[+18] La lune de miel des Galathil... [PW: Dryusdan Galathil]

Dryusdan et Ninalys avait quitté le château Maenor la veille, après avoir congédier tous les invités du mariage. La stryge blanche était alors montée sur le dos musculeux de son époux et ils ne s'étaient pas arrêtés avant d'atteindre le lieu de leur lune de miel. Ce ne fut que le lendemain de leur départ, à la tombée du jour, qu'ils parvinrent au lac Fresha. Là, ils restèrent debout côte à côte à regarder la surface cristalline de l'eau, les doigts entrelacés.

Lorsque les derniers rayons du soleil eurent disparu derrière les pins centenaires, les deux amoureux se tournèrent l'un vers l'autre et s'embrassèrent passionnément. Ninalys mit fin au baiser et dit au centaure :

-Je sais où nous pourrons passer la nuit.

Et sans attendre de réponse de la part de Dryusdan, elle lui prit la main et partit en courant, l'entrainant derrière elle. Leur course dura ainsi une dizaines de minutes avant que la jeune mariée ne s'arrête brusquement. Ils se tenaient à la lisière d'une clairière où se dressait une charmante cabane en bois.

-C'est là que j'ai dormi la nuit où j'ai fugué de chez moi, dit-elle avec notalgie.

Elle avança alors vers l'abri et ouvrit la porte. L'intérieur était comme dans son souvenir. Un lit sommaire occupait une grande partie de l'unique pièce et un poêle se dressait à gauche de la porte. Elle y pénétra et l'alluma.

-Au moins, ici, on ne sera pas surpris par qui que ce soit ! ajouta-t-elle avec un sourire gentiment moqueur...

Nous avions quitté le château la veille, une fois la fête fini. J'avais donner une bourse d'or en plus au servant pour qu'ils nettoient les pièces utilisés. Ninalys monta sur mon dos, j'appréciais ce contact, elle avais la peau douce, si douce que cela me fis frémir. Elle m'indiqua ou nous allions: Le lac Fresha, le lieu le plus romantique de tout Dùralas (quand le Kraken, éliminé par moi, n'est plus la). Je galopai alors aussi vite et aussi longtemps que je pouvais. La nuit tomba et je continuai à avancer comme si de rien n'étais. Ma stryge blanche s'étais endormis sur mon dos. Nous arrivâmes à destination à la crépuscule. Le couché de soleil étais magnifique vus sur le lac. Cette astre, rouge-orangé, descendais lentement, colorant l'eau d'une couverture orange, miroitante. Nous regardâmes ce magnifique présent de la nature, les doigts entrelacés.
Le soleil ayant fini de descendre, Ninalys se tourna vers moi et nous nous embrassâmes longuement
-Je sais où nous pourrons passer la nuit. Dit-elle soudain.
Elle me pris le bras et se mis à courir, j'essaya de la poser sur mon dos pour allez plus vite, mais elle ne semblait pas décidé. La course dura quelque minutes avant d'arriver dans une clairière ou se tenait une cabane en bois.
-C'est là que j'ai dormi la nuit où j'ai fugué de chez moi.
Elle dis ça avec une légère pointe de tristesse dans la voix qui m'arracha une petite larme qui ruissela le long de ma joue. On entra dans l'habitacle. Le meublement étais sommaire, mais me convenais tout à fais, j'aimais dormir dehors.
-Au moins, ici, on ne sera pas surpris par qui que ce soit !
Je me souvins, lors de notre première rencontre, on avais trouvé une cabane en bois, un vampire vint et voulu "s'amuser" avec Ninalys. Je souris de cette scène. Je regarda le doux et splendide visage de Ninalys, les lèvres tremblantent, je l'embrassa fougueusement, passionnément et amoureusement, mes mains parcourant de son dos.

