Découverte de Ninalys dans la clairière des centaures [RP avec Ninalys]

Notre premier baiser fut aussi doux que le miel des abeilles. Passionné mais délicat. Lorsque ses lèvres se posèrent sur les miennes, un frisson parcourut tout mon corps. Je lui rendis son baiser. Le mien fut plus violent que le sien, avide ma bouche était de la sienne. Je sentis Dryusdan s'abandonnait à notre étreinte. Il finit quand même par me repousser délicatement. Il me scruta comme s'il voulait graver le moindre détails de mon corps dans son esprit. Puis, il m'entraina vers une cabane dans la forêt. Il semblait connaitre parfaitement les lieux. Nous entrâmes dans la maisonnette...

J'écarta Ninalys délicatement de mon torse. J'admira son extrême beauté qui me parus irréel, je gravai dans ma mémoire son visage, puis je descendit. Chaque détails de son corps ne m'échappais. Une fois cette délicieuse tache fini, je rammena mon regard dans le sien, comme si je voulais lui poser une question invisible. Ninalys ne répondit pas, certainement n'ayant pas vu cette question. Je pris donc l'initiative de l'emmener dans un endroit plus intime et qui la mettrait à l'abris de la nuit. On enjamba le ruisseau et traversa la clairière. La lune s'éleva dans le ciel. Je traversa une partit de la forêt, je ne savais pas ou j'allais, mais mon instinct m'y poussait. Je vis une cabane, elle semblait vide mais encore en bonne état. On entra dans cette abris qui étais plus spacieux à l'intérieur. Je vis une bougie poser sur la table, j'allais l'allumer. La flamme dansante créa une ambiance feutrer. Je déposa mes mains délicatement au dessus de ses reins pour l'amener vers moi. Je l'embrassa, plus passionnément que la première fois, plus fougueuse aussi. Mon coeur battait à la chamade, mais pas par la timidité cette fois si. Mes mains allèrent de ses reins jusqu'à ses épaules, et firent ce chemin plusieurs fois. Je l'embrassai, de plus en plus passionnément, tandis que la chaleur de mon corps augmentait peu à peu.

Dryusdan m'embrassa avec passion. Et je
m'abandonnai à ce baiser plus fougueux qu'un mustang. La bougie faisait
danser les ombres sur son visage magnifique. Soudain, je sentis ses
mains parcourir mon dos et un frisson de plaisir courut le long de mon
échine. Je ne connaissais pas cette sensation étrange qui m'envahissait
peu à peu. Contre ma poitrine, je sentis son coeur battre la chamade
avant de me rendre compte que le mien faisait de même. Alors, je me
laissais faire. Le centaure me serra davantage contre lui et je lui
rendis son étreinte avec autant de force que me le permirent mes faibles
bras. Nous cessâmes de nous embrasser mais ce ne fut que pour mieux
plonger notre regard dans celui qui nous faisait face. Je sus à cet
instant que je ne mettais pas trompée en le sauvant de la mort. Je me
mis sur la pointe des pieds et lui murmurai délicatement à l'oreille :
-Je t'aime Dryusdan...

