Cependant, elle n'y parvint guère puisqu'elle fut arrêtée par un jeune homme dont les sentiments étaient plus forts que tout, tentant de la
libérer et c'est ainsi que ses ardeurs furent calmées, du coup, la jeune femme ne put le tuer, car désertée de sa haine, le calme pesait sur sa conscience et une autre émotion bien plus forte vint l'envahir,l'amoûûûûûûr,comme on en parle dans les contes qui est une émotion qu'on ne peut prévoir car elle l'emporte souvent sur la raison, ce qui a pour conséquence que tous les sorts et les pouvoirs de destructions sont inefficace face à ce sentiment puisque c'est le sentiment le plus puissant et rien ne peut le briser, mais revenons donc à cette femme qui s'était rapprochée du jeune homme mais avait brisé cette innocence passion par un filtre d'amour, mais était - ce vraiment le cas, s'il l'aimait d'un Amour véritable ? Elle ne pouvait en être sûre donc elle prit une épée et finit par la lâcher les mains tout tremblantes , elle s'approcha de lui toute frissonnante et l'embrassa car elle était sous son charme angelus et parce que le baiser était sensé être la plus grande révélation, cependant était - ce vraiment le cas ? Était - elle tout simplement romantique, sur le point d'être aveuglé ? Elle allait le savoir dans l'instant qui suivait. Elle était heureuse que ce dernier ait répondu à son attente, à son désir, ôtant, ainsi de sa tête, tous ses idées noirs qui l’obscurcissaient l'esprit à cause de sa méfiance constante envers les homme et elle avait vécu dans une atroce déception lointaine dont elle n'était pas prête d'oublier donc en restant sur ses gardes, elle lui posa la fâcheuse question qui était la suivante "Me promets-tu de ne pas me quitter ?", c'est alors que le jeune homme la fixa, de ses intenses prunelles pour lui répondre :"Bien sûr" pourtant il se demandait, si la sincérité de ses paroles, pouvaient la rassurer puisque c'était la pure vérité puisqu'il l'aimait,tellement car il ne pourra point la blesser, c'était pourquoi, il ferait tout pour elle, comme un servant du Diable, afin d'être à son humble service et de la protéger de tout son âme, comme la prunelle de ses yeux, tellement il redoutait de se la faire ravir par la Mort, qui attendait leur moment funeste car elle patientait, l'air ennuyée, accompagné
de sa douce faux ainsi que ses prunelles rougeoyante d'un pure brasier
de s'emparer de cette douce et tendre femme, mais, le misérable humain
l'empêcha de faire son travail qui ne se passait point comme prévu, car
au - delà du
temps, au plus profond des ténèbres, on pouvait, déjà,
ouïr ses vices macabres ainsi que ses rires qui tournent, tournent, sans
plus rien retenir comme le temps qui tente de nous saisir afin denous intéresser, à ce monde qui ne nous intéresse point car cela lui suffisait ...

