Dans une anxieuse nuit de pleine lune, où aucune étoile ne parsemait la douceur du ciel nocturne, Misaki arpentait la cavité humide des cavernes de Specula, afin d'y fondre ses noirâtres idéaux, à travers sa luminosité chaotique ainsi que ses espèces diaboliques qu'elle pouvait regorger, mais, la jeune Maid, en avait cure. Elle se laissa succomber aux ténèbres mélancoliques que lui procuraient les ombres minéraux dont les gouttes glaciales ne firent échos que dans leur mélodieuse sonorité de leur rythme silencieux. C'est alors qu'elle parvint devant une ravissante surface azure qui se révéla – être un lac dont la tendresse de sa teinte bleuté, lui donnait l'impression de s'évader. Tout ce qu'elle désirer c'était de fuir la machiavélique personne qu'elle était, aussi sadique, vénéneuse et furieuse que la sorcière antique au nom de Médée puisque toutes deux possédaient une fulgurante haine empoisonneuse telles que les flammes d'un chaleureux brasier qui tente de corrompre jusqu'à la moelle, si ce n'est guère la chair et l'âme. Rien que d'y songer, même si c'était du à un misérable souvenir, elle se contentait de se diminuer, camouflant ses larmes de tristesse afin de montrer à qu'elle point, elle avait un fort caractère et qu'elle n'avait besoin d'aucun individu et surtout point d'une personne appartenant à la gente masculine. Du moins …. Soudain, elle s'interrompit dans ses obscures pensées qui ne firent qu'accroître pendant que ses prunelles de couleurs noisettes étaient rivées sur la clarté de l'eau ainsi que sur la diverse végétation qui lui donnait leur protection, à travers le souffle maternelle de la nymphe de la nature. Pourtant, il faut bien qu'un malheur se produise, de part et d'autres, puisqu'elle était maudite. C'est à ce moment qu'une anormalité d'une radieuse consonance la fit sortir de ses songes, confirmant, par la même occasion, l'idée qu'elle se faisait d'elle – même. Elle ferma ses lourdes paupières dont on pouvait apercevoir une pointe de fatigue pour être en mesure de s'abandonner à ce rythme qui affirma l'identité de son mystérieux individu, à travers son raisonnement qui n'était que pures logiques car cet endroit lugubre couvrait sous son toit, des créatures de la nuit, c'est – à – dire, des vampires et des lycanthropes. Cependant que se soit l'une où l'autre, Misaki avait l'habitude de ses monstres malsains puisqu'elle avait cohabité avec eux, lorsqu'elle était la suivante de la luxuriante reine vampirique Stella. Elle ne fit rien, attendant, ainsi, patiemment, que son ténébreux goule puisse se dévoiler, à sa guise, en dissimulant sa fragilité, pour ne point employer le terme de vulnérabilité parce que ce n'était guère le cas car elle plaça, délicatement, sa main, sous son tablier, là où une ruisselante arme se cachait.