Lorsque Ninalys atteint mon oreille droite avec sa bouche, et que ses
douces lèvre toucha le lobe, je découvrit une parcelle de plus de ce
sentiment appeler amour. Mais quand elle me dis ces deux mots: "Je
t'aime"que j'eu l'impression qu'une explosion venais de se produire dans
mon frêle coeur. Une explosion d'un sentiment qui est impossible à
décrire quand on ne sais ce que c'est. Je sais juste que la base, de
cette explosion, est de l'amour. Je ressentais un amour fou pour cette
personne que je connais depuis quelque heure à peine et qui a failli me
tuer. Je ne pourrais la perdre, il me serai impossible de vivre sans
elle. Je la voulais. Je la désirais même. Elle commenca à enlever sa
bouche de mon oreille. Ninalys descendit à peine sa bouche que je
précipitais la mienne à l'encontre de son cou. J'embrassais son cou,
puis je remonta jusqu'au lobe de son oreille avant de descendre vers sa
joue pour finir sur sa délicieuse bouche. Je l'embrassais,
amoureusement. Mes mains, encore sur ses reins, descendit pour se
positionner sur ses fesses. Je la souleva tel quel pour que son visage
angélique sois en face du mien. Ninalys enroula ses deux jambes autour
de mon torse et nous nous embrassames avec plus de fougue. Après de
longue minute à l'embrasser, je la déposa délicatement sur la table,
telle un bibelot fragile. Tout en embrassant Ninalys, mes mains
remontèrent jusqu'à ses épaules, déjà légèrement vétu, et firent
descendre ses deux bretelles dénudant ainsi le haut de son corps.
Soudain,la
porte s'ouvrit et un vampire fis irruption dans la pièce. Je couvris
aussitôt le corps de Ninalys de mon torse pour qu'elle puisse se
revetir.
-Que faites vous chez moi? demanda le noveau venu.
-Un homme de votre allure ne dors pas dans un endroit aussi miteux? Essayai-je de le flatter.
-Ceci
est mon habitat, que cela vous plaises ou non. Et comme vous y avez la
nuit, vous devez payer un tribut. Je veux la fille. Fit-il en se léchant
les babines.
Je bondis sur ma hache et me mit en position de
défense. Pas question cette fois ci d'avoir un mot dis alors que je ne
le penserais pas.

-Que faites vous chez moi? demanda le nouveau venu.
-Un homme de votre allure ne dors pas dans un endroit aussi miteux? essayai-je de le flatter.
-Ceci est mon habitat, que cela vous plaises ou non. Et comme vous y avez passé la nuit, vous devez payer un tribut. Je veux la fille. fit-il en se léchant
les babines.
J'eus le temps d'apercevoir ses canines étincelantes à la lueur de la bougie. Je frissonnai, de peur cette fois-ci. Mais bientôt, Dryusdan se plaça entre moi et notre agresseur. Ma nature me poussa à négocier avec le vampire avant de le combattre. Je m'avançai donc et lui demandai :
-Pourquoi me vouloir moi alors qu'il doit posséder bien plus de sang que moi ?
-C'est parce que je veux jouer avec toi avant de te tuer, me lança-t-il.
Je lui proposai que nous partions pour ne jamais revenir et en échange, il pourrait faire appel à moi s'il venait à avoir des soucis. Il hésita et, le voyant ainsi, je lui demandai si un animal pourrait le sustenter pour cette nuit. Il me répondit qu'il ferait avec. Je sortis donc de la cabane et cherchai le terrier de lapins qui se trouvait au pied d'un chêne. Je revins quelques instants plus tard avec l'habitant du terrier et l'offris au vampire. Celui-ci l'accepta et nous laissa partir...

Nous sortames de la cabane, j'étais encore éberlués par Ninalys, comment avais t'elle réussi à convaincre le vampire alors qu'aucun humain aurais réussi, c'était complètement insensé, irresponsable. N'importe quel vampire l'aurais trucidé sur place pour avoir proposé un animal plutôt que son sang. J'étais complètement ébahi. Mon admiration pour la stryge augmenta, une explosion d'amour se produisis, on étais maintenant à quelque lieu de la cabane, le soleil ce levait, je voulais d'elle, je sais pas trop comment le décrire, mais je voulais d'elle. Je me mis à chercher sa bouche avant de l'embrasser, mes baisers étais de plus en plus insistant, fougueux, remplis d'amour et de désir. Puis cette phrase me revint
"Pourquoi me vouloir moi alors qu'il doit posséder bien plus de sang que moi ?"
Choqué aussi car elle m'avais proposé à cette créature, choqué aussi car j'aurais bien pu nous défendre, et non avoir besoin de proposer l'autre.
-Tu voulais me sacrifier? Demandais-je choqué.
Une larme roula le long de ma joue

