Les cavernes de Spelunca abritent une cité portuaire de renom à Dùralas où loups garous et vampires se mettent des bâtons dans les roues. Pour cause la présence de leur demeure sainte dans la même région et les quelques différences qui existent entre eux. Les uns disent que les autres n'ont pas leur place ici à cause de la forte humidité toujours présente en ces lieux, et les autres disent la même chose pour les uns. Quoiqu'il en soit, Spelunca est une ville d'humains et ces derniers ne peuvent plus supporter les conflits incessants et surtout sanguinaires qui peuvent les mettre en péril. Les vampires ne sont pas vraiment dignes de confiance, ils accueillent un humain (la plupart du temps féminin) dans leurs logements et se nourrissent de son sang ou alors ils en font un des leurs. Les loups garous ne sont pas mieux, chassés des campagnes à cause de leur appétit lié au bétail, ils sont bien obligés de trouver de quoi nourrir leur transformation, et quand ce n'est pas les vampires, ce sont les humains qui y passent. Alors, le conseil de Spelunca regroupant quatre marchands extrêmement puissants et deux commandants de flottes, décida de chasser ces "monstres" de leur cité ou de se plier aux exigences politiques de la ville : aucunes victimes humaines, vampires et loups garous et aucun acte de brutalité. Beaucoup sont partis, les autres ont mis genou à terre face aux contraintes liés à leur race.
Pourquoi Cid Cross se retrouve-t-il ici ? Il veut prouver la puissance de sa nouvelle acquisition d'arme sur un ou des adversaires valeureux, et il a entendu dire qu'une chasse aux lycanthropes et suceurs de sang était ouverte à cause de certains agissements hors-la-loi...

Dans un noirâtre espace, absorbant d'idéaux noircis et tentant de corrompre l'esprit de Misaki pareil à un poison, des tâches d'hémoglobines surgissent dans sa tête. Ce fut seulement, lorsqu'elle ouvrit ses paupières qu'elle s'aperçut qu'elle lévitait dans un sinistre lieu, comparable au profondeur du ciel diurne. En dessous de celle – ci , se trouvaient des eaux de couleur ébène, qu'on aurait cru, au premier abord, être une étendue ombrageuse, remplis de désires malsains aussi ardent qu'un brasier des Enfers. Elle descendit de son perchoir invisible et fit apparaître un sourire sur ses lèvres dont elle accentua avec ses traits angelus de parfaite jeune femme. Soudain, d'autres hallucinations apparurent, la submergeant de ses violentes et sanguinaires émotions. Elle vit la scène charnière qui la ramena en arrière, dans un château dominant, où la lune était reine. Misaki secoua la tête comprenant qu'elle s'engouffrait dans une dimension irréelle, remplis de sentiments pesants et insurmontables. D'ailleurs, des larmes s'écoulaient le long de ses joues. Tout ce qu'elle désirait en ce moment de solitude, était de revenir dans le monde de la surface. C'est alors que des atroces douleurs l'envahirent pendant que les eaux noirâtres montèrent ,de plus en plus, afin de l'engloutirent entièrement.

La jeune femme toussota et regarda autours d'elle. Elle se trouvait dans une cavité naturelle où les teintes azurs des eaux reflétaient. Elle tenta de se relever lorsque un mal prédominant l'engourdit lui rappelant ses profondes blessures.

Nom de Dieu ! Dit elle en haussant le ton, qu'on aurait pu le considérer comme une injure, pourvu qu'il n'est point d'individu aussi ténébreuses et macabres dans les environs.

A peine qu'elle prononçait ses paroles qu'un bruit de pas se fit ouïr dans toute l'espace. Prit par un instinct de survit, elle saisit le couteau de cuisine qu'elle avait fauché pendant la guerre des montagnes de Baldor, ne savant guère combien de jours, elle avait succombé au profondeur des ténèbres, mais elle était toujours prête à combattre l'ennemi, à tout moment.

« Je ne sais guère qui vous êtes, déclara t – elle d'une voix remplis de véhémence et en brandissant son arme en direction des pas. Mais, tout ce que je souhaite, c'est de savoir qui est mon adversaire avant de combattre, si besoin est.»