Cependant, elle n'y parvint guère puisqu'elle fut arrêtée par un jeune homme dont les sentiments étaient plus forts que tout, tentant de la
libérer et c'est ainsi que ses ardeurs furent calmées, du coup, la jeune femme ne put le tuer, car désertée de sa haine, le calme pesait sur sa conscience et une autre émotion bien plus forte vint l'envahir,l'amoûûûûûûr,comme on en parle dans les contes qui est une émotion qu'on ne peut prévoir car elle l'emporte souvent sur la raison, ce qui a pour conséquence que tous les sorts et les pouvoirs de destructions sont inefficace face à ce sentiment puisque c'est le sentiment le plus puissant et rien ne peut le briser, mais revenons doncà cette femme qui s'était rapprochée du jeune homme mais avait brisé cette innocence passion par un filtre d'amour, mais était - ce vraiment le cas, s'il l'aimait d'un Amour véritable ? Elle ne pouvait en être sûre donc elle prit une épée et finit par la lâcher les mains tout tremblantes , elle s'approcha de lui toute frissonnante et l'embrassa car elle était sous son charme angelus et parce que le baiser était sensé être la plus grande révélation, cependant était - ce vraiment le cas ? Était - elle tout simplement romantique, sur le point d'être aveuglé ? Elle allait le savoir dans l'instant qui suivait. Elle était heureuse que ce dernier ait répondu à son attente, à son désir, ôtant, ainsi de sa tête, tous ses idées noirs qui l’obscurcissaient l'esprit à cause de sa méfiance constante envers les homme et elle avait vécu dans une atroce déception lointaine dont elle n'était pas prête d'oublier donc en restant sur ses gardes, elle lui posa la fâcheuse question qui était la suivante "Me promets-tu de ne pas me quitter ?", c'est alors que le jeune homme la fixa, de ses intenses prunelles pour lui répondre :"Bien sûr" pourtant il se demandait, si la sincérité de ses paroles, pouvaient la rassurer puisque c'était la pure vérité puisqu'il l'aimait,tellement car il ne pourra point la blesser, c'était pourquoi, il ferait tout pour elle, comme un servant du Diable, afin d'être à son humble service et de la protéger de tout son âme, comme la prunelle de ses yeux, tellement il redoutait de se la faire ravir par la Mort, qui attendait leur moment funeste car elle patientait, l'air ennuyée, accompagné de sa douce faux ainsi que ses prunelles rougeoyante d'un pure brasier de s'emparer de cette douce et tendre femme, mais, le misérable humain l'empêcha de faire son travail qui ne se passait point comme prévu, car au - delà du
temps, au plus profond des ténèbres, on pouvait, déjà, ouïr ses vices macabres ainsi que ses rires qui tournent, tournent, sans
plus rien retenir comme le temps qui tente de nous saisir afin de nous
intéresser, à ce monde qui ne nous intéresse point car cela lui
suffisait vu qu'elle possédait déjà tout ainsi que la vie qu'elle avait tant désiré et qui lui semblait irréelle.

Elle allait le savoir dans l'instant qui suivait. Elle était heureuse que ce dernier ait répondu à son attente, à son désir, ôtant, ainsi de sa tête, tous ses idées noirs qui l’obscurcissaient l'esprit à cause de sa méfiance constante envers les homme et elle avait vécu dans une atroce déception lointaine dont elle n'était pas prête d'oublier donc en restant sur ses gardes, elle lui posa la fâcheuse question qui était la suivante "Me promets-tu de ne pas me quitter ?", c'est alors que le jeune homme la fixa, de ses intenses prunelles pour lui répondre :"Bien sûr" pourtant il se demandait, si la sincérité de ses paroles, pouvaient la rassurer puisque c'était la pure vérité puisqu'il l'aimait,tellement car il ne pourra point la blesser, c'était pourquoi, il ferait tout pour elle, comme un servant du Diable, afin d'être à son humble service et de la protéger de tout son âme, comme la prunelle de ses yeux, tellement il redoutait de se la faire ravir par la Mort, qui attendait leur moment funeste car elle patientait, l'air ennuyée, accompagné de sa douce faux ainsi que ses prunelles rougeoyante d'un pure brasier de s'emparer de cette douce et tendre femme, mais, le misérable humain l'empêcha de faire son travail qui ne se passait point comme prévu, car au - delà du temps, au plus profond des ténèbres, on pouvait, déjà, ouïr ses vices macabres ainsi que ses rires qui tournent, tournent, sans plus rien retenir comme le temps qui tente de nous saisir afin de nous intéresser, à ce monde qui ne nous intéresse point car cela lui suffisait vu qu'elle possédait déjà tout ainsi que la vie qu'elle avait tant désiré et qui lui semblait irréelle car les envies d'une fameuse illusion lui permit une chose qu'elle a tant désiré....