-Tu voulais me sacrifier? me demanda-t-il, choqué.
Je vis une larme couler le long sa joue. Je m'empressai de la sécher du bout du doigt avec tendresse.
-Je n'aurai jamais pu faire ça... lui murmurai-je. Tu m'en crois capable? Je voulais juste le distraire et je savais pertinemment qu'il allait refuser... Je...
Je ne parvins pas à dire que je l'aimais plus encore je n'avais aimé Ilan. Les mots ne purent franchir la barrière de mes lèvres. J'étais une stryge blanche et exprimer mes émotion n'auraient jamais dû me poser tant de problème... Je baissais les yeux, j'avais honte de ma faiblesse. Il releva délicatement mon visage et je plongeai mon regard dans le sien. Alors je l'embrassai avec amour, avec passion.
-Je t'aime, lui chuchotai-je au creux de l'oreille.
Ca y est, je le lui avais dit. Un sourire illumina son visage et mes lèvres cherchèrent avidement les siennes. Notre baiser fut délicatement et passionnel à la fois, sauvage et doux. Je laissais tous les sentiments que j'éprouvais m'envahir.
-Je t'aime...

Elle me l'avais déjà dis, elle m'avais déjà dis qu'elle m'aimais, mais cette fois si, ces deux mots paraissaient plus profond, plus sincère. Le baiser suivant appuyais ces deux mots. Passionelles et amoureuse, ses lèvres étaient devenu une drogue pour moi, Ninalys tout entière est devenu une drogue. Il est vrai qu'elle me l'avais déjà dis, mais cette fois ci etais unique, differente, plus sincère et plus profond. Plus amoureux et plus passionnel.
Je t'aime. Me dit-elle à nouveau, comme pour s'assurer que je l'ai bien entendu et pour insister sur la demande d'une réponse.
-Je t'aime aussi. Lui dis-je le plus sincère possible.
Et mes lèvres, immanquablement, furent attiré par les siennes. Au bout de quelque minutes qui parurent des secondes pour moi, elle me repoussa et nous nous regardames longuement avant de nous étreindre. Le contact de son corps à demi dénudé me fis frissoner de plaisir, et je l'embrassa de nouveau, langoureusement cette fois. Puis je diriga ma bouche vers ses lobes d'oreilles et je lui mordilla délicatement...

Quelle sensation étrange ! Je sentis la main de Dryusdan glissait dans mon dos et se faufiler sous mon haut. Au contact de ses doigts glacés, je frissonnai. Lorsqu'il esquissa le geste d'enlever ce haut, je l'arrêtai tout de suite. Je ne voulais pas que cela se fasse ici et à cet instant. Peut être parce que j'avais peur, peur de ce qui allait se passer. Le centaure sembla comprendre ma retenue et n'insista pas, mais ses lèvres descendirent dans le creux de mon coup. Sensation divine qu'est celle de l'amour partagé, passionnel, fusionnel. Aimer et être aimer sans demie-mesure. Dryus était mon prince charmant, celui que j'avais cru apercevoir en Ilan... Ilan ! Toute à l'explosion de mes sentiments nouveaux, j'avais oublié mon premier amour... Mais à cet instant, je me demandais si je devais laisser le doux guerrier derrière moi et poursuivre des recherches que je savais vaines ou rester ici et profiter du bonheur que la vie me proposait enfin ?

