Ce fut par un ténébreuse nuit sans étoile dont son impénétrable parure bleu - nuit avait absorbé, semblable à une terrible menace, sur la charmante ville de Stellaraë, que Misaki se mouvait telle une ombrageuse silhouette, à l'intérieur de ses sinistres rues et ruelles, pareille à une abyssale d'une abîme appartenant aux âmes sans vie. D'ailleurs, elle ne songeait point à se trouvait embarqué dans une abondante foule auquelle on ne pouvait sortir car on s’emmêlait dans une incroyable aisance qui s'explique par leur mouvements fluviales, d'importantes bousculades auxquelles on ne pouvait guère faire un pas sans rencontrer l'autre, à travers une violence insupportable de quelques individus impolis. Ce phénomène avait toujours et tendance à l'entraîner dans une ardente irritation, d'une colère flamboyante, qu'elle accentua sur ses lèvres, d'une générosité effacée. Du coup, la jeune Maid tenta de se frayer une chemin jusqu'à ce qu'un nouveau choc, la percuta de plein fouet, la faisant, quelques peu vaciller. Ainsi, désarçonnée, elle plaça une main sur sa tête, en essayant d'apaiser sa souffrance d'une migraine instable dont celle merveilleuse consonance se révéla être la démoniaque symphonie qui allait réveiller sa partie la plus fulgurante et la plus malfaisante de son esprit. En effet, elle redressa la tête afin de prendre de la hauteur, accompagné d'une détermination malsaine dont elle était prête à se libérer à l'égard de mystérieuse interlocutrice qui se trouvait être une ravissante elfe. Ce qui calma, aussitôt, la jeune mortelle, dans un torrent de douceurs pour qu'elle puisse être capable de l'aider à se relever car elle n,'aimait point injurier une créature sylvainne. C'était pour elle, des êtres bienfaisantes avec une bonté qui ont parmi de l'accepter parmi eux ainsi que dans leur coutume. C'est la raison pour laquelle Misaki ferait tout ce qui est dans son pouvoir de soutenir ses personnes, lorsqu'elles étaient en difficulté. Alors, rejoint d'un luxuriant sourire, elle lui déclara :

"Je vais tenter de vous soutenir jusqu'à ce petit chemin, où l'abondance de la foule ne font que se restreindre. Cependant, il serait malhonnête de ne point décliner mon nom. Alors, je me prénomme Misaki Ayuzawa, ancienne domestique royale vampire et serveuse, dans la taverne d'Endorial, au nom de Guilty Pleasure. Et vous ? Auriez - vous l’amabilité de gratifier le votre ?"

C'est alors que la jeune mortelle perçut son émerveillement d'un incroyable éblouissement, comme si elle lui avait annoncé, sans hyperbolicité, qu'elle lui avait gratifié l'astre lunaire dans toute sa splendeur, avant que sa charmante interlocutrice reprenne ses esprits pour qu'elle soit en mesure de décliner son nom : Sheetah Amaliiah. D'ailleurs, Misaki devait reconnaître que la sonorité de son prénom était, curieusement, mélodieuse. Cependant, ce fut, à son tour, de rentrer à l'intérieur d'une profonde stupéfaction, lorsqu'elle lui quémanda une faveur. En effet, sa demande consistait à aborder le passage du vouvoiement au tutoiement tandis que la jeune femme focalisa son esprit sur leur destination, qui se situait loin des regards et des organes auditives indiscrets, qu'elle accompagna, néanmoins, dans une telle aisance, qu'on se demandait si, elle était, bel et bien, une humaine.

"Veilliez accepter mes plus plates excuses, concernant mon manque d'absence d'une courte durée, mais, je dois vous avouer, en toute franchise, que ce langage ne m'importune point. Cependant, je possède, encore, des difficultés à passer du vouvoiement au tutoiement. D'ailleurs, je vous prie de mon excuser d'avance. Néanmoins, comment ce fait - il qu'une jeune créature silvainne telle que vous vienne en cet endroit peu hospitalier que vous aviez vous même mentionné de "désagréable" ?"

Puis, la jeune Maid s'adossa contre le mur d'une demeure endormie afin de prendre le soin de la détailler. Comment expliquer cette apparence elfique et naturelle que même une mortelle ne peut égaler ? Pourquoi tant de créatures existent parmi eux, en dévoilant, pareille à un impitoyable châtiment, leur innocente vulnérabilité ? A chaque fois que ses noirâtres songes lui revint en mémoire ces sentiments s'intensifièrent montrant à la surface, l'illusion d'une redoutable adversaire car c'était guère parce qu'elle était un être, doté d'une pure fragilité, qu'elle devait se résoudre à afficher sa misérable faiblesse, face à ses formidables individus que peuvent regorger ce monde. Pourtant, elle attendait, patiemment, la réponse de l'elfe, dont elle avait rejoins d'une expression qui possédait une forte neutralité, d'une puissante guerrière.

C'est alors que Misaki sortit de ses curieux songes qui lui attribuaient une incroyable détermination, en le laissant refléter, semblable à une flamme infernale, à travers ses prunelles de teinte noisette puisque sa jeune interlocutrice elfique accepta ses sincères excuses, tout en lui annonçant qu'elle possédait une âme charitable. D'ailleurs, ces derniers mots lui tiraient un rictus, mêlés d'un embarras, remplis de confusions car elle ne pensait point, qu'elle était digne de mériter de tels propos. Cependant, elle resta, attentive sur la suite de ses confidences qui aborda les diaboliques mortels, dont elle rejoignit d'une proposition pour s'installer sur un banc de pierre. Pourquoi refuser alors que ceci serait outrageux, surtout lorsque l'individu était une créature sylvaine et qu'elle avait une complexité à tenir debout ?

