. Eiko s’en veut d’avoir laissé sa soeur mourir. Eiko n’a jamais été plus fragile qu’après sa mort. Elle déteste se lever le matin et sentir le grand vide laissé par la mort de sa sœur. Eiko entend parfois des rumeurs qui disent que sa sœur était une grande guerrière. Cela la réconforte un minimum. Elle redouble d’efforts pour prouver qu’elle aussi qu’elle sait se battre – ou saura un jour. On lui dit toujours que sa sœur est morte dignement Eiko veut juste savoir qui lui a enlevé sa sœur bien-aimée.

Mon Histoire ?

Eiko avait trois ans. Impressionnée, elle regardait sa sœur, de dix ans son ainée, s’entrainer. Les armes, toutes plantées en plein cœur de la cible la firent applaudir.


Eiko avait peur. Sa sœur partait combattre, vivre l’aventure. Eiko, du haut de ses dix ans avait peur que sa sœur ne revienne jamais, qu’elle ne la serre plus jamais dans ses bras..


Eiko avait treize ans. Aujourd’hui sa sœur revenait. Pour deux jours. Elle lui apprendrait à se battre, ce dont Eiko rêvait.

Eiko avait quinze ans. Elle avait du mal à s’endormir. Une appréhension lui tordait le ventre, elle en était malade. Cherchant du réconfort, elle alla voir sa sœur, revenue à la maison pour quelques jours. Et vit son lit vide. Inquiète, elle se précipita à la fenêtre où elle vit une silhouette revenir vers la maison. Le cœur battant, elle descendit en courant les escaliers du hall pour se jeter dans les bras de… Son père. Celui-ci levait la tête pour lui cacher ses larmes. Peine perdue, elle les avait senties s’écraser sur sa joue.
- I-Il est arrivé quelque chose à Onee-Chan ?
Son père hocha lentement la tête. Eiko éclata alors en sanglot. Elle qui souriait toujours malgré les coups durs. Elle qui réconfortait toujours les gens, prenant sur elle, retenant toujours ses larmes, rassurant les autres. Son père la réconforta le temps que ses sanglots se calment. Après quoi elle regarda ce que tenait son père dans sa main droite. Une lampe
- Tu vas la chercher ? Je peux venir avec toi ?
Son père ne dit rien mais resta là. Elle monta alors vite s’habiller.


Eiko pleurait, allongée sur le corps inanimé de sa sœur morte au combat, tachant ses vêtements de sang, inconsolable.


Eiko grimaçait, la main sur abdomen. Le coup, bien que porté gentiment lui avait fait mal. Dans l’action, ses cheveux s’étaient défaits. Arrachant un ruban à son poignet, elle les ramassa en une queue de cheval. Puis elle observa son père. C’était sa première leçon d’escrime. Depuis la mort de sa sœur, Eiko était torturée par une idée : « Et si je me battais moi aussi ? ». Eiko le savait pertinemment, elle voulait juste imiter sa sœur. Mais elle voulait aussi comprendre comment on pouvait accepter de mourir aussi tôt. Seulement, pour pouvoir se battre il fallait savoir se débrouiller en toute situation. Ainsi, Eiko avait pris des cours d’équitation et montait parfaitement. Elle savait se battre à mains nues, utilisant des techniques permettant de compenser sa faible force (judo). Reprenant son souffle, elle attaqua avec une feinte.


Eiko regarda avec fierté ses trois dagues et sa huitaine de flèches plantées en plein cœur de la cible. Un sourire satisfait planait sur ses lèvres. Si elle continuait ainsi elle pourrait bientôt partir.


Eiko s’habillait discrètement, faisant le moins de bruit possible. Cette nuit serait la bonne, elle allait partir. Cela lui faisait mal de laisser son jeune frère sans protection mais il le fallait bien… Enfin, c’est ce qu’elle se disait pour se donner bonne conscience. Eiko le faisait uniquement par envie et elle le savait pertinemment. Après avoir enfilé ses grandes chaussettes rayées noir et rouge cette fois-ci, Eiko mit rapidement une robe noire, juste histoire de donner l’impression aux gens qu’elle croiserait éventuellement qu’elle revenait d’une soirée. Elle se changerait dès que possible, elle avait tout prévu : Un pantalon et une tunique, très pratiques pour le combat. Ses éternelles bottes noires à talons compensés aux pieds, des ballerine dans son sac, Eiko était parée. Elle attacha rapidement ses cheveux rouges en une queue de cheval et se faufila à l’extérieur après avoir attrapé au passage, le pendentif de cristal de sa sœur.


Eiko avait dix-neuf ans. Elle écrivait une lettre à ses parents. Elle avait enfin compris. Certes, elle y avait passé quatre ans de sa vie mais maintenant, elle savait pourquoi sa sœur avait accepté de risquer sa vie en se battant. Tout simplement parce que ses sensations étaient inoubliables. Rien d’autre.

re Lana!!!!!!

Hoy!
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Re-bienvenue!