Elle allait le savoir dans l'instant qui suivait. Elle était heureuse que ce dernier ait répondu à son attente, à son désir, ôtant, ainsi de sa tête, tous ses idées noirs qui l’obscurcissaient l'esprit à cause de sa méfiance constante envers les homme et elle avait vécu dans une atroce déception lointaine dont elle n'était pas prête d'oublier donc en restant sur ses gardes, elle lui posa la fâcheuse question qui était la suivante "Me promets-tu de ne pas me quitter ?", c'est alors que le jeune homme la fixa, de ses intenses prunelles pour lui répondre :"Bien sûr" pourtant il se demandait, si la sincérité de ses paroles, pouvaient la rassurer puisque c'était la pure vérité puisqu'il l'aimait,tellement car il ne pourra point la blesser, c'était pourquoi, il ferait tout pour elle, comme un servant du Diable, afin d'être à son humble service et de la protéger de tout son âme, comme la prunelle de ses yeux, tellement il redoutait de se la faire ravir par la Mort, qui attendait leur moment funeste car elle patientait, l'air ennuyée, accompagné de sa douce faux ainsi que ses prunelles rougeoyante d'un pure brasier de s'emparer de cette douce et tendre femme, mais, le misérable humain 'empêcha de faire son travail qui ne se passait point comme prévu, car au - delà du temps, au plus profond des ténèbres, on pouvait, déjà, ouïr ses vices macabres ainsi que ses rires qui tournent, tournent, sans plus rien retenir comme le temps qui tente de nous saisir afin de nous intéresser, à ce monde qui ne nous intéresse point car cela lui suffisait vu qu'elle possédait déjà tout ainsi que la vie qu'elle avait tant désiré et qui lui semblait irréelle car les envies d'une fameuse illusion lui permit une chose qu'elle a tant désiré puisque ceci lui montra qu'elle n'était point maléfique et le jeune homme, en avait parfaitement conscience ....

Elle allait le savoir dans l'instant qui suivait. Elle était heureuse que ce dernier ait répondu à son attente, à son désir, ôtant, ainsi de
sa tête, tous ses idées noirs qui l’obscurcissaient l'esprit à cause de sa méfiance constante envers les homme et elle avait vécu dans une
atroce déception lointaine dont elle n'était pas prête d'oublier donc en restant sur ses gardes, elle lui posa la fâcheuse question qui était la
suivante "Me promets-tu de ne pas me quitter ?", c'est alors que le jeune homme la fixa, de ses intenses prunelles pour lui répondre :"Bien
sûr" pourtant il se demandait, si la sincérité de ses paroles, pouvaient la rassurer puisque c'était la pure vérité puisqu'il l'aimait,tellement
car il ne pourra point la blesser, c'était pourquoi, il ferait tout pour elle, comme un servant du Diable, afin d'être à son humble service
et de la protéger de tout son âme, comme la prunelle de ses yeux, tellement il redoutait de se la faire ravir par la Mort, qui attendait leur moment funeste car elle patientait, l'air ennuyée, accompagné de sa douce faux ainsi que ses prunelles rougeoyante d'un pure brasier de
s'emparer de cette douce et tendre femme, mais, le misérable humain s'empêcha de faire son travail qui ne se passait point comme prévu, car au - delà du temps, au plus profond des ténèbres, on pouvait, déjà, ouïr ses vices macabres ainsi que ses rires qui tournent, tournent, sans plus rien retenir comme le temps qui tente de nous saisir afin de nous intéresser, à ce monde qui ne nous intéresse point car cela lui
suffisait vu qu'elle possédait déjà tout ainsi que la vie qu'elle avait tant désiré et qui lui semblait irréelle car les envies d'une fameuse
illusion lui permit une chose qu'elle a tant désiré puisque ceci lui montra qu'elle n'était point maléfique et le jeune homme, en avait parfaitement conscience, il savait pertinemment ce qui allait se passer d'autant plus qu'il était bien décidé à ne point se séparer d'elle parce qu'il

Elle allait le savoir dans l'instant qui suivait. Elle était heureuse
que ce dernier ait répondu à son attente, à son désir, ôtant, ainsi de sa