Ce baiser était passionné. Les mains de Dryusdan caressaient délicatement le dos de Ninalys et ce contact la fit frissonner. Elle se serra davantage contre son époux et lui murmura dans l'oreille :

-J'ai envie de toi. Profitons de chaque seconde que la vie nous offre si gentiment.

Après ces paroles lourdes de sens, elle commença à déboutonner la chemise du centaure. A cet instant, elle était heureuse. Elle venait de se lier pour toujours à l'homme de sa vie - ou plutôt au centaure de sa vie. En pensant au drôle de couple qu'ils formaient, la stryge blanche sourit. Elle remercia Ilan, son premier amour, car, sans sa disparition inexpliquée, elle n'aurait peut-être jamais rencontré Dryusdan. Mais elle cessa bien vite de songer à tout ceci et finit de retirer la chemise élégante du jeune marié.

Ninalys se colla à moi, ses vétements ressemblaient à de la soie légère qui me fis frémir. J'adorais ces rares instant avec elle. Il l'aimait à la folie et elle m'aimais aussi. Le mariage nous avais lié à jamais mais cela n'étais que les formalité. Le destin nous a marier dès notre naissance. Mon coeur étais sur le point d'exploser, j'étais si heureux qu'aucun mot ne pouvais décrire ce que je ressentais, je nageai dans un bonheur qui me semble infini.
-J'ai envie de toi. Profitons de chaque seconde que la vie nous offre si gentiment.
Elle ne me laissa même pas le temps de répliquer qu'elle commença à déboutonner ma chemise. Le contact de ses doigts sur mon torse me faisais frissonner de plaisir. Ninalys fini à peine d'enlever ma chemise qu'elle se serra contre moi. Elle cala sa tête dans mon cou. Je lui défis les lacets de son haut et le fis tomber avant de la soulever, pour coller ma tête contre la sienne.
-J'ai aussi envie de toi. Murmurai-je dans le creux de son oreille. Un désir incommensurable...

-J'ai aussi envie de toi, murmura le jeune marié dans le creux de son oreille. Un désir incommensurable...

Alors, après ces mots de Dryusdan, Ninalys finit de se dévêtir et embrassa le centaure. Elle l'entraina dehors, la cabane étant trop étroite pour son époux. Ses lèvres cherchèrent à nouveau celles de l'hybride. Ils échangèrent un baiser qui dura de longues et agréables minutes. Lorsque les amoureux se séparèrent, ce ne fut que pour se contempler l'un l'autre. *Qu'il est beau!* se dit la stryge blanche.

Soudain, elle décida de combler le désir de son tendre mari...

Ninalys fini de se dénudé et m’entraîna en dehors de la cabane, trop étroite pour ma physionomie. On s'embrassa de longue minutes qui semblèrent durer quelque seconde. Un baiser remplit d'amour, de passion et de désir. Un baiser ou dès que l'on se sépare on est essoufflé. Puis Ninalys se détacha de moi, délicatement, fit quelque pas en arrière et s’arrêter, nos main toujours liées.
"Quelle est splendide." Pensai-je.
Ses cheveux blond brillèrent au soleil couchant donnant l'air qu'elle possédais une auréole.
"C'est déjà un ange pour moi."
Elle se colla soudain à moi, ses mains me caressant de partout. Je frissonna de plaisir. Plaisir qui pris fin quelque seconde plus tard en voyant un nuage orageux à l'horizon. J'arrêta les mains de la stryge et la plaqua contre moi.
-Il va y avoir un orage mon ange. L'averti-je.
J'aurai donné n'importe quoi sauf Ninalys et ma famille naissante pour posséder des jambes quelque instant. Je me concentrai sur cette pensé. Soudain, quelque chose d'improbable se produisis, j'écarta Ninalys pour éviter qu'elle sois blesser, et je recula de quelque pas. Soudain, une colonne lumineux sortit du ciel et vint me frapper et m'éblouie ainsi que Ninalys. Lorsque j'atteint le sol, je ne trouvais plus mon équilibre. Je m'écroula, quelque secondes plus tard, déséquilibré par l'absence de mes pattes. Ninalys vint accourus vers moi et m'aida à me relever. Elle me sera dans ses bras, ému, si fort que je n'aurai jamais réussi à m'en sortir (mais je ne l'aurai jamais voulu). Mon corps nu (Ninalys m'avais enlevé mon haut et un centaure n'a jamais eu de pantalon.) étais collé contre son corps lui aussi dénudé. Je mis fin à ce câlin, à contre-coeur. Je lui pris le poignée, l'attira vers moi, lui déroba un baisé et l’amena vers la cabane. Ninalys rentra, suivis de moi qui ferma la porte. On s'embrassa de nouveau longuement, mais cette fois ci, je sentis un autre gout dans les lèvres de Ninalys. Je compris immédiatement ce que c'étais. Je m'assis donc sur le lit, attira la stryge blanche sur mes genoux. On s'embrassa encore longuement, mes mains se baladèrent tout le long du corps de ma bien aimé, s’arrêtant sur sa poitrine à plusieurs reprise. Puis, je la coucha, avec son consentement, avant de la pénétrer.