Des cavernes immenses inexplorées dans une obscurité complète avec la présence d'un air humidifié, voilà ce qu'était les Cavernes de Seplunca. Cid avait entendu parler que les humains essayaient en vain d'explorer les cavernes entières, il y a beaucoup trop de danger dans ces grottes. Et rajoutez à ceci les vampires et les loups-garous qui veulent se nourrir, ce lieu n'est plus ce qu'il était. Plusieurs habitants de Spelunca remettent en cause la présence de ces monstres utilisant des formes humaines, ils les veulent soit mort, soit ailleurs.
Le barbare se fichait de leur avis et de ce qu'il pourrait leur arriver, la seule chose qui comptait pour lui c'était de taper sur quelque chose et en faire un hachis de veau.
Il déambula dans les cavernes tout en restant très proche de l'eau dont sa couleur bleu givré se reportait su les parois onduleuses et dangereuse des grottes. Des gouttes d'au tombaient à intervalle régulier brisant alors le silence presque immortel. Cid marchait, il ne faisait pas attention à de tels détails. Lui, il s'attachait aux mouvements et bruits représentatifs de danger que pouvaient faire de potentiels ennemis. Puis, alors que plus aucune goutte ne se laissait tomber dans les bras amoureux des espaces aqueux ne voulant qu'union, une personne parla. Elle semblait interroger Cid, mais comme il n'en était pas sûr, il continua à avancer droit devant lui et par coïncidence vers l'endroit sombre où se trouvait l'interlocutrice, oui car d'après son timbre il s'agissait d'une femme plutôt fine, et à mesure que le barbare s'approchait, il décela une silhouette féminine de petite taille éclairée d'un côté par l'obscurité et de l'autre côté par la teinte givrée du bleu de ces espaces d'eau dont on parlait précédemment.
Le nordique remarqua, tout en s'approchant, que la femme empoignait un couteau de mauvaise qualité, sûrement le couteau d'un cuisinier banal. Cid n'avait aucune crainte à se faire de cette demoiselle, vu sa force, son poids et sa taille, il n'aurait aucune difficulté à empêcher cette brindille de le toucher.
Il finit par s'arrêter devant elle et lui répondit avec beaucoup de retard certes :

- Cid Cross ! Barbare et protecteur des terres du nord ! Je n'ai rien contre vous, mais si vous souhaitez m'attaquer, je vous lancerai sans peine dans ce bassin comme un enfant qu'on lance dans le lac pour le laver !

Sa question suspendait dans les airs, laissant le son des pas raisonnaient, comme une ténébreuse mélodie, prenant échos sur les roches de la cavité minérale. Irritée par son manque de réponse, Misaki s'approcha de la silhouette qui se détachait de la pénombre. Celle – ci était grande, svelte, parfait pour un combattant. Et oui, un combattant, pour rien arrangé à sa massacrante humeur vénéneuse. La jeune femme le toisa de toute sa hauteur lorsque l'individu commençait à l'examiner comme si elle n'était rien.

« Mon grand, on ne t'a jamais enseigné de te méfier des apparences ? » Se posa t – elle en elle – même afin que l'étranger ne puisse l'ouïr.

Suite à cette pensée, le mystérieux jeune homme se révéla être un barbare et un protecteur du nord, au nom de Cid Cross. Jusque là, Misaki, allait, peut – être, faire un effort sur sa empoisonneuse haine envers la gente masculine. Cependant, ce dernier eut le malheur de lui annoncer que si elle l'attaquait, il la lancerait comme un vulgaire enfant, dans le lac qui se situait à leur proximité. C'est alors que la jeune humaine lui gratifia un rictus qui renfermait une grande volonté embellie par un accent d'arrogance. Mais, pour qu'il se prenait pour la juger de la sorte ? Gardant son expression glaciale aussi indomptable que la neige dont elle accentua par un menaçant regard, elle déclara d'un timbre lugubre, à vous glacer le sang :

« Je me prénomme Misaki Ayuzawa, ex – domestique royale, au grade d'Orine et rescapée d'une longue et sinistre guerre, opposant les vampires, les chevaliers blancs et les loups – garous contre d'autres congénères de ses espèces qui refusaient l'alliance de paix postuler par l'ex roi des montagne de Baldor. Par contre, ajouta t – elle en redressant la lame près de ses lèvres et la caressant pareille à un amant, avec ses doigts lutines, j'aimerai savoir où je me trouve et depuis combien de temps cette guerre s'est terminée. Si tu en n'as aucune idée, je ne vois guère l'intérêt que je dois te porter, surtout à un homme qui ne sait que juger sur les apparences.»

