Il à une cicatrice sur la joue droite allant du bas de l'oreille au dessus du menton.
Il porte habituellement (en dehors des missions) une simple veste noire souvent à demi-ouverte, laissant voir une cicatrice forment un X sur son pectoral gauche, un pantalon noir et des bottes montant jusqu'à mi-mollet.
Il à l'air un peu lugubre et peu sympathique mais il n'en est rien...

Sous son air de "gros bras antipathique" se cache un vrai cœur tendre...
Il est très attaché à son frère et sa femme ainsi qu'à leurs fille.
Son air froid vient de bien de maintes souffrances dont il se serait volontiers passé, au combat c'est quelqu'un de réfléchi qui ne prend jamais de décision hâtive, il frappe surement et durement, son dicton favori au combat est d'ailleurs "Un bon coup bien placé en vaut bien 10 lancés au hasard des choses" et il  à bien raison car depuis l'enfance rares sont ceux qui ont osés le défier.
C'est un homme avec un certain charisme, il aide toujours son prochain et déteste les personnes s'en prenant aux plus faibles, personne qu'il maudit et qu'il prend un malin plaisir à corriger et à  humilier.

Il est vrai que Budok n'a pas un passé facile, alors qu'il avait 8 ans ses deux parents meurent d'un bête accident, d'abord son père, tué par un cerf qui l'avait attaqué par surprise lors de la chasse, puis sa mère, décédée deux mois plus tard après avoir sombré dans l'alcool après le décès de son mari, dès lors, il dû apprendre à se débrouiller seul avec son frère Vall, cultivant un jardin et chassant du petit gibier tel que des lièvres (ou les poules du voisin) pour se nourrir, travaillant au service des autres villageois afin de gagner quelques pièces d'or, il apprit à lire à l’âge de 10 ans car il est passionné d'histoire, et les livres en sont la plus grosse source, dès l'âge de 12 ans il a inventé un genre d'école afin de partager ses connaissances aux plus jeunes de 4 à 10 ans, faisant monter le niveau d'alphabétisation dans ce petit village agricole. Cette année là, son frère bien aimé alors âgé de 14 ans fit la connaissance de la belle Pépia, une jeune fille d'un ancien riche qui venait de s'installer car il était recherché mort ou vif dans la grande ville à cause de ses dettes envers certains criminels, sa vie continuait dans une routine ennuyeuse durant trois longues années, Franck, toujours amoureux de Pépia venait de se marier, pour fêter ça il partit vivre à la ville avec sa femme qui tomba enceinte peu de temps après, deux mois plus tard, les criminels ayant retrouvé la trace du père de Pépia qui se cachait depuis tout ce temps, décidèrent de lancer un raid contre le village, durant cette nuit là le village fût saccagé, les maisons pillées puis brulées, les femmes violées, les hommes éventrés, les enfants égorgés, la scène était d'une rare violence, la dernière chose dont il se souvint est de s'être fait trouvé par les pillards et qu'il avait été passé à tabac et après il ne parvint pas à se souvenir, il avait été assommé suite à de nombreux coups au crane...
Pourtant il finit par se réveiller, dans un lit bien plus confortable que le sien, il ouvrit doucement les yeux et vit la décoration d’intérieur, décoration qui prouvait de la richesse des propriétaires, dans sa tête il était à la fois intrigué et paniqué, les souvenirs lui remontait en tête, mais son corps semblait l’immobiliser, il avait envie de crier, mais sa bouche ne s'ouvrait pas, son cœur battait fort, de plus en plus fort, puis arriva dans la chambre une jolie jeune fille, le bleu de ses yeux et la blondeur de ses cheveux eurent l'effet de calmer immédiatement le jeune garçon qui retomba une fois de plus dans les vapes.
Lors de son prochain réveil la jeune fille était encore là, assise à côté de lui, elle semblait inquiète quand à la santé du jeune homme, si bien que lorsque d'une voix faible il lui demanda : "Où suis-je ?", elle ne put s’empêcher de verser une larme, elle mis du temps avant de lui répondre :
-Tu est à "Tryv'hol" c'est une ville bourgeoise, mais je ne suis pas comme eux, ce sont des hypocrites égoïstes, quand j'ai vu le feu au loin j'ai chevauché "Harl" mon cheval et je suis venu, je t'ai trouvé là, gisant à même le sol tu étais à la limite de la mort, je t'ai soigné du mieux que j'ai pu et je t'ai emmené ici, dans mon lit, je me suis occupé de toi pendant c'est deux dernières semaines dans l’espoir que tu te réveil enfin, si tu savais comme je suis heureuse de savoir que tu as survécu..
Budok se dressa et s'assit sur le bord du lit, il vit ses bras balafrés, puis le reste son corps, lorsqu'il se vît dans le miroir de la chambre il découvrit une autre cicatrice encore rouge sur sa joue (voir description), il y passa sa main, elle lui sembla brûlante, il eut envie de pleurer mais n'y arrivais pas, il comprit que ce n'était pas la peine, que les temps changeaient et qu'il fallait s'y faire, confus il embrassa la fille sur la joue, comme pour la remercier et s'enfuit en sautant par la fenêtre.
Il n'avait nul-part où aller et était encore faible, alors au bout de trois jours à airer dans les rues il retourna chez la fille qui venait de le sauver, il lui demanda un peu d'aide et à manger pour un temps, les parents acceptèrent de l'aider du moment qu'il les aide en retour après sa remise en forme.
Il vécu Jusqu'à ses 17 ans chez eux, travaillant afin de participer financièrement, le jeune homme était battu et les maitres de la maison profitaient de lui, il était cadavérique, son teint pâle effrayait les jeunes de la ville. Un jour, alors qu'il rentrait du travail, la fille l’attendait et lui dit :
-Tu aimerais que l'on sorte ensemble se soir ?
-Comment ?
-On va se promener dans la ville.
Le cœur de l'homme battait si fort qu'on aurait pu croire qu'il allait briser sa cage thoracique, il accepta la proposition de la jeune noble.
Ce soir là Budok n'imaginait pas c qui allait ce passer, après une bonne heure à discuter et à se promener dans la ville, une fois la nuit tombée, elle le prit par la main et l’entrainât dans des ruelles à peine assez large pour une personne, elle lui dit :
-C'est le moment, tu ne peut plus vivre comme ça, on va s'enfuir et je vais m'occuper de toi, tu verra ta vie sera belle maintenant grâce à moi !
L'homme était usé par son travail, il peinait à la suivre mais il se concentrât du maximum qu'il put afin de ne pas tomber. Ils arrivèrent devant le mur de la ville, elle lui dit de l'escalader, il le fit tant bien que mal, une fois en haut il se pencha et tendit la main, la fille le regardait, elle sourit et lui dit :
-Je suis désolé de t'avoir menti mais il le fallait, marche vers le sud, continu toujours tout droit et tu arrivera dans un village, là-bas ils te soigneront, bon courage et reviens me voir quand tu aura le temps !
Une larme coula sur la joue de l'un comme de l'autre, L'homme se dressa, sauta du mur et marcha pendant quatre jours...