Je marchais dans la rue, arborant fièrement mon bouclier accroché à mon bras, mon arc. Il commençait à se faire tard, je regardais le coucher de soleil, lorsqu'un groupe de soldat m'interpella pour me dire :
-Monsieur, dans les prochaines minutes, toutes les personnes étant dehors seront considérés comme mendiant et sera immédiatement conduit à la caserne pour rentrer dans une cellule.
-Par où est la porte de la cité s'il vous plait ? Demandais-je poliment
-La porte de la cité est fermé depuis bientôt plus d'une heure. Me répondit sèchement le soldat.
-Ou vais-je dormir moi ?
-Dans une auberge monsieur.
-Une quoi ? Excusez-moi, mais pour tout centaure qui se respecte, on dort à la belle étoile.
-Et bien là, vous devrez trouver une auberge, un lieu pour dormir. Et si vous voulez mon avis, elles sont toutes complètessauf celle au fond de la rue à droite.
Je me dirigeai la ou les soldats m'avais conseillé. La ruelle était sombre, sale. Je repérai l'auberge qu'avais parlé les guerriers. La façade était noircie par la poussière ambiante. Je poussai la porte et l'aubergiste ce jeta à mes pates.
-Dieu soit loué. Dis celui-ci. Enfin un client.
- Lâchez-moi monsieur. Fis-je gêner.
-Désolé. Déclara celui-ci en se relevant.
J'inspectai la pièce. Le sol était en bois de sapin, cirer, les murs étaient propres. Le contraste entre l'intérieur et l'extérieur était impressionnant. L'extérieur étais sale, miteux, l'intérieur lui étais propre, riche.
-Pourquoi n'y a-t-il personne ? Demandais-je.
-Des rats énormes ont envahie ma cave, dont un rat mi homme mi rat. Si vous arrivez à m'en débarrasser, je vous offretoute vos nuits ici.
Je regardai ma bourse ou s'accumulais que 8 pièces d'or, puis l'aubergiste avant de déclarer :
-Je n'ai pas le choix de toute façon.
L'aubergiste m'amena à la porte qui menait à la cave.
-C'est ici.
Je descendis. Une fois en bas, je vis uniquement l’homme rat. Je lui sommai
-Sortez immédiatement d’ici
J’eu pour seul réponse l’attaque du rat que je repoussai vivement du bouclier.
J’encochai une flèche, et tendis mon arc.