Attendant, néanmoins, la réponse à sa requête, simple, soit elle, Misaki s'adossa sur le mur tandis que ses prunelles noisettes surveillaient, telle un rapace, ses moindres faits et gestes car on lui avait enseigné que si un individu insinue qu'il ne te blessera ou ne tuera point, il faut toujours rester sur ses gardes et c'est ce qu'elle fit.

Le jeune femme se présenta et lui demanda si une certaines guerre entre vampires, loups-garous et chevaliers blancs était terminée et où elle se trouvait en ce moment même - la jeune femme, pas la guerre. Suite à sa demande, elle s'adossa sur un mur attendant la réponse.
Cid la regarda fixement puis lui répondit :

- Ah... Elle parle beaucoup elle.

L'homme du nord ferma les yeux, pressa ses doigts sur ses paupières et respira un bon coup. Il fit glisser son pouce et son index du long de son nez et le pressa légèrement et rapidement avant d'ouvrir les yeux et de placer sa main de nouveau contre sa jambe. L'humaine était encore là, impatiente sûrement d'obtenir sa réponse. Le Nordique soupira et décida de lui donner les réponses à ses questions :

- Vous êtes dans les cavernes de Spelunca et je n'ai jamais entendu parler de votre guerre qui de toute évidence ne frappe pas mon territoire ! (Il fit une pause et continua) Si mon cas ne vous intéresse pas alors je vais m'en aller pour effectuer mon travail !



[HS : Sorry pour le temps alloué à cette réponse, pas évident de trouver du temps libre et la force d'écrire quelque chose]

Pendant de longues secondes, son interlocuteur prit une expression arrogante dont il l'accentua par de brefs propos haineuses dont il eut le malheur de lui en faire part. Soudain, un noeud se fonda à l'intérieur de son estomac, sans connaître la raison. Est – ce le fait que ses paroles corrompues commence à l'infecter ? Non, elle n'y songeait guère. C'est alors qu'elle surveilla chacun de ses mouvements, comme une vipère, guettant sa proie. L'atmosphère devint, quant à elle, silencieuse, du à l'absence de conversation, mais elle était, également pesante puisque le poids de son regard se firent, nettement, comprendre. Elle ne quittera guère ses lieux, sans posséder de réponses convaincantes. C'est à ce moment précis, que le barbare lui déclara, enfin, qu'elle se trouvait dans une cavité rocheuse se prénommant Spelunca, qu'il n'avait point ouïr les rumeurs concernant la guerre qu'elle avait évoqué et qu'il se trouvait en cet endroit dans le seul but d'effectuer sa profession. Mais quel métier pourrait obtenir un individu de la sorte ? Alors, succombant à une curieuse émotion, elle lui demanda, d'un timbre impassible, malgré son effort à contenir sa empoisonneuse haine, envers la gente masculine :

« Messire, débuta elle, sans désirer d'autres foudres de votre furieuse arrogance dans vos propos, je voulais savoir qu'elle type de profession aviez – vous, malgré mes doutes ? Car, s'il se trouve que les évènements se gâtent, j'aimerai participer à ses folies sanguinaires qu'elle pourrait réserver. Ainsi nous pourrions discuter et faire humblement connaissance. »

C'était un miraculeux effort venant de sa part. Maintenant, il restait à savoir comment Cid allait réagir, face à cette proposition. En attendant, elle affûta son poignard, avec une agilité dont elle accentua, avec un ardent désire de pouvoir l'utiliser.

Le barbare se préparait à s'en aller, il avait d'autres choses plus importantes à faire que de s'occuper d'une jeune femme comme elle. Puis elle lui demanda - avec un peu de difficulté - quelle profession il exerçait. Puis elle parla de « faire humblement connaissance » ce qui ne plaisait guère au Nordique. En effet s'il doit faire connaissance avec quelqu'un, se serait avec un maître d'armes et des combats tout comme il l'est. Mais il lui répondit tout de même en prenant soin de lui montrer que seuls les forts sont intéressants pour lui.