" C'est avec honneur que je puis refuser une charmante offre."

Du coup, la jeune Maid, joignant ses gestes à ses douces paroles, elle l'accompagna à l'intérieur de sa souple démarche habituelle afin de respecter les rêves endormis que Morphée retint pour sommeiller les êtres humain, tout en adhérant un rythme régulier pour qu'Amaliiah soit en mesure de la suivre.

" Je dois vous avouer, en toute franchise, débuta - t - elle, avec un timbre chatoyant, que les mortelles, tels que nous, obtient bien, aisément, de telles pensées néfastes, soient elles, mais sache que nous sommes point tous, ainsi, car on ne connaît guère les événement que peuvent subir autrui et qui font corrompre les vulnérables âmes, comme les émotions d'une indomptable peur qu'on aurait du mal à canaliser. Voilà que je philosophe comme ce noble vampire, que j'ai récemment rencontré. A croire que le côtoyer du à son parlé oratoire, nous font apercevoir nos fatales erreurs, du moins, une partie de ce qu'on est. Néanmoins, il est vrai que chaque rencontre nous permet de découvrir des choses forts intéressants, donc notre rencontre n'ait, peut - être, comme vous l'aviez, clairement, mentionné, point un simple hasard. Après tout, il existe le Destin dont lui seul connaît notre véritable route. Pourtant, une questionne me trouble. Où aviez - vous .... où as - tu trouvé de telle chose, concernant les mortels ?"

Le gracieux résultat de sa tendre philosophie qui abordait les caractéristiques psychologiques humaines, provoqua un ingénieux temps de réflexion envers sa charmante interlocutrice sylvainne. D'ailleurs, cette dernière confirma sa logique structurée pendant que la jeune mortelle posa son regard captivé, ses organes auditives ainsi que son esprit à travers un étincellent intérêt, lorsqu'Amaliiah lui narra sa première expérience, à l'intérieur d'une modeste boutique d'armurerie, où elle s'arrêta, promptement, à cause d'une innocente crainte de lui gratifier une néfaste nuisance auditive envers Misaki. Alors, apercevant ce curieux sentiment d'embarras, peut - être, mêlé de doutes confus, elle tenta de conserver cet échange, en l'invitant, dans un stratagème.

" Je dois vous avouer, en toute et sincère franchise, que certains nains de cette région peuvent refermer une anormale tolérance ainsi qu'un orgueilleux sadisme, enveloppé d'un esprit intelligent de compétitivité, envers les êtres sylvains tels que vous. Cependant, je vais te donner un lieu auquel tu auras l'aisance de procurer l'arme de ton choix, elle se situe à Baldor Heim (https://duralas.forumgratuit.org/t19-boutique-d-armes) mais, il faudra patienter le marchand qui ouïra vos attentes. J'espère que cette généreuse information va vous conquérir vos tendres désirs. Néanmoins, il me brûle de questions aux sujets de votre espèce, comme le phénomène des catégories. La différence est - il me paraît être la présence d'une importance hiérarchie mais est - ce qu'il en existe, bel et bien, une dans votre coutume ?"

HS :

Spoiler:

La jeune elfe finit par rencontrer les fameuses prunelles de Misaki qui semblaient se confondre à travers cette harmonieuse surface, qu'on y plongerait dans une terrible étendue, en se métamorphosant, peu à peu, à une ravissante parure diurne, où on aurait absorbé les souvenirs de diverses discutions d'une naturelle question assourdite, à l'aide de la somptueuse musicalité de Morphée. En effet, cet être mythique d'une tendre douceur parsemée de poudres merveilleuses, tentait de l'appeler pour qu'elle puisse le rejoindre, à l'intérieur de son incroyable univers, où les voyageurs renfermaient une pure candeur, par leur songes, en fondant une profonde subconscience de leurs notions, typiquement, consolidées par des événements utopiques. D'ailleurs, elle ne paraissait, aucunement, être l'unique individue, à être sur ce chemin, entre le chant hypnotisant d'un labyrinthe, comparable à un conte enfantin à celui de la conforme et dure réalité. Effectivement, Amaliiah se redressa, accompagné de sa noble grâce, d'une enchanteresse pluie sylvainne, avant d'avouer le sadisme de sa race envers les nains. Puis, la créature d'une antique beauté végétale entama les salutations elfiques dont la jeune Maid s'empressa d'y répondre, en accentuant ses gestes d'une curieuse fluidité, dans une pointe de respect.

« Si vous désiriez me rencontrer, de nouveau, commença celle – ci, en l'ajoutant dans un timbre de volupté, vous pouviez me trouver à Endorial, où je serai ravie de vous accueillir, dans un lieu de convenance, conduit d'une chaleureuse convivialité de votre espèce. Cependant, je ne vais, aucunement, vous retenir plus longtemps car la fatigue commence à nous envahir tel un élixir douçâtre. Alors, suite à ce discours d'une pure intention, accentuée de bienveillance, je vous gratifie mes souhaits de bonheurs pour votre route auquelle je les relie, luxurieusement, dans mes adieux les plus sincères. »

HS :

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