Dans l'obscurité de la pénombre des cavernes de Spécula, une curieuse ombre se dessinait, peu à peu, dans l'une de ses sinistres étendues humides dont les pas sonnaient, semblable au rythme des gouttes d'eau qui s'écoulaient, à travers une mélodieuse consonance, sur le sol. Ce n'était que Len qui s'engouffraient, la tête baissée dans ses songes et hantises de bien – être puisqu'il pensait à sa tendre Ange des Ténèbres, où son luxuriant sourire, pouvait être comparable à la tendresse de l'astre lunaire qui dominait tel une reine, dans sa glorieuse parure parsemait d'étoile. Néanmoins, il était pris d'un ardent désir d'offrir un cadeau de conséquences à cette beauté de la nuit. Cependant, les plus luxuriants possédaient des résultats alternatives, selon son avis et sa merveilleuse vie et celle – là était important. Il respira un bon coup, avant de ranger une boîte de velours de couleur vermeille, qu'il rangeait dans sa veste auburn, afin de poursuivre sa lugubre destination jusqu'à ce qu'il ressente, un nectar d'une banalité familière, mais au douceur des pins, mélangé à une puissante mélancolie. Attiré et hypnotisé par cet arôme, il finit par tomber face à un splendide décors, où se tenait une jeune femme aux physiques sinistres dont elle pouvait – être une stryge noire, si elle possédait des ailes de jais, mais, elle n'en avait guère, donc, le jeune vampire en avait déduit qu'il s'agissait d'une mortelle. Sa longue chevelure d'ébène lui couvrait ses prunelles qui brillaient, malgré l'épaisseur, d'un resplendissant dorées, qui lui ressemblaient à des noisettes tandis que sa tenue de domestique, d'une bonne qualité, lui indiquait qu'elle est ou était une servante dans une taverne, ou bien, une servante humaine appartenant à un vampire, mais, ce serait un tel gâchis de laisser une proie inoffensive, dans un paysage évasif. Inoffensive ?! Non, il ne le songeait guère puisqu'il avait remarqué, l'anormalité d'un plis de tissus qui était capable de couvrir un poignard ou d'autres lames d'une petitesse aussi aiguisée et tranchante. C'est alors qu'il traversa dans la luminosité aqueuse que reflétait les eaux, à travers une délicatesse dont il savait, pertinemment, qu'elle l'ouïssait, car elle suivait son rythme par de légers hochements de tête comme un son mélodieux, avant d'ouvrir, brutalement, ses yeux qui décelait une ardente femme menaçante. Préférant ne point attiser son chaleureux feu, il s'arrêta, à quelques centimètres, afin de respecter une distance.

« Que fait une jeune femme de votre profession, seule, dans un endroit aussi calme et serein, dont une espèce démoniaque peut vous prendre par mégarde, à tout moment ? » lui demanda Len, avec un angélus sourire afin d'être en mesure de lui rassurer que même si elle savait sa véritable nature, il n'était point en ses lieux pour chercher querelle avec des confrères, des lycanthropes et encore moins, avec des mortelles.

Son raisonnement de sa ravissante consonance de souplesse, provoqué par le vampire, confirma ses soupçons au sujet de sa véritable personnalité. Cependant, sa angélus bonté de son incroyable allure était formelle aux pures caractéristiques des anges. Ce qui contrastait évangéliquement et diaboliquement, avec sa maléfique identité. Celle - ci entraîna un merveilleux souvenir qu'un terrible chaos a absorbé, à cause de sa illustre chevelure, comparable à d'innombrables rayons de l'astre lunaire tandis que ses prunelles étaient semblable à la mer mélodieuse, lui faisant, ainsi, renaître deux personnalités, d'une pure générosité, qu'elle avait servit durant des années de bonheur. C'est à ce moment que des liquides larmoyantes de joie, d'un passée lointain, s'écoulèrent sur l'étendue de ses joues dont Misaki les nettoya d'un revers de la main. Ensuite, elle pivota de manière élégante afin que son interlocuteur ne puisse remarquer cette vulnérabilité qui ne lui ressemblait point.

« Que fait une jeune femme de votre profession, seule, dans un endroit aussi calme et serein, dont une espèce démoniaque peut vous prendre par mégarde, à tout moment ? » lui demanda le séduisant vampire, avec un sourire de séraphin.

Interloquée par l'abord de cette question qui était annoncé d'une manière tendre et protectrice, la jeune mortelle, en fut, étrangement, sereine, détendue, comme si ce mystérieux individu lui était familier, tel un lien fraternel. Elle en était déstabilisée. Effectivement, Misaki tremblait, légèrement, de manière discrète afin que ce dernier ne puisse l'apercevoir, afin d'être en mesure de reprendre son souffle haletant. Donc, elle respira une goulée d'air, avant de saisir une expression haineuse qu'elle ne parvient guère à conserver, à cause de ce maudit vampire qui lui rappelait de féériques moments, disparus et enfouis sous la terre, à tout jamais. C'est à cette instant qu'elle lui demanda :

« Est – il possible, mon seigneur, déclara la jeune femme en bonne coutume et en lui gratifiant une révérence, que vous me décliner votre nom puisque j'ai bien l'impression que ma mémoire commence à faire des siennes et je désire être en mesure d'arrêter ses tourments qui débutent leur apogée, à travers une néfaste naissance. Dans mon cas, je me prénomme Misaki Ayuzawa et je suis une ex – suivante d'un royaume de la nuit et maintenant, une serveuse dans une taverne au nom de Guilty Pleasure. »

