Lorsqu'Aurora vint ouvrir le char Soleil aux portes du ciel, Misaki nettoyait dans un effort débordante tout le mobilier de la taverne Guilty Pleasure. C'est alors qu'une sonorité, aussi scintillante de le clairon d'une flûte enchantée, emplir la salle, malgré les horaires qui indiquaient que le magasin était close. Lâchant un soupire de désespoir, la jeune femme fut contrainte de saisir son expression furieuse, emplis d'une pure haine empoisonneuse afin de provoquer la fuite de cette troublante personne, mais en conservant, néanmoins, un sentiment de toute bonté ( après tout, ceci dépendra de ce dernier). Elle s'approcha de la modeste porte, dans une grâce et une souplesse qui surpris le mystérieux individu, lorsqu'elle lui posa, délicatement, sa main sur son épaule qui le fit sursauter, en même temps que ses poils, se redressant sur son échine.

« Veuillez accepter mes plus plates excuse, mais, je suis contrainte de vous mettre à la porte, puisque l'heure est tardif pour vous restaurer de la sorte.
– Ce … Ce, débuta le jeune homme dont l'aspect paraissait humain. Cependant, la jeune Maid préférait se méfier de la véritable nature des personnes environnantes. C'est moi qui devrait m'excuser puisque je ne suis point censé, comme vous l'aviez mentionné, être en ces lieux mais, une obligation me fut contraint car je dois vous donner cette lettre en toute urgence et je vous demande, ainsi que le destinataire de cette faveur, vous requière une grande discrétion (il brandit la lettre en question, avec un charmant sourire, avant de s'éclipser dans les ombres, sans attendre, avec une forte patience, sa réponse qui abordait ce sujet)

Depuis qu'elle était devenue une assassin, à part entière, on lui quémandait des choses fortement intéressante, mais, en découvrant l'emblème encré sur le dos, elle savait, immédiatement, qu'elle appartenait, au maire de la silencieuse ville de BaldorHeim. En effet, ce dernier la convia de poursuivre un étrange individu qui avait su se fondre dans les jeu des ténèbres et dérober des papiers administratifs importants, concernant la ville. Elle ne put s'empêcher de sourire au nez, en secret, d'une moquerie, remplis de divertissement, qui serait adressé aux soldats, dont l'écriture italique et de cette écrit fort riche en littérature, dévoilait leur incompétence, mais, notamment, le désespoir, sous – entendue, de son destinataire. Heureusement, pour eux que dans leur rapport, ils avaient su connaître l'emplacement de son fantomatique intrus, qui se trouvait en plein centre – ville. D'ailleurs, c'était sans perdre le moindre instant, qu'elle s'engagea dans l'anxieuse pénombre nocturne dont le malsain climat la menaçait de ses fraîches précipitées glacières qui se révéla – être de la douce neige. Celle – ci l'accompagna dans sa sinistre atmosphère hostile, en la camouflant, en échange de sa protection, face au vision aiguisé de certaines espèces : elle lui laisserai caresser sa peau perle de lait. Alors, Misaki ayant choisit son mal, elle marchait, sans un bruit, dans BaldorHeim, où toutes les demeures paraissaient endormies, durant que les êtres qui y cohabitait, sombrer dans le tendre sommeil de Morphée. Toute !? Non, une seule trahissait dans le décors, où elle montrait une exceptions anormale aux règles silencieuses de la nuit. Du coup, elle poursuivit son chemin, vers cette humble maison commune et toqua, comme pour une simple visite de courtoisie. Une fois, deux fois, trois fois, avant que le propriétaire des lieux, enveloppé dans des vêtements de velours et de soies, afin dissimuler son identité.

« Veuillez accepter mes plus plates excuses, commença t – elle, en incrustant la pièce et découvrant les documents administratifs qu'elle recherchait car elle reflétait par la seule luminosité de la bougie, l'emblème du maire, mais, je dois reprendre une chose qui m'appartient. »

Le résultat de sa dernière phrase était la stupéfaction de son interlocuteur ainsi que de la peur qui s'affichait, peu à peu, par des perles de sueur et sans attendre qu'il puisse y répliquer sur ses mots, elle se faufila, avec une finesse féline, entre la porte et la personne, parvenant, ainsi, à pénétrer, à l'intérieur, pour d'être en mesure de saisir les documents qu'elle avait sous entendu dans ses propos. C'est alors que le mystérieux propriétaire comprenant sa fatale erreur, lui lança une dague qui vinrent s'incruster dans son épaule, dont la brutale impact, la fit valdinguer et accrocher contre un mur. Ce qui déclencha une ardente haine qui se mettait à la surface, à travers ses prunelles de couleurs noisettes, mais, elle annonçait, notamment, le début des hostilités, lorsqu'elle retira l'arme de sa chair.

« Je crois bien, déclara t – elle d'une ténébreuse voix menaçante, que tu viens de toucher les abîmes, avant même de connaître ton salut. »

Misaki Ayuzawa / Ennemis
Le combat commence

Suite à sa glaçante menace, aussi tranchante que sa dague qu'elle venait de dévoiler, Misaki commença à faire quelques pas, lorsque son mystérieux adversaire la surpris, en déclenchant, ainsi, d'importante hostilité, avec un poing brandissant, où se logeait une lame, pointant vers son sternum. Néanmoins, ayant un regard d'une vipère indomptable, la jeune Maid se baissa afin d'être en mesure de lui saisir son poignet dont elle eut la charmante délicatesse d'une vraie tempête de lui tirer son membre, à travers un puissant mouvement, qu'on pourrait le qualifier d'une sauvagerie marine, en l'abandonnant, ainsi, dans une vulgaire vulnérabilité. Un sourire malsain scrutait ses douces lèvres et ses prunelles ruisselaient une fulgurante haine qui serait comparable à la jalousie d'une pure folie d'une sorcière antique, elle planta sa tendre lame dans l'un des cartilages de la colonne vertébrale qui ne serait point s'en conséquence si elle était parvenue.

Misaki Ayuzawa / Ennemis
Le combat commence

Malheureusement pour la jeune mortelle, sa lame ne parvint point à l'endroit prévu, se logeant, néanmoins, sur une autre partie du corps, où la sensibilité est la plus atroce. Cependant, à travers son échec, elle eut la fatale erreur de baisser sa garde, donnant, ainsi, le champs libre à son adversaire de lui gratifier, trois poignards qui lui transpercèrent, en ligne droite sa hanche, d'une charmante cacophonie insoutenable de douleurs, en la faisant vaciller, quelque peu. Alors, reprenant ses esprits, juste à temps, elle arrêta une succession de charges en lui agrippant son poignet qu'elle accompagna d'un massacrant sourire auquel un filet de couleur vermeille en profita pour s'échapper. Misaki retira son arme, tout en tournoyant, sur elle - même, afin de se dégager de son emprise, avant de poursuivre, dans ses enchaînements fulgurants et complexes d'une sauvagerie, guidés par une pure hargne dont elle misa toute sa puissance en direction de son ventre.