Ma lèvres caressaient son cou, remonta légèrement, puis descendis jusqu’au plexus. Puis, je sentis qu’elle se posait des questions. Mes sentiments me dictèrent alors d’éclairer ses doutes, de l’aider, même si je ne devais rien comprendre. Je décidai donc d’arrêter mes actes, et de l’écouter. Je remarquai que je ne la connaissais à peine. Mais cet amour que je ressentais était bien plus fort qu’un géant de pierre. Je l’aimais, et la voir douter me faisais mal.
Je m’assis, et demanda:
-Que ce passe t’il ?
-Rien. Me répondit-elle entre deux baisers qu’elle essayait de m’arracher.
J’insistai fortement mais n’ayant eu aucune réponse de sa part, je fis une approche différente.
-Tu sais, tu peux tout me dire.
Aucune réponse.
-Si tu ne veux rien me dire, je pars. Je t’aime, et te voir douter me fais mal pour toi.
Et sur ces mots, je me leva et me dirigea vers l’orée de la forêt, la laissant là, sur place…

Il partait, il s'éloignait de moi ! Je sentis mon coeur se déchirer dans ma poitrine. Je ne savais pas et cette situation me torturait. Mais quand je le vis s'éloigner de moi, je sus qu'il était l'homme de ma vie. (Ou plutôt le centaure de ma vie...) Alors je le lui dis :
-Si tu t'en vas, sache que je n'aurai plus de raison de vivre.
Il s'arrêta aussitôt, se retourna et me regarda. Je lus dans ses yeux qui fallait que j'en dises plus, que ces mots ne suffisait pas. Alors je poursuivis :
-J'ai aimé un garçon il y a déjà de cela plusieurs années. Il fut mon premier amour et notre histoire, bien que nous étions jeunes, fut passionnelle. Nous n'avions pas de secrets, nous partagions tout. Lorsque nous étions ensemble, nous ne faisions qu'un. nous vécûmes une romance parfaite jusqu'au jour où il disparut. Un soir, je lui avais donné rendez-vous au pied des murailles de Stellaraë. Il n'en avait jamais loupé un seul. Mais ce soir-là, il ne vint pas. Je suis restée des heures entières à l'attendre. Je ne me suis rendue à l'évidence qu'au lever du soleil. anéantie, j'errai dans les rues de la cité lorsque j'ai croisé la bande de copains que nous avions. Je ne pus m'empêcher de leur demander s'il l'avait vu. Il me répondirent qu'il les avait quitter un quart d'heure avant notre rendez-vous pour aller me rejoindre. Je compris à cet instant qu'il ne m'avait pas abandonnée. Depuis ce jour, je suis partie à sa recherche. J'ai parcourus une grande partie des terres de Dùralas et je n'ai pas le moindre petit bout d'indice... Quand je t'ai vu, je l'ai oublié pendant quelques instants pour la première fois depuis trois ans... Alors je me suis demandée si je devais poursuivre mes vaines recherches ou profiter du bonheur que m'offre enfin la vie... Mais en te voyant partir, j'ai su. Je veux profiter du bonheur ! finis-je par lui hurler.
Je ne criai pas cette dernière phrase seulement pour lui, je la criai aux arbres qui nous entouraient, aux animaux qui nous épiaient et au vent qui chantait entre les feuilles des peupliers. Pendant que je lui racontais cette douloureuse période de ma vie, Dryusdan s'était approché de moi. Maintenant, il n'était qu'à quelques centimètres de moi. Ses lèvres vinrent chercher les miennes et je m'abandonnai à l'amour qu'il m'offrait. Je l'aimais plus encore que je n'avais jamais aimé Ilan. Maintenant, je le savais, j'en étais sûre...

Je vis une sorte d’explosion autour de Ninalys, quelque chose d’abstrait, on aurait dis de la fumé zébré par des trait de couleur. Quelque chose de magnifique, qui fis accroitre la beauté de la stryge blanche devant moi
« Elle ressemble à un ange »Pensée-je. Ses deux ailes luisaient, parcouru par des traits électriques. Elle ne semblait le remarquer, comme si j’étais le seul à le voir. Mon cœur bâtit à la chamade. Je ne savais pas pourquoi, bien que j’aime Ninalys plus que tout, plus que ma propre vie, la raison était plus profonde. Une vague d’amour me submergea, une vague qui n’était pas seul. Je pris alors la stryge, qui se tenais devant moi, et la déposé sur mon dos et je me mis à galopé à vive allure. Je sentais ses mains contre mon torse, son corps collé à moi. Je frissonnai de plaisir et je m’enfonçai dans la forêt, à la recherche d’un coin tranquille…