Ninalys Galathil regardait Dryusdan dormir. Ils venaient de faire l'amour pour la première fois depuis cette nuit particulière dans la forêt, celle de leur rencontre. La transformation de son époux quelques heures plus tôt n'avait nullement surpris la stryge blanche. Bien au contraire puisqu'elle avait profité de ce changement imprévu pour faire de leur lune de miel, un moment tout à fait inoubliable.

La jeune mariée passa le reste de la nuit à contempler cet être auquel elle avait lié son destin.

Lorsque le jour se leva sur le lac Fresha et ses environs, la jeune femme ailée sortit de la cabane pour partir à la recherche du petit-déjeuner des amoureux. Quand elle referma la porte derrière elle, Dryusdan dormait toujours d'un sommeil profond.

Ninalys revint plus tard dans la matinée et fut surprise de découvrir la porte de la cabane ouverte. Elle s'y précipita et remarqua aussitôt le lit vide...

Ninalys se lova contre moi, j'avais passé ma plus belle nuit après notre rencontre C'étais divin, cette sensation que deux être qui ne font plus qu'un, les deux coeurs battant à l'unisson, deux respiration haletante simultanée, mais surtout cette sensation d'appartenir à l'autre qui étais exquise. Je m'endormis, épuisé en grande partit par, je pense, ma transformation inattendu, qui nous avaient permis de passer la meilleur nuit de mon existence, une nuit inoubliable et phénoménal.
"Il faudrait que je me renseigne sur ce phénomène, si ce n'est pas dut à mon sang naga." Pensai-je.
Je tourna la tête, embrassa Ninalys une dernière fois avant d'emporter sa délicieuse image angélique avec moi au pays des rêves.
Ce fut une nuit ou je rêvais de fonder une famille avec Ninalys, une nuit ou le bonheur éclatait. La lumière du soleil filtra à travers la fenêtre tapant sur mes paupières, me réveillant. J'ouvris les yeux et constata que j'avais repris ma forme de centaure, ayant fendu le lit (plus de 500 Kilo, c'est pas mal). Je constata aussi avec effrois que Ninalys n'étais pas au alentour. Je sortis en hâte de la cabane et chercha au alentour, ne la trouvant plus, je m'enfonça un peu plus vers l'horizon. Je me retrouva seul sur la plage, sans qu'aucun bruit ne venais perturber le silence mortel qui m'entourais, un silence morbide qui ne présage rien de bon...

Devant le lit fendu, Ninalys Galathil en déduisit que son époux avait repris sa forme de centaure. Elle devina aussi qu'il avait dû se réveiller avant son retour et que, ne la trouvant pas, il était parti dans la forêt à sa recherche. Pour ne pas perdre de temps, la stryge blanche lança son esprit à travers les bois. Elle ne tarda pas à entendre les pensées de Dryusdan qui fulminait sur les rives du lac Fresha. Elle s'élança donc vers l'étendue bleue.