tête, tous ses idées noirs qui l’obscurcissaient l'esprit à cause de sa
méfiance constante envers les homme et elle avait vécu dans une atroce
déception lointaine dont elle n'était pas prête d'oublier donc en
restant sur ses gardes, elle lui posa la fâcheuse question qui était la suivante "Me promets-tu de ne pas me quitter ?", c'est alors que le
jeune homme la fixa, de ses intenses prunelles pour lui répondre :"Bien sûr"
pourtant il se demandait, si la sincérité de ses paroles, pouvaient la
rassurer puisque c'était la pure vérité puisqu'il l'aimait,tellement car il ne pourra point la blesser, c'était pourquoi, il ferait tout
pour elle, comme un servant du Diable, afin d'être à son humble service et
de la protéger de tout son âme, comme la prunelle de ses yeux,
tellement il redoutait de se la faire ravir par la Mort, qui attendait
leur moment funeste car elle patientait, l'air ennuyée, accompagné de sa
douce faux ainsi que ses prunelles rougeoyante d'un pure brasier de s'emparer
de cette douce et tendre femme, mais, le misérable humain s'empêcha de
faire son travail qui ne se passait point comme prévu, car au - delà du
temps, au plus profond des ténèbres, on pouvait, déjà, ouïr ses vices
macabres ainsi que ses rires qui tournent, tournent, sans plus rien
retenir comme le temps qui tente de nous saisir afin de nous intéresser,
à ce monde qui ne nous intéresse point car cela lui suffisait vu
qu'elle possédait déjà tout ainsi que la vie qu'elle avait tant désiré
et qui lui semblait irréelle car les envies d'une fameuse illusion
lui permit une chose qu'elle a tant désiré puisque ceci lui montra
qu'elle n'était point maléfique et le jeune homme, en avait parfaitement
conscience, il savait pertinemment ce qui allait se passer d'autant plus qu'il était bien décidé à ne point se séparer d'elle parce qu'il s'y était attaché langoureusement...

Elle allait le savoir dans l'instant qui suivait. Elle était heureuse que ce dernier ait répondu à son attente, à son désir, ôtant, ainsi de sa
tête, tous ses idées noirs qui l’obscurcissaient l'esprit à cause de sa méfiance constante envers les homme et elle avait vécu dans une atroce déception lointaine dont elle n'était pas prête d'oublier donc en restant
sur ses gardes, elle lui posa la fâcheuse question qui était la
suivante "Me promets-tu de ne pas me quitter ?", c'est alors que le jeune homme la fixa, de ses intenses prunelles pour lui répondre :"Bien sûr" pourtant il se demandait, si la sincérité de ses paroles, pouvaient la rassurer
puisque c'était la pure vérité puisqu'il l'aimait,tellement car il ne
pourra point la blesser, c'était pourquoi, il ferait tout pour elle, comme un servant du Diable, afin d'être à son humble service et de la protéger de tout son âme, comme la prunelle de ses yeux, tellement il redoutait de se la faire ravir par la Mort, qui attendait leur moment funeste car elle patientait, l'air ennuyée, accompagné de sa douce faux ainsi que ses prunelles rougeoyante d'un pure brasier de s'emparer
de cette douce et tendre femme, mais, le misérable humain s'empêcha de faire son travail qui ne se passait point comme prévu, car au - delà du temps, au plus profond des ténèbres, on pouvait, déjà, ouïr ses vices macabres ainsi que ses rires qui tournent, tournent, sans plus rien retenir comme le temps qui tente de nous saisir afin de nous intéresser, à ce monde qui ne nous intéresse point car cela lui suffisait vu
qu'elle possédait déjà tout ainsi que la vie qu'elle avait tant désiré et qui lui semblait irréelle car les envies d'une fameuse illusion lui permit une chose qu'elle a tant désiré puisque ceci lui montra qu'elle n'était point maléfique et le jeune homme, en avait parfaitement conscience, il savait pertinemment ce qui allait se passer d'autant
plus qu'il était bien décidé à ne point se séparer d'elle parce qu'il s'y était attaché langoureusement de cet amour naissant ....