Dryusdan galopait avec légèreté et puissance. Je me collai contre son dos et pliai mes ailes du mieux que je pus. Il courut ainsi pendant un long moment. J'avais l'étrange impression que nous étions seuls au monde. Plus rien ni personne ne comptait plus que les précieux instants que nous passions ensemble.
Le centaure finit par s'arrêter dans une clairière qui m'était inconnue, étrangère. Il me posa sur le sol avec délicatesse. Enivrée par notre course folle dans la forêt, je m'empressai de déposer un baiser sur ses lèvres. Puis je me blottis contre son torse humide de sueur. Mais je m'en fichais. Il était là avec moi et c'était tout ce qui comptait. Et puis, il se passa une chose que je n'aurai jamais crue possible...

Une force intérieure me poussa vers Ninalys, une force à la fois douce et puissante, une force délicieuse. Mais je pris peur, je su ce qui se passais en moi et je pris peur. Je vis Ninalys qui me regardaient interloquer, Je ne laissais paraître ma peur sauf en ce moment. Pour ne pas l’effrayer, je la serra contre moi. Ce qui a été une erreur monumental puisque cette force augmenta. Je me mis à l’embrasser fougueusement, pour essayer de compensé, mais ce désir s’accrus et se trouva à la limite du supportable. Je ne voulais la perdre, la choqué, la blesser, mais je voulais faire ce pacte, un pacte qui sellais notre amour. Je l’aimais plus que tout. Je vis Ninalys me regardant, je vis ses lèvres, son visage, son corps, elle semblait fragile et pourtant, quelque heures plus tôt, elle failli me tué. Mes mains se glissèrent cette fois ci sous son haut, parcourant son dos. Je la vis frissonner, j’en déduis de plaisir car mes mains étaient bouillantes, et j’enlevai son haut, puis mes mains descendirent pour la déshabiller complètement. Une fois Ninalys dénudé, je me mis à caresser des partit qui pourtant lui étaient intime. Je la vis trembler, quoique ça peau fus chaude. Je la serra contre moi. Sa peau nue me fit arracher un soupir d’excitation, et je l’embrassai passionnellement, puis fougueusement. Puis je descendis, mes lèvres éraflant son cou, je ne m’attardai sur ses seins et je redescendis. Puis je me relevai, et j’allongeai Ninalys sur le sol, elle ne refusa pas, je tentai de me coucher sur elle, puis je la pénétrai délicatement…

Je sentis ses mains brulantes contre mon dos. Un frisson de plaisir me parcourut. Dryusdan enleva mon haut. Il finit de me déchabiller. Je frissonnai à nouveau mais de froid cette fois. Le centaure me procura des caresses que j'acceptai avec plaisir. Lorsqu'il s'aperçut que j'avais froid, il me serra contre son torse chaud. Je l'entendis soupirer et il m'embrassa avec passion. Je lui rendis son baiser. Dryusdan m'allongea sur le sol. Soudain, je sentis quelque chose en moi. Une douleur que je ne connaissais pas me submergea et je compris. J'aimais cela mais je souffrais aussi. Je ne pus m'empêcher de grimacer et Dryusdan s'arrêta alors, son regard interrogatif se plongea dans le mien. Pour toute réponse, je posai tendrement mes lèvres sur les siennes. Nous restâmes ainsi quelques secondes. Et puis la douleur s'estompa...

Quand je la vis grimacer, je me retirai. Nous nous regardâmes quelque secondes. Je ne voulais plus lui faire de mal. Je venais de la faire souffrir, quelque chose que je qualifiai alors d’impardonnable. Je me confondis en excuse. Je m’éloignai un peu, lui passant ses vêtements. Une larme coula le long de ma joue, je lui avais fais mal. Une pensé me parcourus l’esprit, une pensé que je chassai aussitôt mais qui resta quand même. Je regardais Ninalys qui me dévisageais…

Il s'éloignait de moi. Il s'en voulait, je le voyais. Quand je vis la l'arme sur sa joue, je mempressai de le rassurer et me levais pour essuyer cette larme. Je continuai de le rassurer et je lui chuchotai :
-J'ai envie de toi Dryusdan...
J'avais compris ce qui s'était passé dans son esprit. Il s'en voulait de m'avoir fait souffrir. Alors, pour lui faire comprendre que cela n'avait pas d'importance, qu'il ne pouvait pas savoir... Il me regarda avec envie puis détourna ses yeux magnifiques avec dégoût. Alors je décidait de faire quelque chose dont je ne me serai jamais cru capable auparavant. Je collai mon corps dénudé contre son torse nu. Un frisson parcourut nos deux corps. J'avais envie de lui, je e désirais plus que tout...

Quand elle me dit :
-J’ai envie de toi Dryusdan…
Je m’enflammai de nouveau, puis, je repensai à sa grimace. Je vis que Ninalys me regardais, je la contemplais, je pourrais satisfaire ses mille et un caprice, je pourrais faire ce qu’elle veut, elle était tellement jolie. Mais je lui ai fais mal. Je ne pouvais pas l’abimer une fois de plus. Soudain, je ressentis son corps chaud et dénudé contre le mien. Un frisson d’excitation me parcourus, la parcouru aussi, mais je ne fis rien, je ne voulais pas la blesser une fois de plus. Si elle me désirais, elle devais se tenter elle-même, mais je ne ferrais plus le premier pas…

Ce jour-là, je fis quelque chose que je ne me serais pas crue capable de faire un jour. Vu de l'extérieur, je devais paraitre sûre de moi mais, à l'intérieur, je stressais comme une enfant. Je m'avançais contre le centaure. Je passai ma main derrière sa nuque avant de l'embrasser amoureusement. Il répondit par un baiser plus passionné que les précédents. Je sentais tout son être vibrer contre ma peau. Je me rendis alors compte à quel point je le désirais. Cela ne m'était encore jamais arrivé. Je décidai de suivre ce que me dictait mes sentiments. Je pressai mon corps dénudé contre Dryusdan. Sur la pointe des pieds, elle lui chuchote :
-Prends-moi, ici et maintenant !

-Prends-moi, ici et maintenant !
Ses mots me poussaient vers elle, mes sentiments et mon être aussi. Je l’embrassai de nouveau, fougueusement, amoureusement, désireux aussi, mais la peur me submergea à nouveau. La peur de la blesser. Je vis son regard insistant qui, cependant me réchauffa subitement. Mon être vibrai à la sentir nue, collé contre moi. Je la désirais, je la voulais, je voulais que son être et le mien ne fasse plus qu’un, que nos souffles se mêlèrent, que nos cœurs battent à l’unisson, que nos odeurs s’entremêle. Mais la vision de cette grimace me fit frayeur. Je ne voulais pas la blesser, lui faire du mal étais pour moi la chose la plus horrible, la plus terrible. Je restai la, pendant de longue minutes à la regarder, entrecoupé par de langoureux et passionnant baiser. Je me ressaisis et je décidai alors de me lancer, je l’enlaçai, l’allongea sur le sol, et la pénétra de nouveau. La peur de la blesser me fit demande :
-Ça va ?

-Ca va ? me demanda-t-il.
Dire oui aurait été mentir. Je n'avais jamais été aussi bien. Je me contentai de l'embrasser et il prit mon baiser pour un acquiescement. Il me fit l'amour délicatement, tendrement. Nos corps étaient entremêlés, nos coeurs battaient à l'unisson. Pendant cet instant magique, nous ne fîmes qu'un.
Lorsque Dryusdan s'arrêta, un sourire heureux illuminaient nos deux visages et nos corps trempés de sueur se serrèrent l'un contre l'autre. Ce moment nous avait lié pour toujours. Nous nous regardâmes un long moment dans le silence de la forêt sans dire un mot...