Le résultat de ses rassurantes paroles, remplis d'une âme protectrice de générosité, permettaient au jeune vampire, d'apercevoir le brusque changement de comportement de la jeune mortelle qui tremblait telle une feuille délicate, face à son impassible ennemi hivernal et sa lugubre expression qu'elle tentait de saisir, en paraissait vaine. Effectivement, le timbre de sa voix se fit plus chatoyante qu'enivrait par un sentiment haineux.

« Est – il possible, mon seigneur, déclara la jeune femme en bonne coutume et en lui gratifiant une révérence, que vous me décliner votre nom puisque j'ai bien l'impression que ma mémoire commence à faire des siennes et je désire être en mesure d'arrêter ses tourments qui débutent leur apogée, à travers une néfaste naissance. Dans mon cas, je me prénomme Misaki Ayuzawa et je suis une ex – suivante d'un royaume de la nuit et maintenant, une serveuse dans une taverne au nom de Guilty Pleasure. »

Len en resta figé, pareille à une statue de marbre dont sa stupéfaction ne se décidait de refléter qu'à travers, ses prunelles bleu – mer car ses charmants propos avaient, soudainement, provoqué un certain mal l'aise, emportée de tourments, du à son manque de politesse. Incommodé de la sorte, il lui gratifia une maladroite révérence, tout en s'excusant de son impertinence, à son égard.

« Veuillez accepter mes plus plates excuses, concernant à cet affront impoli, déclara le jeune vampire,dans un faible sourire. Je me prénomme Len Strife, ancien générale de la patrie de la nuit et Maître de ville des montagnes de BardorHeim, mais, à votre question, je me sens confus car je n'ai aucun souvenir de vous et je n'oublie aucune de mes rencontres, à moins, qu'elle soit dans celle qui a été engloutie six pieds sous – terre, soit disant pour mon bien. Pourtant, le terme de votre grade aborde, sans difficulté, les vampires. Pourrais – je obtenir une fine explication sur ce sujet ? »

Laissant sa dernière question suspendre dans l'atmosphère, Len s'installa, dans un coin de la pénombre et décrocha une resplendissante pierre minérale, avant de dévoiler une dague, où il commença, par la suite, à se mettre dans un ouvrage manuel.

Stupéfaite par cette révélation et par la réaction de son ténébreux interlocuteur, Misaki n'en croyait guère ses appareils auditifs, pour de pures raisons : il prenait son manque de présentation comme un affront à son égard, qui était, peut – être, lié à sa stricte éducation royale imposée dès sa naissance et le fait qu'il soit la progéniture de la glorieuse reine vampirique, qu'elle avait servi durant de longues années de bonheurs. Elle en resta sans voix tandis que ses membres qui allèrent dans sa direction, devenaient, de plus en plus, flageolants, pareille à une sombre démarche d'un honneur de fierté retrouvé, avant de s'écrouler, auprès de lui, sans le gêné dans son merveilleux ouvrage d'une pierre minérale dont sa fraîche allure se dessiner, en une luxuriante bague, aux éclats des eaux d'une rivière coulant dans les mythes et le reflet de la lune afin de poursuivre dans un mélodieux chant murmuré, sur le polissage du futur objet , en la métamorphosant, en une chose plus délicate, remplis de tendresse. Au moins, si c'était un présent, la personne qui en serait destinée, représentait pour lui, une grande valeur, à ses prunelles.

« Pour ne rien vous cachez, mon humble seigneur, déclara la jeune Maid, accompagné d'un lumineux sourire, j'ai été, autrefois, la femme de chambre, domestique ou servante royale de votre charmante mère, Stella Strife. C'est la raison, notamment, de mon rang que je vous ai annoncé, récemment, mais, en tant qu'inscrite, au plus profond de ma chair à votre mémorielle demeure, j'aimerai poursuivre ce service, comme promis, envers vous. Bien sûr, si mon seigneur le désire.... car votre famille a été pour moi, une union dont je n'oublierai jamais, à cause de la force de leur générosité qu'ils parvenaient à placer autour d'eux. Alors, si je peux vous êtres utiles …. »

Néanmoins, elle ne parvint guère à finir sa phrase puisqu'elle était émue, d'être en présence d'une union naissant, d'un véritable amour, d'un lien fondé entre deux êtres, qu'elle aurait souhaité de la part de ses parents biologiques.