Elle allait le savoir dans l'instant qui suivait. Elle était heureuse que ce dernier ait répondu à son attente, à
son désir, ôtant, ainsi de sa tête, tous ses idées noirs qui l’obscurcissaient l'esprit à cause de sa méfiance constante envers les homme et elle avait vécu dans une atroce déception lointaine dont elle n'était pas prête d'oublier donc en restant sur ses gardes, elle lui posa la fâcheuse question qui était la suivante "Me promets-tu de ne pas me quitter ?", c'est alors que le jeune homme la fixa, de ses intenses prunelles pour lui répondre :"Bien sûr" pourtant il se demandait, si la sincérité de ses paroles, pouvaient la rassurer puisque c'était la pure vérité puisqu'il l'aimait,tellement car il ne pourra point la blesser, c'était pourquoi, il ferait tout pour elle, comme un servant du Diable, afin d'être à son humble service et de la protéger de tout son âme, comme la prunelle de ses yeux, tellement il redoutait de se la faire ravir par la Mort, qui attendait leur moment funeste car elle patientait, l'air ennuyée, accompagné de sa douce faux ainsi que ses prunelles rougeoyante d'un pure brasier de s'emparer de cette douce et tendre femme, mais, le misérable humain s'empêcha de faire son travail qui ne se passait point comme prévu, car au - delà du temps, au plus profond des ténèbres, on pouvait, déjà, ouïr ses vices macabres ainsi que ses rires qui tournent, tournent, sans plus rien retenir comme le temps qui tente de nous saisir afin de nous intéresser, à ce monde qui ne nous intéresse point car cela lui suffisait vu qu'elle possédait déjà tout ainsi que la vie qu'elle avait tant désiré et qui lui semblait irréelle car les envies d'une fameuse illusion lui permit une chose qu'elle a tant désiré puisque ceci lui montra qu'elle n'était point maléfique et le jeune homme, en avait parfaitement conscience, il savait pertinemment ce qui allait se passer d'autant plus qu'il était bien décidé à ne point se séparer d'elle parce qu'il s'y était attaché langoureusement de cet amour naissant dont il révéla à travers ses prunelles ...

Elle allait le savoir dans l'instant qui suivait. Elle était heureuse que ce dernier ait répondu à son attente, à son désir, ôtant, ainsi de sa tête, tous ses idées noirs qui l’obscurcissaient l'esprit à cause de sa méfiance constante envers les hommes et elle avait vécu dans une atroce déception lointaine dont elle n'était pas prête d'oublier donc en restant sur ses gardes, elle lui posa la fâcheuse question qui était la suivante "Me promets-tu de ne pas me quitter ?", c'est alors que le jeune homme la fixa, de ses intenses prunelles pour lui répondre :"Bien sûr" pourtant il se demandait, si la sincérité de ses paroles, pouvaient la rassurer puisque c'était la pure vérité puisqu'il l'aimait,tellement car il ne pourra point la blesser, c'était pourquoi, il ferait tout pour elle, comme un servant du Diable, afin d'être à son humble service et de la protéger de tout son âme, comme la prunelle de ses yeux, tellement il redoutait de se la faire ravir par la Mort, qui attendait leur moment funeste car elle patientait, l'air ennuyée, accompagné de sa douce faux ainsi que ses prunelles rougeoyantes d'un pure brasier de s'emparer de cette douce et tendre femme, mais, le misérable humain s'empêcha de faire son travail qui ne se passait point comme prévu, car au - delà du temps, au plus profond des ténèbres, on pouvait, déjà, ouïr ses vices macabres ainsi que ses rires qui tournent, tournent, sans plus rien retenir comme le temps qui tente de nous saisir afin de nous intéresser, à ce monde qui ne nous intéresse point car cela lui suffisait vu qu'elle possédait déjà tout ainsi que la vie qu'elle avait tant désiré et qui lui semblait irréelle car les envies d'une fameuse illusion lui permit une chose qu'elle a tant désiré puisque ceci lui montra qu'elle n'était point maléfique et le jeune homme, en avait parfaitement conscience, il savait pertinemment ce qui allait se passer d'autant plus qu'il était bien décidé à ne point se séparer d'elle parce qu'il s'y était attaché
langoureusement de cet amour naissant dont il révéla à travers ses prunelles, et c'est ainsi qu'il se retrouva en train de s'embrasser, où ils accompagnait d'un langoureux désir qui n'en finissait plus, tel un instant qui était ...