- Je suis ici pour m'occuper d'éliminer des loups-garous et des vampires dangereux. Et je ne fais connaissance qu'avec des hommes de ma carrure, les faibles peuvent se siroter un jus de fruit. Ce n'est pas grâce aux faibles que ces régions tiennent encore debout ! Alors si vous voulez bien m'escuser, j'ai un travail important à faire et je ne laisserai pas une femme à carrure si ridicule me retarder plus longtemps !

Puis, il se tourna vers la gauche et commença à marcher tout en ignorant l'humaine dont il n'en avait que faire.

Mais, lorsque Misaki leva la tête afin d'être en mesure de faire face à son interlocuteur, elle aperçut, à travers ses prunelles, une arrogance vénéneuse. Serait – il entrain de la juger, au niveau de sa carrure ou est – ce le fait qu'elle soit une femme et qu'elle se révèlerait être un lourd fardeau pour ses frêles épaules ? C'est alors, qu'elle succomba à de futiles idéaux noirâtres qui lui fit submerger sa empoisonneuse haine fulgurante. Prenant une vague à âme, la jeune humaine ouït la puissance du timbre austère du barbare dont il eut le malheur de lui annoncer que c'était un ténébreux chasseur de créatures nocturnes, ce qui lui gratifiait un rictus sur les lèvres de la Maid, suivit d'une ravageuse hargne qui s'accentua lorsque ce dernier lui déclara qu'elle n'était qu'une faible, avant de pivoter sur ses talons pour lui indiquer, qu'effectivement, il en avait cure. Tout à coup, une montée furieuse d'une irritation agressive l'envahit, faisant trembler ses mains qui resserrait son étreinte sur sa meurtrière lame. Après, vous lui demanderiez pourquoi elle hait les hommes ! Tête baissée, ayant une lugubre démarche, elle agrippa, avec une grande violence, son poignet afin de le planquer contre la cavité minérale dont elle plaça, par la suite, son arme, sous sa gorge. Ce fut, seulement, lorsqu'elle était satisfaite de son acte, qu'elle leva ses flamboyantes prunelles d'un épouvantable brasier que même la profondeur des lieux ne pouvait dissimuler. Accompagné d'un obscure sourire diabolique, elle lui lança :

« Il faudrait que vous appreniez à tourner, sept fois votre langue, dans votre bouche, mon chère seigneur, car l'habit ne fait point le moine.»

Mais l'humaine n'en resta pas là. Il faut dire que le barbare l'avait sûrement très offensée. En effet elle lui indiqua qu'il ferait mieux de tourner sept fois sa langue dans sa bouche et que l'habit de faisait pas le moine, bref des propos complètement incompréhensibles va-t-on dire.
Le nordique s'arrêta et soupira. Oh c'était sûrement ce que la jeune femme souhaitait mais pour l'humain, ceci n'avait aucune importance. Mais il ne devait pas s'attarder sur cette femme si insignifiante. Il pivota légèrement la tête vers le droite, respira un bon coup puis se tourna face à la femme.
Finissons-en !

- Je ne suis pas seigneur, juste protecteur alors arrêtez de m'appeler de la sorte. Savez-vous au moins ce qu'on peut trouver dans les terres de l'extrême nord ? Là ou le soleil ne fait surface que quatre mois avant de laisser l'obscurité s'accaparer de toutes terres ; là où à chaque moment vous risquez de mourir dans d'atroces souffrances soit par les sauvageons qui y ont été repoussé il y a des années soit par toutes sortes de créatures glaciales qui vous ne pouvez imaginer ; là où la frontière entre le continent paisible de Dùralas et les territoires de sombres démons ne fait qu'être modifié chaque jour par de multiples morts ; là où le froid mordant qui y réside ne vous glace ni le sang, ni les os mais l'âme jusqu'au plus profond de votre cœur et vous corrompt à servir inlassablement un démon ; là où mes ancêtres et mon peuple ne font que se battre jours après jours afin de garantir une paix dans votre continent ; là... où... vous ne tiendriez même pas... une seule petite... heure !