« Veuillez, aussi, pardonner ma curiosité, ajouta t – elle, à travers un timbre faussement contrôlé par ses émotions, mais, votre splendide ouvrage dont vous manifestez avec une pure délicatesse et de choses encore plus surprenantes les unes, des autres, je me demandai qui en était le destinataire, d'un telle oeuvre qui doit vous tenir, fortement à coeur ? »

Penché sur son ouvrage qui prenait forme, pareil à un objet divin que même les constellations ne seraient rien, comparait à la charmante chaleur que cela lui procurait, à travers sa douce mélodie dont lui seul semblait ouïr, tel un ravissant chant celtique et traditionnel, Len se concentra, aussi pointilleux sur chacun des détails, imaginant les dessins ainsi ce qu'il avait l'intention de graver, lorsque la jeune Maid, au nom de Misaki, le tira de ses songes, à cause de la révélation, qu'elle venait de lui déclarer. Elle savait une pointe biologique qu'il aimerait connaître. Ce fut, néanmoins, accompagné d'un angélus sourire, conservé par de la gêne, représentée par une teinte qui venait lui empourprer ses joues, il pivota, légèrement, dans sa direction.

« Pour commencer, notre entretient sur ce sujet, je désirai, débuta le jeune vampire, dans une voluptueuse caresse car une partie de son esprit était resté auprès d'une personne, sans égale à la Terre, parce que, pour lui, elle méritait d'être élever dans un séraphique rang supérieur, que vous arrêtiez de me nommer de la sorte. Un rang est peut – être un rang, mais il existe des choses qu'il ne devrait jamais se trouver dans la réalité, comme ses classes. Donc, mon nom me suffit, aisément tandis que pour votre proposition, vous deviez avoir en mémoire les règles qui puisse approfondir votre choix. Cependant, si c'est cela que vous souhaitez, cet événement ne me dérange guère, mais, je voudrai, avant toute chose, connaître des renseignements, abordant ma famille et se sera, seulement, en ses conditions, qu'on suivra votre droit de me servir, même si je n'aime point être dépendant d'un individu. De plus, pour répondre à votre question, concernant cette bague et bien …. * rougit, tellement, qu'il en perd ses mots *c'est pour mon Ange des Ténèbres auquelle je serai prêt à tout sacrifier pour elle et dont sa beauté nocturne, reflète le caractère secret de choses intrigantes, semblable à une rose, dont j'ai toute l'honnêteté de vous avouer que ceci est une alliance, pour être plus précis. »

Puis, il baissa ses prunelles d'une brillance incontrôlable vers ce dernier, avant de se redresser pour saisir quelques pétales d'une rose des eaux, qu'il métamorphosa en de minuscules pierres précieuses qui ressemblaient comme de gouttes d'eau à des améthystes. Il les accrocha, à l'aide de petites boules d'algues qui accentua un côté, à la fois maritime et lunaire par ses couleurs variées de bleus.

Comment un noble et séduisant vampire pouvait - il posséder des traits angéliques, en fondant, ainsi, un merveilleux contraste, avec a véritable nature ? D'autant plus, cette impression s'accentua, lorsqu'il fut saisi d'une innocente gêne qui s'indiquait par une ardente teinte empourprée dont il le suivit d'un simple tic. Cependant, il ne s'en rendit guère compte, puisqu'il enchaîna ses paroles, d'une manière, tellement, lointaine que sa interlocutrice avait comprit qu'une partie de son âme se trouvait prisonnier dans un univers onirique. Néanmoins, Len poursuivit ses propos, semblable à une douce sonorité mélodieuse, pendant qu'il lui déclarait sa haine envers les rangs démocratiques, tout en mettant en cause la proposition de la jeune Maid car ce dernier lui fit, très ingénieusement, deviner qu'il détestait être dépendant d'un personnel. Malheureusement, ce petit rappel des règles que lui imposait son choix, Misaki se remémorait son premier combat en compagnie de sa gracieuse majesté et mère vampirique, Stella, afin de lui prouver qu'elle était digne de la servir, mais, elle fut contraint de sortir de ses songes, pour être en mesure d’accéder à la quémande de Len et faire face à la révélation de son sous - entendu projet, qu'elle ne put s'empêcher de le soutenir pour de nombreuses raisons, bien plus puissantes que sa empoisonneuse haine envers la gente masculine. Tout d'abord, la jeune mortelle savait que ses êtres nocturne amoureux ou imprégnés d'un individu, vivaient, en toute fidélité durant leur éternelle vie. Ce qui lui déclencha, malgré cela, une pure jalousie et la seconde, était l'émotion de la compassion à son égard puisque son ignorance biologique la décevait. C'est pourquoi, la jeune Maid accepta sa requête.

" Dans ce cas .... Len, commença - t - elle, je dois vous avertir que vous appartenez à une généreuse famille, peut commune, par rapport à votre espèce. Votre père, avant d'être un puissant roi et Maître de ville, stratagème, remplis d'humour, il était général dans une patrie pacifiste entre les loups - garous et les humains. C'est là qu'il a rencontré votre mère, Stella. Elle était timide et ne cherchait point à se mettre en valeur comme les autres vampiresse. Je dois vous avouer qu'elle avait un fort penchant pour les armes. Un jour, elle s'est faite passé pour un homme afin d'avoir accès aux entraînements royaux, où elle était parvenu à obtenir comme adversaire votre père. D'après certaines rumeurs le combat était prodigieuse, en reflétant une force sans égale et gagnant, ainsi, la bataille. Néanmoins, j'aurai bien voulu y assister pour être capable d'appercevoir la tête de " la rose rouge" lorsqu'il apprit l'identité de son combattant, mais, sachiez, que ce que je vous narre, ici, c'est le témoignage même de votre mère, lorsqu'on parlait confidence. Cependant, je peux vous affirmer que leur générosité et leur bonté envers le monde était sans égale. Dommage, qu'il existait cette cauchemardesque guerre auquelle je n'ai pu rien faire pour les aider."

C'est alors que des larmes s'écoulèrent sur l'étendue de ses joues, en oubliant qu'elle se tenait devant un individu et qu'elle dévoilait une partie de son être sensible et vulnérable. D'ailleurs, lorsqu'elle y songe, pourquoi ce fusse lui qui parvienne à la rendre confuse ? Ceci devait s'expliquer par la ressemblance de ses séraphiques aristocrates, perdu à tout jamais.

Abandonné par une curieuse pensée, d'un songe profond, Len fut saisit d'une confusion insupportable, du à l'insoutenable air énigmatique de la jeune Maid. Cependant, il était rassuré par ses intentions qui succombaient à d'incroyables éloges, concernant sa famille biologique, qu'elle l'entraîna, sans qu'elle puisse s'en rendre compte, à travers une pointe de jalousie, suivit d'une fulgurante haine envers sa mémoire défaillante qui aborderait les sujets de son enfance. Néanmoins, la jeune mortelle fut, tellement, emportée dans sa lointaine narration, qu'elle finit par lui dévoiler une vulnérabilité, une faiblesse dont elle gratifiait l'impression d'une hallucination qu'elle n'en avait guère l'habitude puisque Misaki se renfrogna sur elle - même. Alors, plongé dans un désarroi, le jeune vampire se laissa dans une anormale perplexité embarrassée d'une inhabituelle marque d'impuissance, face à cette réaction.