La jeune mariée y parvint quelques instants plus tard et découvrit le centaure regardant les eaux cristallines du lac. Elle continuait de lire dans ses pensées et fut surprise de comprendre qu'il désirait fonder une famille maintenant qu'ils étaient liés pour la vie. Elle sourit à cette nouvelle et s'empressa de le rejoindre.

Lorsque la jeune femme ailée passa son bras autour de la taille du centaure, celui-ci sursauta et sa réaction provoqua un éclat de rire chez Ninalys. Le sourire qui était né quelques instants plus tôt sur ses lèvres continuait d'illuminer son visage d'ange. Soudain, elle lui dit :

-Moi aussi, je veux fonder une famille avec toi, avoir des enfants.

Elle n'eut pas besoin d'explorer l'esprit de Dryusdan Galathil pour lire la surprise qui apparut sur son visage à cette annonce. Elle poursuivit donc :

-Je ne l'ai jamais révélé à quiconque, mais je peux lire dans les pensées des personnes qui m'entourent. C'est d'ailleurs grâce à ce don que je t'étais si rapidement retrouvé. Alors, je propose que nous commencions dès à présent la fondation de notre famille, monsieur Galathil. Quant dis-tu ?

J'avais cherché Ninalys partout, je ne la trouvais pas. Inquiet, je me tourna vers l'immense étendu bleu pour m'aider à réfléchir, mais à chaque fois, mes pensées se dispersèrent. Je pensai à des trucs banal, mais surtout à ce qui m'occupais l'esprit: Une famille. J'essayai de chasser cette idée qui me trottais dans la tête, mais impossible, elle s'étais incrustée depuis nos fiançailles. Soudain, une main glissa autour de ma taille. Je sursauta et vis Ninalys, rire de la situation. Je ne trouvais qu'il n'y avais rien de drôle d'ailleurs.
-Moi aussi, je veux fonder une famille avec toi, avoir des enfants.
Elle avait dis ça, comme ça. Le silence tomba, mon coeur battait à la chamade, je voulais à ce moment la, je voulais de nouveau l'embrassé, mes mains glissant sous ses vêtements, mais je me retins. Mais comment avait-elle su ce que je pensais? Une expression surprise se peignis sur mon visage, une surprise que Ninalys décida d'expliquer:
-Je ne l'ai jamais révélé à quiconque, mais je peux lire dans les pensées des personnes qui m'entourent. C'est d'ailleurs grâce à ce don que je t'étais si rapidement retrouvé. Alors, je propose que nous commencions dès à présent la fondation de notre famille, monsieur Galathil. Quant dis-tu ?
-Qu'est ce que j'en pense? Lui dis-je.Et bah... Je vais devoir construire une luxuriante demeure, mais avant...
Je la souleva, l'embrassa et me dirigea au alentour de la cabane...

Ninalys Galathil arrêta le centaure à l'entrée de la cabane, lui rappelant que sa morphologie ne lui permettait pas de faire ce qu'il voulait entreprendre. Elle le vit alors reculer. La stryge blanche en profita pour lui désigner les différents fruits qu'elle avait pris le soin de cueillir avant cet incident. Une pomme luisait, entourée de mûres au parfum délicieux. Dryusdan prit les mûres, laissant le fruit rougeoyant à la jeune mariée. Celle-ci le croqua à pleine dent, savourant sa chair délicate.

Quand ils eurent fini de manger ce premier repas de la journée, Ninalys Galathil décida de reparler de leur conversation courte sur la berge du lac :

-Il nous faut réfléchir, je pense, à ce que nous voulons vraiment avant de nous lancer dans la fondation d'une famille...