Le barbare la fixa puis se retourna et continua à marcher.

Instantanément, dans un brusque mouvement, Cid se détacha de la jeune femme, accompagné d'une ignorance porté sur l'arme qu'elle avait placé à son cou, mais, également, d'une arrogance, aussi dure que le fer, vint étinceler ce regard d'une volonté méprisante pour les faibles. Ce qui lui indiqua que pour lui, la jeune Maid, n'était qu'une chose inoffensive qu'on qualifierait de fragile. En effet, puisque le barbare pivota, légèrement, sa tête vers elle et lui lança un regard qui signifiait : Finissons-en ! De plus, ce dernier lui narra un résumé de son histoire qui lui bourdonna à l'intérieur de ses oreilles, ne parvenant, bizarrement que par bride car Misaki ne distinguait que des groupes de mots comme : là... où... vous ne tiendriez même pas... une seule petite... heure ! Ses menaçants propos comparable à ses vénéneuses prunelles représentaient les dernières gouttes d'eau qui firent déborder le vase de son self – contrôle. Son expression se glaçait devenant, de plus en plus, noire voire malfaisante et démoniaque, tout en plus que ses furieux mouvements de hargnes lorsqu'elle se précipita sur lui et le plaqua sur le sol de manière à ce qui s'effondre à plat ventre . Une fois l'acte produite, elle s'installa sur lui, lui croisa les mains derrière son dos et de son autre membre valide, la jeune femme lui plaça, de nouveau, son arme sur sa gorge.

« Je vous lance un défi, ici et maintenant ! Déclara – t – elle, avec un un timbre de détermination implacable, car je me placerai guère au même niveau que vous car j'ai remarqué votre incompréhension, voire votre ignorance, lors que ma réplique promulguée, auparavant. »

Le barbare entendit des pas derrière lui, mais se retourna trop tard. Le jeune femme lui fit un croche-pied qui le fit tomber sous l'effet de surprise et elle se plaça sur lui, alors qu'il était face contre terre, en le menaçant et en essayant de le tenir fermement au sol. Cid soupira, cette femme s'enflammait beaucoup trop rapidement pour rien. Il décida de ne pas bouger et de la laisser là où elle était, même s'il était quelque peu pressé. Il respira calmement et se concentra sur la respiration irrégulière de l'humaine.

- Vous venez de démontrer une des raisons qui vous tuera en quelques secondes là-bas.

Le protecteur du Nord savait que s'il continuait à autant la provoquer elle finira par perdre toute notion de contrôle et finirait par faire n'importe quoi. Soudain il perçut des bruits de pas, très infimes comme si quelqu'un essayait d'avancer avec prudence. Vers le même endroit, il savait qu'une goutte tombait toutes les deux secondes sur une flaque, il entendait distinctement ce bruit. Il se concentra dessus. Il entendit deux ploc d'affilés puis une seconde après le dernier ploc, un très léger toc, puis trois secondes après de nouveau les ploc. La personne avait une taille tout à fait normale et était très mince. Elle devait porter des vêtements légers et soit des bottes très fines soit des morceaux de tissus pour ses pieds. En fait la personne devait sûrement être pauvre.
Une personne expulsée... Se pourrait-il que ce soit un....

La personne apparue devant eux, elle se cachait bien dans l'obscurité mais Cid réussi à percevoir sa couleur assez pâle.

- Un vampire ! Et il n'est pas là pour discuter !

Suite à ses mots, le vampire montra ses dents aiguisées et se rua sur les humains. Cid eut tout juste le temps de se retourner, de plaquer Misaki contre lui et de rouler plusieurs fois sur le côté gauche afin d'esquiver l'attaque de leur ennemi. Il se retrouva au-dessus de l'humaine et se releva sans lui prêter trop d'attention. Il voulu prendre sa hache et trouva qu'il était inutile de l'utiliser face à un ennemi aussi rapide malgré son maniement exceptionnel. Qu'à cela ne tienne ! Il se servirait de ses poings, il avait déjà réussi à déboiter la mâchoire d'un grizzli givré et de le tuer sur le coup. Alors c'était pas ce petit bout de bois de suceur de sang qui allait lui poser problème.