Elle allait le savoir dans l'instant qui suivait. Elle était heureuse que ce dernier ait répondu à son attente, à son désir, ôtant, ainsi de sa tête, tous ses idées noirs qui l’obscurcissaient l'esprit à cause de sa méfiance constante envers les hommes et elle avait vécu dans une atroce déception lointaine dont elle n'était pas prête d'oublier donc en restant sur ses gardes, elle lui posa la fâcheuse question qui était la suivante "Me promets-tu de ne pas me quitter ?", c'est alors que le jeune homme la fixa, de ses intenses prunelles pour lui répondre :"Bien sûr" pourtant il se demandait, si la sincérité de ses paroles, pouvaient la rassurer puisque c'était la pure vérité puisqu'il l'aimait,tellement car il ne pourra point la blesser, c'était pourquoi, il ferait tout pour elle, comme un servant du Diable, afin d'être à son humble service et de la protéger de tout son âme, comme la prunelle de ses yeux, tellement il redoutait de se la faire ravir par la Mort, qui attendait leur moment funeste car elle patientait, l'air ennuyée, accompagné de sa douce faux ainsi que ses prunelles rougeoyantes d'un pure brasier de s'emparer de cette douce et tendre femme, mais, le misérable humain s'empêcha de faire son travail qui ne se passait point comme prévu, car au - delà du temps, au plus profond des ténèbres, on pouvait, déjà, ouïr ses vices macabres ainsi que ses rires qui tournent, tournent, sans plus rien retenir comme le temps qui tente de nous saisir afin de nous intéresser, à ce monde qui ne nous intéresse point car cela lui suffisait vu qu'elle possédait déjà tout ainsi que la vie qu'elle avait tant désiré et qui lui semblait irréelle car les envies d'une fameuse illusion lui permit une chose qu'elle a tant désiré puisque ceci lui montra qu'elle n'était point maléfique et le jeune homme, en avait parfaitement conscience, il savait pertinemment ce qui allait se passer d'autant plus qu'il était bien décidé à ne point se séparer d'elle parce qu'il s'y était attaché
langoureusement de cet amour naissant dont il révéla à travers ses prunelles, et c'est ainsi qu'il se retrouva en train de s'embrasser, où ils accompagnait d'un langoureux désir qui n'en finissait plus, tel un instant qui était voué a duré pour l'éternité sans pour autant connaître la raison de départ de son amant de jeunesse, d'un jardin secret dont .....