Elle m’arrêta devant la cabane, me montra que ma morphologie n'étais pas adapté pour entrer. Elle descendis et me proposa un des différent fruit que je venais de remarquer.
"Il n'étais pas la auparavant..." Me dis-je. "Elle a du les cueillir pendant que je me réveille"
Elle pris une pomme rouge, luisante, délicieuse rien qu'au regard. Ninalys croqua dedans à pleine dent. Je pris plutôt un fruit qui se tenais à coté, une poire pour être précis. Je croqua dedans, elle était délicieuse, sucré, délicieuse.
Rassasié, je commença à m'allonger sur le sol chauffer par le soleil, quand Ninalys dis:
-Il nous faut réfléchir, je pense, à ce que nous voulons vraiment avant de nous lancer dans la fondation d'une famille...
Je l'enlaça, l'embrassa avant de lui répondre:
-Passer ma vie avec toi, profiter quand même un peu de ce temps libre seul avec toi... Puis avant d'avoir un enfant, pas tout de suite,, il faudrait construire une maison, un vrai palace à ton image mon ange.Je l'embrassa de nouveau, tendrement.

-Passer ma vie avec toi,
profiter quand même un peu de ce temps libre seul avec toi... Puis avant
d'avoir un enfant, pas tout de suite,, il faudrait construire une
maison, un vrai palace à ton image mon ange, lui répondit le centaure.

Ces paroles touchèrent la stryge blanche qui fit durer le baiser aussi longtemps qu'elle le put. Quand enfin ils se séparèrent, elle plongea ses yeux couleur lapis-lazuli dans ceux émeraude de Dryusdan. Ses pupilles verticales brillaient sous le soleil. Cette particularité n'avait jamais dérangé Ninalys et encore moins depuis la veille puisque le sang naga qui coulait dans ses veines leur avait permis de passer la plus belle nuit depuis leur rencontre.

-Alors, choisissons l'endroit dès à présent et mettons nous au travail! lui lança-t-elle en s'accroupissant pour dessiner une carte de Dùralas dans la poussière de la clairière.

Notre baiser dura longtemps, il étais cependant si exquis que je n'aurai voulu qu'il se finisse pour rien au monde. Il fallu bien reprendre son souffle arriver à un moment et nous nous lâchâmes .Je contempla Ninalys autant de temps qu'elle me regarda. Je voyais une aura blanche émaner d'elle comme ci... Je sais pas... C'est un sentiment bien au dessus de l'amour que je tente de décrire...
-Alors, choisissons l'endroit dès à présent et mettons nous au travail! Dit-elle en s'accroupissant.
Je la joignis dans sa "descente" vers le sol. La stryge blanche dessina sur le sol. On eut dis que ses doigts fin survolais le sol. Je suivis du regard son index qui parcourais le sol, dessinant des traits que je ne regardais pas tout de suite. Lorsqu'elle releva son doigt, je continuais de le suivre. Puis recouvrant mes esprits, je regarda son oeuvre. Une carte de Dùralas, même si elle n'étais pas parfaite, elle étais quand même bien détaillé, jamais je n'aurai étais capable d'une telle chose.
-La forêt Sylfaën est un jolie décor ou rien ne manque, sauf la civilation. Commençai-je. Les marais Hukutav sont bien trop humide pour faire quoique ce sois, et sont dangereux l'hiver
Je continua mon opinion.
-La ville d'Endorial est assez jolie, je trouve cependant le château de ménor trop sombre pour s'installer à coté. Dans le désert Harena se trouve des naga et je n'ai pas envie d'en croiser.
Je frissonna à l'idée de ce qu'ils avaient fait à ma demi-soeur.
-Je n'ai pas visité les cavernes de Spelunca, la cité de Stellaraë est resplendissante, pareil pour la ville de Baldoreheim et le lac Fresha. Je trouve un des plus beau endroit qui est malheuresement éloigné de la terre et qui ne figure pas sur ta carte: l'Île de Wysteria. Après, je choisis l'endroit ou tu veux allé, je te suivrais jusqu'au bout du monde.

-Je n'ai pas visité les cavernes de Spelunca, la cité de Stellaraë est resplendissante, pareil pour la ville de Baldorheim et le lac Fresha. Je trouve un des plus beau endroit qui est malheuresement éloigné de la terre et qui ne figurepas sur ta carte: l'Île de Wysteria. Après, je choisis l'endroit ou tu veux allé, je te suivrais jusqu'au bout du monde.

-Le bout du monde me parait plutôt bien, lui répondit Ninalys Galathil avec un sourire espiègle.

La stryge blanche embrassa son époux et lui murmura au creux de l'oreille :

-Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée. Je t'aime Dryusdan Galathil.

Ses doigts fins et délicats enlacèrent ceux du centaure et elle se serra contre lui. Elle l'aimait, depuis leur rencontre et pour toujours. Rien ne pourrait jamais changer cela. La tête posée sur le torse musclé de l'hybride, la stryge lanche pensait à son passé et surtout à son avenir. Dire que ses parents avaient tenté de lui tracer un futur sans liberté et qu'aujourd'hui, elle était liée pour la vie à Dryusdan, le centaure libre. Et pourtant, elle n'avait pas seize ans...

-Le bout du monde me parait plutôt bien. Me dit-elle
On s'embrassa de nouveau avant qu'elle n'approche ses lèvres de mes oreilles, cela me fit frissonner mais je préféra cacher cela.
-Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée. Je t'aime Dryusdan Galathil.
Nos doigts se soudèrent et elle se lova contre mon torse. D'un bras protecteur, je l'enlaça, profitant de cette instant.
-Je t'aime à mourir, lui dis-je, je ne pourrais survivre sans toi.
Je la serra encore plus fort.
-Je te suivrais alors au bout du monde, lui dis-je en faisais un clin d'œil malicieux.

Les deux jeunes mariés passèrent la journée sur le bord du lac Fresha à parler de leur avenir.

Le soir même, la jeune stryge blanche rassembla leurs affaires et attendit le retour du centaure parti à la chasse. Quand il rentra, Ninalys Galathil était restée immobile et elle lui demanda :

-Et si nous partions ce soir pour le bout du monde?

La stryge blanche apréhendait la réaction de Dryusdan. Que dirait son époux en apprenant qu'elle avait pris une telle initiative seule?

Je portai trois lapins, histoire de nous nourrir. Je rentrai dans la cabane, déposa les lapins quand Ninalys me dis :
-Et si nous partions ce soir pour le bout du monde?
Je la regardai, les yeux écarquillés. Puis je réfléchis vivement, même si je connaissais déjà ma réponse. Je m’approchai de la stryge et l’embrassa.
-Quand tu voudras mon cœur, lui dis-je.
Et avant qu’elle ne pu réagir je l’embrassai passionnément.
-Vivre avec toi et ce qu’il m’est arrivé de mieux.
Nous sortîmes ensuite de la cabane et je fis cuir les proies que j’avais capturé. Je croqua dans le mien à pleine dent, le gout de cette viande étais délicieuse, salé sans même l’avoir cuisiné. Une fois fini, je regardai Ninalys.

Le regard du centaure plongea dans celui de la stryge blanche comme s'il tentait de lire dans son esprit. Alors, Ninalys laissa ce dernier grand ouvert pour que Dryusdan puisse y lire. Elle n'avait nul besoin de cela pour entendre les pensées de son mari. Leurs doigts enlacés étaient le seul lien qui les reliaient physiquement, mais, à cet instant, leurs esprits ne faisaient plus qu'un. La jeune femme aux ailes immaculées comprit que ce lien éternel serait une arme redoutables. Sans plus hésiter, elle saisit la main de Dryusdan et l'entraina à sa suite vers le bout du monde, loin, très loin du lac Fresha, de Stellaraë ou encore des cavernes de Spelunca...

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