- Je vais t'envoyer au cimetière des moustiques dents rouillées !

Suite à ses menaçants propos qu'elle avait promulgué, quelques secondes plus tôt, Misaki sentit le las souffle du barbare lui effleurer sa peau. Ce qui lui indiquait que celui – ci allait, surement, répliquer ou lui faire part de son opinion sur sa hargneuse haine impulsive, au lieu de répondre à sa ….. requête ! En effet, puisque ce dernier lui déclara : « Vous venez de démontrer une des raisons qui vous tuera en quelques secondes là-bas. » La cause pour laquelle il avait annoncé ses ironiques paroles ainsi que le déclenchement d'un rictus sur les lèvres de la jeune Maid, était le phénomène étrange de la sonorité des gouttes car celles - ci s'égouttaient, de manière anormale, sur l'étendue de la cavité minérale. Ce n'était point parce qu'elle avait succombé à ses pulsions meurtrières qu'elle n'avait guère constater le curieux rythme élémentaire. C'est alors, que la jeune mortelle se redressa, faisant face, à une lugubre silhouette dont sa gracieuse démarche ( limite en lévitation ) surgit à l'intérieur. Elle se dissimula, avec les ombres des lieux, aussi vite, qu'elle le pouvait, afin d'être capable de masquer sa véritable nature, c'est – à – dire, un vampire. Puis, le dénommé Cid prononça des paroles qu'elle ne put comprendre car celui – ci pivota dans sa direction, la plaqua sur le sol en l'entraînant dans d'innombrables roulades qu'il semblait infini, se retrouvant, à la fin, au dessus de la jeune humaine dont il se releva, sans lui prêter la moindre attention. Pour une fois, Misaki pouvait lui gratifiait un point concernant cet acte mais, ceci en restait là. Par ailleurs, le sanguinaire s'élança sur son ennemi, en lançant, avec un timbre rauque : « Je vais t'envoyer au cimetière des moustiques dents rouillées ! » Ce qui allait débuter les hostilités. Désirant y participer, Misaki ramassa le poignard qu'elle avait lâché, lorsque le barbare l'avait « sauvé » des attaques vampiriques, avant de se précipiter, à son tours, vers leur adversaire commun. Cependant, il se révéla qu'il n'était point le seul à ce planquer dans cette sinistre caverne puisque d'autres goules vinrent se joindre, également, au combat, comme s'il les avait prévenu par message télépathique. Ce qui ne l'arrêtait point dans sa détermination. D'ailleurs, elle s'en fichait, royalement, si Cid lui reprochait, quoique ce soit, abordant ce sujet.

Les joueurs attaquent en premier

Cid Cross : 225
Dégâts : 318

Misaki Ayuzawa : 115
Dégâts : 50


Ennemis :

Maître vampire : 400
Dégâts : 60

Goule A : 30
Dégâts : 15

Goule B : 30
Dégâts : 15

Goule C : 30
Dégâts : 15

Le Maître Vampire utilise le dé vampire en comptant les coups critiques comme des coups normaux.

Rappel : Merci de préciser à la fin de votre message qui vous attaquez entre crochets [ et ].

Poussé par une ignorance de commentaire envers son partenaire de combat ainsi que par une volonté à toute épreuve, Misaki bondissait vers le Maître vampire puisqu'elle avait déduit que ce dernier était le meneur de cette horde. Du moins si on pouvait la qualifier de la sorte. Hélas, l'un de ses protecteurs, dont il a fait appelle, ( la goule A ) vint la percuter dans sa côte gauche, l'entraînant, ainsi, contre la sinistre cavité minérale. C'est alors qu'elle accompagna sa douce douleur, comparable à une resplendissante caresse, un obscure sourire, avant de plonger dans les étincelantes prunelles sanguinaires de son adversaire profitant, ainsi, de cette instant pour faire usage de sa finesse afin d'être capable de passer ses petites menottes, entre elle et la créature vampirique. Puis, une fois l'acte produit, la jeune mortelle lui planta son poignard dans son sternum.

Misaki Ayuzawa a effectué 1 lancé(s) d'un Attaque - Humain :

Hs :

Spoiler: