Moi, là, derrière mon ordinateur
Pseudo:bouj
Âge: 11 ans
Classe, Métier: 6éme
Passe-temps: Lecture, écriture et maintenant Dùralas
Couleur préférée: Vert
Comment avez vous connu ce forum ? J’ai tapé « forum RPG fantasy » sur Google
Un commentaire sur le forum?: Tout est très bien
Allez, je me lance, je fais mon personnage!
Identité: Eragon, ne me demandez pas mon nom de famille, je refuse de le porter.
Âge: 15 ans
Sexe: Masculin
Race: Elfe
Ce qu'il aime: Le tir à l’arc, la vie au grand air, les papillons et la nature.
Ce qu'il n'aime pas: Les pyromanes et les araignées.
Code du règlement: /
Et à quoi je ressembles, au fait?
Je suis grand et svelte,même pour un elfe, j’ai les longues oreilles communes aux elfes, mon visage est barré de plusieurs cicatrices et orné de deux longues traces d’un gris bleuté une sur chaque joue. Je marche vite et je suis constamment tendu comme si à chaque instant j’allais me faire attaquer. Mes longs bras sont peu musclés et sont terminés par des mains énormes élargies par mes sempiternels exercices d’escalade.Mes longes jambes aux mollets toujours nus sont terminées par des pieds minuscules (étrange comment la nature fait les choses) et nus. Je suis tout le temps habillé de cuir noir sur les jambes.Chose étrange pour un homme rude, mes vêtements sont toujours ornés de fleurs sur les épaules. Mes bottes sont ornées de gravures faites par moi pendant les soirs ou je me sentais seul. Le cuir sur
ma poitrine est beaucoup plus clair. Mes longs cheveux gris sont retenus par un bandeau de cuir accroché à un anneau de métal. Plusieurs anneaux d'or et d'argent sont accrochés à mes oreilles.
Une mentalité particulière?
Je réfléchis avant le combat, pendant on ne me reconnaît plus: je fonce dans le tas, surtout quand c’est pour aider mes amis. Pendant que je choisis ce que je vais faire tout le monde peut me conseiller, je suis ouvert. Quand mon choix est arrêté je deviens une vraie tête de mule. Tant que mon idée ne s’est pas avérée foireuse (ce qui arrive souvent) je continue. Sinon j’essaie autre chose. Mes amitiés sont comme mes inimités: tenaces. Je trouve qu'il faudrait faire condamner à vie toutes les personnes qui font du mal à la nature, les pyromanes et les chasseurs de papillons (enfin les autres aussi mais surtout les chasseurs de papillons). J'adore les animaux. Je suis ponctuel mais un peu étourdi, on peut compter sur moi, je ne trahirais jamais ma parole si je la donne. Mais attention, si on me fâche le résultat risque d'être... explosif. Si j'apprend qu'on ment sur moi la personne qui le fait est mort. Enfin bon c'est pas pour ça que je n'ai pas le sens de l'humour.
Raconte-moi ton histoire, jeune individu...
Je suis né d’un père détestable et d’une mère d’une gentillesse flagrante. Ma mère n’a pas su repousser les avances de mon père. Celui-ci a quitté ma mère quand elle lui a annoncé qu’elle était enceinte de moi. Je suis né, j’ai grandi élevé par une vieille cousine après le départ de ma mère. Quand j’ai eu treize ans ma cousine à enfin avoué le nom de mon père -j'avais commencé à lui demander à cinq ans . La nuit suivante je me suis enfui et j’ai pris le long sentier de la vengeance. Après presque deux ans de recherches j’ai trouvé l’habitation de mon père. Il me fallut deux mois pour arriver à entrer –on aurait dit qu’il savait que, un jour ou l’autre je viendrais, il avait donc posté des mercenaires autour de sa « place forte »- enfin le jour tant attendu arriva. Profitant d’un chariot de provisions qui rentrait dans la citadelle, je rentrais. Je montai les escaliers, personne n’osa me demander ce que je faisais là. Sans frapper je rentrais (en défonçant la porte d’un coup de pied), je me présentais en demandant pourquoi il avait laissé ma mère comme un vêtement sale,voila ce qu'il me répondit:
-Elle ne m'interraissait plus. Après un échange de coups de poings je balançais mon père par la fenêtre, le faisant tomber dans l’étang sous sa tour. Je ne sais pas s’il en est mort et d’ailleurs je m’en fiche. Je suis retourné chez ma cousine. Ma mère était là, je lui dit que je m'était vengé. Je lui demandai de m'autoriser à partir. Elle me donna sa bénédiction et m'invita à rester chez elle pendant quelques temps. J'acceptais vivement. Deux semaines après je partais avec beaucoup de provisions, et un flot de recommandations: les mères c'est et ce sera toujours comme ça. Mes premiers jours de voyage se passèrent bien à part quelques querelles avec des orques et des vampires. Depuis, je erre dans Dùralas à la recherche d’aventures et d’amis.