Elle allait le savoir dans l'instant qui suivait. Elle était heureuse que ce dernier ait répondu à son attente, à son désir, ôtant, ainsi de sa tête, tous ses idées noirs qui l’obscurcissaient l'esprit à cause de sa méfiance constante envers les hommes et elle avait vécu dans une
atroce déception lointaine dont elle n'était pas prête d'oublier donc en restant sur ses gardes, elle lui posa la fâcheuse question qui était la
suivante "Me promets-tu de ne pas me quitter ?", c'est alors que le jeune homme la fixa, de ses intenses prunelles pour lui répondre :"Bien
sûr" pourtant il se demandait, si la sincérité de ses paroles, pouvaient la rassurer puisque c'était la pure vérité puisqu'il l'aimait,tellement car il ne pourra point la blesser, c'était pourquoi, il ferait tout pour elle, comme un servant du Diable, afin d'être à son humble service et de la protéger de tout son âme, comme la prunelle de ses yeux, tellement il redoutait de se la faire ravir par la Mort, qui attendait leur moment funeste car elle patientait, l'air ennuyée, accompagné de sa douce faux ainsi que ses prunelles rougeoyantes d'un pure brasier de s'emparer de cette douce et tendre femme, mais, le misérable humain s'empêcha de faire son travail qui ne se passait point comme prévu, car au - delà du temps, au plus profond des ténèbres, on pouvait, déjà, ouïr ses vices macabres ainsi que ses rires qui tournent, tournent, sans plus rien retenir comme le temps qui tente de nous saisir afin de nous intéresser, à ce monde qui ne nous intéresse point car cela lui suffisait vu qu'elle possédait déjà tout ainsi que la vie qu'elle avait tant désiré et qui lui semblait irréelle car les envies d'une fameuse illusion lui permit une chose qu'elle a tant désiré puisque ceci lui montra qu'elle n'était point maléfique et le jeune homme, en avait parfaitement conscience, il savait pertinemment ce qui allait se passer d'autant plus qu'il était bien décidé à ne point se séparer d'elle parce qu'il s'y était attaché langoureusement de cet amour naissant dont il révéla à travers ses prunelles, et c'est ainsi qu'il se retrouva en train de s'embrasser, où ils accompagnait d'un langoureux désir qui n'en finissait plus, tel un instant qui était voué a duré pour l'éternité sans pour autant connaître la raison de départ de son amant de jeunesse, d'un jardin secret dont je n'ignorais pourtant point l'existence car elle me rappela des souvenirs d'enfance ...

Elle allait le savoir dans l'instant qui suivait. Elle était heureuse
que ce dernier ait répondu à son attente, à son désir, ôtant, ainsi de
sa tête, tous ses idées noirs qui l’obscurcissaient l'esprit à cause de
sa méfiance constante envers les hommes et elle avait vécu dans une atroce
déception lointaine dont elle n'était pas prête d'oublier donc en
restant sur ses gardes, elle lui posa la fâcheuse question qui était la suivante "Me promets-tu de ne pas me quitter ?", c'est alors que le
jeune homme la fixa, de ses intenses prunelles pour lui répondre :"Bien sûr"
pourtant il se demandait, si la sincérité de ses paroles, pouvaient la
rassurer puisque c'était la pure vérité puisqu'il l'aimait,tellement car
il ne pourra point la blesser, c'était pourquoi, il ferait tout pour
elle, comme un servant du Diable, afin d'être à son humble service et
de la protéger de tout son âme, comme la prunelle de ses yeux, tellement
il redoutait de se la faire ravir par la Mort, qui attendait leur
moment funeste car elle patientait, l'air ennuyée, accompagné de sa
douce faux ainsi que ses prunelles rougeoyantes d'un pure brasier de
s'emparer de cette douce et tendre femme, mais, le misérable humain
s'empêcha de faire son travail qui ne se passait point comme prévu, car
au - delà du temps, au plus profond des ténèbres, on pouvait, déjà, ouïr
ses vices macabres ainsi que ses rires qui tournent, tournent, sans
plus rien retenir comme le temps qui tente de nous saisir afin de nous
intéresser, à ce monde qui ne nous intéresse point car cela lui
suffisait vu qu'elle possédait déjà tout ainsi que la vie qu'elle avait
tant désiré et qui lui semblait irréelle car les envies d'une fameuse
illusion lui permit une chose qu'elle a tant désiré puisque ceci lui
montra qu'elle n'était point maléfique et le jeune homme, en avait
parfaitement conscience, il savait pertinemment ce qui allait se passer
d'autant plus qu'il était bien décidé à ne point se séparer d'elle parce
qu'il s'y était attaché langoureusement de cet amour naissant dont il
révéla à travers ses prunelles, et c'est ainsi qu'il se retrouva en
train de s'embrasser, où ils accompagnait d'un langoureux désir qui n'en
finissait plus, tel un instant qui était voué a duré pour l'éternité
sans pour autant connaître la raison de départ de son amant de jeunesse,
d'un jardin secret dont je n'ignorais pourtant point l'existence car elle me rappela des souvenirs d'enfance car elle était d'une douceur lointaine ...