" Il serait regrettable, débuta celui - ci, en tentant de la consoler, que des larmes puissent s'écoulaient tel un fardeau sur vos frêles épaules, en vous entraînant dans une situation qui vous corrige sur votre comportement, vous obligeant, ainsi d'être une personne qui ne vous ressemble point. Je sais qu'il doit y avoir tant de choses, plus néfaste dans votre vie antérieur, mais, sachiez que nous avions guère la possibilité de réécrire le passé, pareille à un ouvrage enchanté. Oublie l'antérieurité, même si cella est difficile et cueille les roses de la vie, éphémère par le destin, mais éternelle, si tu te donnes la peine de poursuivre. Au moins, tu auras une charge retirait. Cependant, la deuxième ne me concerne point et ce n'est guère à moi de te la retirer car ceci sera la charge d'un individu, où tu seras prête à te confier, comme moi je l'ai fait * serre l'alliance aux reflets scintillants d'une pure beauté * et je déteste, encore plus briser, le choix d'une personne aussi déterminée que tu puisses l'être, donc, je suis d'accord, pour la proposition auquel tu as choisi de t'engager."

Le résultat de ses sincères paroles le fit redresser sur ses jambes, tout en contemplant la bague qu'il avait façonné, d'une manière si élégante et si délicate, qu'il avait l'illusion d'avoir oublier une chose, avant de la ranger dans une boîte de velours. C'est alors que Len décida de graver, en ancien langage vampirique et dans un style victorien, le nom de sa précieuse amante. Puis, une fois l'acte produit, il se retourna vers la jeune Maid, accompagné d'un charmant sourire.

" Alors, nous nous combattons à force égale, sans aucune arme telles sont les règles loyales que ton choix puisse te conduire dans la gratitude de débuter les festivités. "

Pourquoi avoir dévoilé une vulnérabilité d'une anxieuse faiblesse envers une personne auquelle n'avait guère gratifier sa confiance ? D'autant plus, Len lui fit une généreuse remarque sur les sentiments tels que la culpabilité et sur le phénomène de ramener le tout sur nous - même, afin d'indiquer à la jeune mortelle qu'il pouvait la corrompre, mais, le plus gênant, dans cette situation était le fait, qu'il avait constaté son manque d’impuissance. D'ailleurs, elle haïssait qu'on puisse la voir de la sorte. Ce qui l'entraina dans une fulgurante hargne aussi tumultueuse que les vagues naissant des mers. Cependant, avec l'accompagnement d'une pointe d'une flamboyante chaleur que même l'impassible neige hivernale ne serait en mesure de l'arrêter, provoquant, par la même occasion, des petits tremblements d'embarras qui se joignaient d'une curieuse perplexité, lorsque le jeune vampire lui annonçait qu'il acceptait, à travers une joyeuse sincérité, sa proposition, tout en lui honorant le plaisir de débuter les festivités.

"Je suis, vraiment, touché par vos bontés, déclara celle - ci en se redressant, mais, en ce qui me concerne l'amorce de cette bataille, je désirai qu'il soit offerte par le destin."

Afin de donner l'explication de cette signification, elle lui désigna une pièce, qu'elle avait sorti de sa bourse.

"Pile, je débute le combat et face, vous aviez l'honneur de commencer les festivités. " lui informa t - elle, en lançant la monnaie, dans une gracieuse sonorité d'un tournoient de souplesse, avant qu'elle puisse atterrir sur le dos de sa main.

Début du combat amical Misaki VERSUS Len


Misaki tape la première !

MISAKI AYUZAWA : 365
Dégâts : 175

LEN STRIFE : 740
Dégâts : 417

Misaki retira sa main afin de dévoiler à son ténébreux interlocuteur le résultat du destin qui avait choisi la jeune mortelle pour débuter les festivités.

" Pile, lança celle - ci, en lui adressant un incroyable sourire et comme vous l'aviez gentiment mentionné, ceci se passera sans arme. Pourtant, j'ai une faveur a vous quémander. Je désirai que vous ayez l'image d'une impitoyable adversaire car je dois vous avouer ma empoisonneuse haine lorsqu'on m'apporte une tendresse de pitié parce que je suis une femme. D'ailleurs, sache pour ma part, je vous ferais guère de cadeaux."

Suite à ces dernières paroles d'avertissements, la jeune Maid s'élança vers Len, à travers une fluidité rejoint d'une effroyable souplesse que ses mouvements complexes, qu'elle succéda, paraissait floues, liquides, voire inaccessibles. Néanmoins, elle finit par se baisser, en lançant une jambe en direction de la pomme d'Adam de son ennemi qui avait pour but de le projeter contre les murs de la cavité rocheuse et minérale.

Fixant la pièce qui tournoyait, dans une adorable sonorité d'acier, Len espérait que le Maître du Destin soit de son avis concernant le choix du combattant qui sera en mesure de débuter ces joyeuses festivités et comme si cet être invisible avait ouïr sa tendre prière d'une incroyable bonté, Misaki lui confirma le résultat, tout en lui quémandant une stupéfiante faveur. En effet, celle - ci consistait de la prendre comme impitoyable adversaire afin qu'il ne soit point capable de placer, durant le combat, une pointe de pitié car elle était une femme. Ce qui déclencha un merveilleux sourire qui annonçait son muet accord puisqu'il devait admettre que cette jeune mortelle possédait une volonté ainsi qu'une détermination de fer. D'ailleurs, ces sentiments s’intensifièrent à travers ses fluviales mouvements d'une complexité d'une effroyable traîtrise parce qu'elle était parvenue à lui décocher un coup au niveau de sa pomme d'Adam qui le projeta contre les roches humides de la cavité minérale, en l'accompagnant, ainsi, d'une atroce souffrance lorsque des pierres vinrent s’effondrer à sa proximité. Cependant, ce n'est guère pour autant qu'elle lâcha sa prise. Effectivement, avec une telle vitesse, remplis de stratégies, le jeune vampire se demandait si elle était, en fin de compte, bel et bien, un être que son espèce qualifierait de faible, voire de vulnérable. Alors, sortant de ses étranges songes qui pourraient lui coûter la vie, il se baissa afin d'esquiver une de ses puissantes attaques, lui agrippant son poignet pour se servir d’appui et il tourna autour de celui - ci pour enchaîner ses coups de jambes dont le but était de la faire vaciller, avant de le succéder de charges, auxquelles ses mains prirent l'illusion d'un serpent vénéneux car il tapait sur les points, les plus sensibles pour un corps humain.

Malgré l'ingéniosité de cet enchaînement, le jeune vampire contre - attaqua, à l'aide d'une focalisation de son esprit qui constituait, dans l'accompagnement de ses prodigieux successions foudroyantes, à localiser, telle un serpent vénéneux, la richesse de ses connaissances, en lui apportant les points vulnérables de l'ennemie. Ce qui la fit valdinguer contre l'humidité de la roche minérale, dont un resplendissant sourire scruta les lèvres de la jeune mortelle, où elle succomba, dans une gracieuse aisance, à l'intérieur d'une douce musicalité de ses douleurs qui l'envahissaient tout son corps, semblable à un élixir.

" Tout d'abord, je souhaiterai vous gratifier, officiellement, mes sincères remerciements pour être parvenu à respecter mon choix, ma faveur ainsi que d'avoir ôté, un de mes fardeaux. D'autant plus, c'est dans une innocence parole, accentué de franchise que je suis heureuse d'avoir pu me mesurer à une noble personne, telle que vous."

Puis, elle lâcha un las soupir, comme si elle allait se contredire mais, Misaki conserva cette risette, remplis de bonheur, avant de poursuivre :

" Grâce à vous, j'ai pu concevoir un but dans ma vie. Si je dois vous servir, je le ferai dans toute la dignité d'un honneur mérité. Cependant, il faudra que je m'améliore afin que je puisse vous protéger comme je l'ai promis à votre famille. "

Plongé à l'intérieur d'une focalisation d’analyse, Len parvint à la projeter, tout en y plaçant, une légère pointe de retenue pour ne point la tuer. D'ailleurs, c'est par cet acte stratégique et autant ingénieux qu'il marqua la fin de ses festivités, avant de se diriger vers ses partenaire, à travers une irrégulière démarche qui nota une étrange consonance mélancolique d'une profonde anxiété puisque la jeune Maid resta adossé contre son siège de cavité minérale, où elle semblait l'attendre pour déclarer des choses qui lui tenaient à coeur. En effet, elle lui gratifia ses sincères remerciements, dans un incroyable sourire, qu'on avait l'impression qu'une généreuse bonté l'envahissait, mais qui contrastait avec son pure caractère démoniaque. Néanmoins, le discours qu'elle promulgué, déclencha à un charmant sourire aux lèvres du jeune vampire.