Cette sensation était divine. Je fini par m’arrêter, épuisé, heureux. Je n’avais jamais découvert ce sentiment, et voila qu’en l’espace d’un jour, nos deux âmes se lièrent pour toujours. Je voulais de nouveau faire qu’un avec Ninalys, cette sensation merveilleuse m’avais montré à qu’elle point la vie étais merveilleuse. Je souriais, puis je descendis mes lèvres vers celle de Ninalys, et je l’embrassa, langoureusement, fougueusement. Puis, nous nous regardâmes longuement. Au bout d’un certain temps, j’eu envie de retoucher au coin intime de la stryge blanche, lui procurer une sorte de plaisir. Mes lèvres eurent à peine parcourus tout son corps, qu’une branche craqua. Deux humains apparurent, ils avaient bu, cela ce voyais. L’un avais une dague de novice, l’autre une épée courte. Je me mis devant Ninalys qui étais encore nu, je la cachais du mieux que je pu pour évité d’attirer leur convoitise.
« Elle est si belle déjà habiller que nue… »
Je n’osai même pas imaginer ce qu’ils pourraient faire.
Je n’allai même pas chercher mes armes.
« Si ils la veulent, ils devront essayer de me tué »
Je me mis en garde, près à charger si ils s’attaque à nous.

Début du combat Ninalys, Dryusdan - Ennemi

Les joueurs commencent.

Dryusdan : 137
Dégâts : 80

Ninalys : 175
Dégâts : 137

Ennemis :
Homme A : 100
Dégâts : 50

Homme B : 160
Dégâts : 50

Dryusdan s'était placé entre moi et les deux intrus de sorte que je ne pouvais pas les voir. Discrètement, je m'emparai de mes habits et les enfilai sans attendre. Puis je serrai les poings et les lames étincelantes de mes griffes d'acier en jaillirent. Silencieuse et agile comme une Elfe, je me glissai dans le dos du centaure et, pendant qu'il défiait les intrus du regard, je me faufilai derrière les arbres jusqu'à faire le tour des deux hommes. Il fallait que je parle à Dryusdan mais comment faire ? Je pensais de toutes mes forces à ce que je souhaitais lui dire et fus surprise de le voir sursauter avant de fixer ma cachette. Je n'attendis plus et bondit hors du buisson où je m'étais réfugiée. Nos assaillants ne pouvaient reculer alors ils se lancèrent à ma rencontre. Mes griffes brillaient au soleil et elles étaient prête à frapper. Je sautai sur l'un des hommes et visai son visage barbu...

Invité a effectué 1 lancé(s) d'un Attaque - Stryge B :

"Je suis dans les arbres à l'opposé de toi."
J'entendis cette phrase là comme si Ninalys me parlait vraiment. Je ne percevais plus sa présence derrière moi, mais devant moi. Je repérai un pan de ses vêtement sortir.
Aussitôt, elle passa à l'attaque. Celle-ci fut brève mais efficace, Ninalys trancha la jugulaire d'un des deux hommes, le tuant sur le coup. un jaillissement de sang se produisit, éclaboussant Ninalys qui maintenant devais (me semblait-il) mal distinguer. L'autre homme avait caché ses yeux lors du geyser de sang. Je le vis courir vers Ninalys, titubante, l'épée à la main. Mon sang ne fit qu'un tour, je brandis mon épée et, pris d'un accès de rage, je lui assénai un coup puissant. Je ne voulais perdre Ninalys pour rien au monde. Je ferai tout pour elle et la défendre au péril de ma vie en fait partir...

Dryusdan a effectué 1 lancé(s) d'un Attaque - Centaure :

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