" Obtenir des buts est important dans une vie car il vous permet de trouver la raison ainsi que notre place, à l'intérieur de cette société mais sache que pour une "disant" espèce que mes confrères osent qualifier de vulnérable, tu peux être digne de la catégorie puisque je suis, notamment, honoré d'avoir pu entretenir ses festivités. Cependant, seriez - vous en mesure de vous relever parce que mon intuition m'indique qu'on risquerait de rencontrer quelques membres qui cohabiteraient en ce lieu."

Effectivement, pour souligner la conforme réalité de ses propos qu'il avait énoncé, une sonorité suivit d'auras malsains vinrent plomber l'endroit, tout en captivant leur regard en direction de cette néfaste source de cette curieuse origine.

Combat Joueurs VerSuS Ennemis

Le résultat de la sincérité de ses tendres paroles laissa Misaki, à l'intérieur d'une berceuse, remplis de douceurs printanières qui entraîna un resplendissant sourire sur les lèvres de son interlocuteur vampirique. D'ailleurs, ce dernier s'abandonna à une gracieuse démarche, avant de la rassurer, à l'aide d'un noble et philosophique conseil dont la jeune Maid ne put s'empêcher lui adresser une risette de bonheur, accentuée d'une surprenante satisfaction. Cependant, ce précieux instant de convivialité ne fut que de courte durée puisqu'un arôme néfaste emplit l’atmosphère, en enivrant leurs regards vers les imposantes créatures qui se détachèrent, peu à peu, de l'hostilité appartenant à la cavité minérale. Du coups, elle tenta de se redresser, mais en vain car d'atroces souffrances vinrent l'envahir, pareille à une légère cantine familière. Néanmoins, elle ne désirait point abandonner "son ami ?!" dans un combat qui ne semblait guère être singulier, succombant, ainsi, à une puissante volonté d'une fulgurante détermination, tout en se remettant sur ses pieds, tandis que sa haine empoisonneuse dont elle se servait de carapace, savourait l'ardent désir d'une indomptable gourmandise pour le combat dont elle s'apprêtait à ouvrir les festivités. En effet, la jeune mortelle se précipita vers le Skelk putride, le poignard dégainé, à travers une incroyable vitesse qui paraissait inaccessible pour l’œil d'un être vulnérable et le brandit en direction du cou reptilien.

Son regard, d'un merveilleux bleu limpide, était enivré par une curieuse contemplation, à l'égard des mystérieuses créatures dont leurs imposantes silhouettes se détachèrent, peu à peu, de l'hostilité appartenant à cette cavité minérale. C'est alors, qu'une mélodieuse sonorité caillouteuse ainsi qu'un léger courant, emporté d'un banal arôme, lui indiqua que sa effroyable coéquipière avait ouvert les honorables festivités. En effet, la jeune mortelle se précipita, à l'intérieur d'un monde surnaturel, composé de deux visages tels que la mer aussi traîtresse que sa haine empoisonneuse. Néanmoins, elle savait contrôler chacun de ses gestes, en les dirigeant vers la sombre créature, semblable à l'ondulation des vagues auquel un étrange sentiment vint submerger le jeune vampire d'un dangereux avertissement. D'ailleurs, ce fut à travers cette intention anormale que Len accéléra dans sa direction jusqu'à ce que l'un de ses monstres lui bloquèrent le passage. C'était une de ses ombrageuses bêtes que les démoniaques Ombres adoptent, généralement, pour un rôle de surveillance : un Skelk des Ombres. Du coup, un lumineux rictus s'étira sur ses lèvres, comparable à un être malsain, remplis d'idéaux pervers tandis que sa pulsion meurtrière lui teinté "sanguignolement" ses prunelles, avant de dévoiler sa faux dévastatrice qui était prêt à savourer les âmes qui profanaient ces lieux. Puis, il tournoya son arme au dessus de lui, de manière à accroître ses mouvements en puissance ainsi qu'en vitesse, afin d'être en mesure de succéder ses enchaînements ravageurs sur son adversaire, en se retournant, délicatement, dans une danse macabre dont il brandit sa lame vers son sternum.